Fenêtre
La fenêtre cartographie le feu d’anesthésie du vide.
La fenêtre farde l’imminence de la monotonie avec le tact de la salive.
La fenêtre fête la connivence tranquille de la soif de la terre avec le ciel du temps.
La respiration taciturne de la fenêtre favorise le tact de feu de la féerie.
La conversation des fenêtres projette la décapitation de silence de la respiration.
Le feu d’anesthésie de la fenêtre affirme la pandiculation de vide de l’inconnu.
Le tonnerre de facilité de la fenêtre peaufine la paralysie de soif mortelle du sourire.
La dissociation d’idées de la fenêtre révèle que l’inverse d’un vagin est un vagin.
Le sourire de fatalité de la fenêtre peaufine l’illusion de lucidité de l’amour.
La cantate d’alcool de la fenêtre facilite l’habitude de hasard des étoiles.
La convulsion de féerie de la fenêtre tente d’évanouir l’ainsi à l’intérieur de à.
La main de la fenêtre tourbillonne alibre jusqu’à devenir la crampe de facilité du crâne.
La foudre à califourchon de la fenêtre affirme l’humour mystique de l’anesthésie.
La vitre ourle le vide du souvenir.
L’autopsieur de printemps a soif de fenêtres.
Le jeu de jaillir par la fenêtre esquive la lumière d’éternité de la mort.