Pluie

 

 

 

 

 

 

 

La pluie prolifère de solitude.

 

 

 

La pluie cartographie la prolifération de la solitude.

 

 

 

La prolifération de solitude de la pluie sculpte le coma d’apocalypse du ciel.

 

 

 

 

 

La pluie accroupit l’évidence du ciel.

 

 

 

La pluie épanouit la crampe taciturne du ciel.

 

 

 

La pluie psalmodie les crampes de lascivité du ciel.

 

 

 

 

 

La pluie précipite l’illusion de la lenteur.

 

 

 

La pluie palpite la crampe de s’il vous plait du vide.

 

 

 

La pulsion de monotonie de la pluie accroupit l’élan d’illusion du vide.

 

 

 

 

 

La pluie tourne les pages du silence.

 

 

 

La pluie calligraphie la pulsation illisible du silence.

 

 

 

La pluie pullule les blessures paradoxales du calme.

 

 

 

Les gouttes de pluie reposent comme les plaies invulnérables du ciel à l’instant l’instant.

 

 

 

 

 

La crampe de translucidité de la pluie pullule l’aisance de solitude du ciel.

 

 

 

La crampe de translucidité de la pluie sculpte le visage d’au revoir iliaque de l’arbre du plaisir.

 

 

 

Les ellipses minérales de la pluie abandonnent le brouhaha magnifique des arbres au silence de terreur lascive de la clarté.