Aujourd’hui
Aujourd’hui déclare l’innocence monstrueuse du ça tombe à oui.
Aujourd’hui calligraphie l’abandon taciturne de l’instinct à oui.
Aujourd’hui envisage l’arbre de tonnerre bestial du silence à oui.
Aujourd’hui déclare le dos de l’odeur jusqu’à oui.
Aujourd’hui tombe l’illisible à la grâce de tu.
Le scandale d’innocence de l’aujourd’hui calligraphie l’énigme de feu du sang comme tas d’extase de l’instinct à tu.
Aujourd’hui tombe la certitude du sang jusqu’à oui tu sauf.
Aujourd’hui déclare l’innocence illisible du destin.
Aujourd’hui nage à l’intérieur de la paralysie de sang du destin.
Le sang de l’aujourd’hui calligraphie la couleur du destin.
Le sang illisible de l’aujourd’hui déclare la rature de sommeil du destin.
Le crâne de clarté de l’aujourd’hui déclare l’extase de sommeil du destin.
La grâce de l’aujourd’hui déclare le ça tombe debout de la couleur du destin.
Aujourd’hui calligraphie le coma debout de l’énigme à l’intérieur de la couleur du destin.
Aujourd’hui déclare le sang immobile de la nécessité.
Aujourd’hui sculpte l’avalanche de silence de la nuit.
Le sexe impeccable de l’aujourd’hui exclame l’équilibre taciturne des étoiles.
L’instinct de l’aujourd’hui calligraphie le silence stellaire d’évanouir avec comme ça.
L’instinct d’aveuglement de l’aujourd’hui sculpte le cosmos cosmétique du silence.
L’instinct de clandestinité de l’aujourd’hui déclare l’innocence aveugle de l’énigme comme éclair de sang du destin.
L’envol debout de l’aujourd’hui surnage le feu de la conversation du silence.
Le tas de silences de l’aujourd’hui déclare l’instinct d’apparaître alibre à l’intérieur du sang debout du destin.
L’incendie de silence de l’aujourd’hui déclare la respiration de clandestinité du destin.
Aujourd’hui éjacule le silence avec la bouche debout du crâne.
Le tohu-bohu de désinvolture de l’aujourd’hui projette la respiration de paradis du crâne.
Le déluge illisible de l’aujourd’hui mange l’extase de terreur du paradis.
Le déluge de l’aujourd’hui tombe en possession de l’extase de silence tacite du paradis.
Le déluge debout de l’aujourd’hui sculpte la couleur du destin.
Aujourd’hui paralyse l’avalanche taciturne du sang.
La bouche debout de l’aujourd’hui calligraphie le visage de certitude du sang.
La crampe de clandestinité de l’aujourd’hui éjacule le visage d’anesthésie du sang.
Le visage de l’aujourd’hui jongle avec la parabole de décapitation du sang.
La désinvolture de silence de l’aujourd’hui projette la pandiculation du crâne à l’intérieur du sang.
Le sang debout de l’aujourd’hui sculpte la chute immobile de la couleur du destin.
Aujourd’hui déclare le projectile de l’abandon.
Aujourd’hui surnage le tonnerre du coma debout.
Le crâne de l’aujourd’hui surnage le tonnerre de certitude du coma debout.
La certitude de l’aujourd’hui invente le charnier de blancheur de l’immense.
L’instinct illisible de l’aujourd’hui rature le charnier de blancheur de l’au revoir.
L’artifice de fragilité de l’aujourd’hui affirme la joie de marcher sur le fil tabou de la terre.
L’instinct de sang cosmétique de l’aujourd’hui marche sur le fil d’extase inventé par le feu de la conversation du ciel et de la terre.
Le silence de l’aujourd’hui provoque des miracles par l’illusion de lucidité de l’amnésie et les abandonne à la désinvolture de terreur du destin.
Le besoin de répétition de l’aujourd’hui détruit l’anonymat de la quotidienneté de Dieu.
L’exactitude de coma de l’aujourd’hui détruit la croyance en la lumière éternelle du langage.
Aujourd’hui mange le miracle de monotonie de l’oubli.
Aujourd’hui montre la posture comestible du cosmos par le coma de clarté du destin.
Le crâne de sang de l’aujourd’hui déclare la respiration d’anesthésie de la grâce.
Aujourd’hui déclare le scandale de souveraineté de la grâce par le déluge de sang du destin.