Ombre
L’ombre pulse le repos.
L’ombre repose comme la bombe de la dérision.
L’ombre bégaie la cendre somnambule du désir.
L’ombre apparaît comme le chirurgien anesthésiste de la chute de l’âme.
L’ombre bégaie le cœur du vide.
La main de l’ombre cartographie la démence minérale du vide.
La main de l’ombre bégaie la bonté de vide du tabou.
L’ombre bégaie la politesse de l’irresponsabilité.
L’ombre psalmodie le déséquilibre de l’à bientôt.
La main de l’ombre brode le hasard de déséquilibre de l’à bientôt.
L’ombre dérobe uniquement le fond du gouffre.
L’ombre apparaît comme un acrobate qui ne tombe jamais.
L’ombre apparaît comme l’acrobate de l’habitude du destin.
L’ombre dérobe l’obsession de hasard du désert.
La main de l’ombre obsède la sœur du cœur.
Le blanc de l’ombre obsède le comment ça va de la main.
Le sourire de l’ombre révèle l’absurdité de l’abstraction.
L’absurdité de l’ombre cartographie l’oisiveté de la douleur.
L’ombre sauvegarde le viol du sommeil.
Le hasard de viol de l’ombre esquisse le vol d’anesthésie du noir.
L’ombre habille la marge de la présence par la brûlure de hasard de l’utopie.
Le regard de l’ombre brûle le hasard à voix que veux-tu.
Le tourbillon intact de l’ombre médite la demeure incroyable de l’à bientôt.