Horizon
L’horizon est l’hymen d’incertitude de la lumière.
La lettre anonyme de l’horizon est l’hymen d’incertitude de la loi.
L’horizon est la cicatrice de gomme de l’incertitude.
L’horizon est la cicatrice d’incertitude de la réflexivité de l’effacement.
L’horizon atteste la cicatrice de l’incertitude à travers le miroir de gomme de la loi.
L’horizon est la limite infinie de la raison.
L’horizon est une cicatrice de gomme qui demande raison.
L’horizon est une cicatrice d’incertitude qui demande raison.
L’horizon détermine la jalousie de l’ignorance en tant qu’infini de la raison.
L’horizon détermine la ligne d’incertitude de la lumière en tant que jalousie idolâtre de la raison.
L’horizon dissimule l’espace à travers le miroir d’anonymat de la lumière.
Le masque de l’horizon témoigne du miroir de gomme de l’infini.
L’horizon masque la démesure de tragédie de l’espace à travers le néant d’incertitude de l’infini.
L’horizon renie éternellement la blessure de paix de l’espace.
La lumière de l’horizon change l’espace en crime de gomme de la loi.
L’horizon intervertit la transparence du crime au centre de l’insomnie du rien du tout.
L’horizon est le labyrinthe de l’adieu.
L’horizon est le labyrinthe de lumière de l’adieu.
L’horizon est la simutilation de lumière de l’adieu.
L’effacement réflexif de l’horizon change l’espace en superstition de l’adieu.
L’horizon engendre la stupeur d’insomnie de croire au scepticisme de l’adieu.
L’éternel retour de la virginité de l’horizon est le tribunal d’incestitude de l’adieu.
L’horizon atteste l’estomac de transparence de l’adieu en tant que justice inconsciente de l’insomnie.
L’ironie de l’horizon est abjecte du fait même que son rictus torture sans toucher. L’horizon ne torture pas le corps, l’horizon torture la volonté. L’horizon torture le projectile de lointain du vouloir en venir. L’horizon anéantit les improvisations de l’habitude. L’horizon change l’habitude en identité du quotidien. L’horizon est la ligne d’ignorance ontologique d’une liberté réflexivement otage d’elle-même. L’horizon anéantit le charme de l’habitude à travers le miroitement carcéral de la liberté.
L’horizon atteste la folie insignifiante de l’il y être.
L’interrogation engendre le désir d’être lu à travers l’horloge de l’horizon.
La surdité de l’anonymat mime le bruissement de lumière de l’horizon.
Le simulacre de suicide de l’horizon désire condamner à mort la désinvolture du destin.
La lettre anonyme de l’horizon atteste le tribunal de lumière du suicide manqué de la mort.
Le labyrinthe désire habiter au centre de l’horizon.
Le labyrinthe est l’abattoir de lettres anonymes de l’un-tout.
La transparence du labyrinthe produit les lapsus de surdité de l’adieu.