Blessure
La blessure dort à l’intérieur du couteau.
La blessure déclare le coma de tabou du couteau.
La blessure apparaît comme un poignard indestructible.
La blessure crée le sabre par la grâce de l’instinct.
La souveraineté de la blessure respire l’oubli au dos de la certitude.
La translucidité du couteau équilibre la candeur à l’abandon de l’obscur.
La blessure du sang apparaît comme le poignard de la souveraineté.
La blessure du sang crée le sabre du silence à oui.
La blessure debout du sang calligraphie l’innocence de clandestinité de l’instinct.
La blessure debout du sang surgit comme le stylographe du destin.