Certitude
La certitude apparaît en dehors du vrai et du faux.
La chute debout de la certitude apparaît en dehors de l’horizon de lumière de la vérité.
Le hasard d’inconnu de la certitude détruit la vulgarité d’angoisse de la vérité.
La pulsion de paralysie de la certitude esquive le désir d’être libre de la vérité.
La vérité est la communication de deux erreurs. La certitude survient comme la connivence d’un miracle et d’une illusion.
La certitude déclare la posture d’innocence de la mystification.
La certitude ne révèle pas l’unité du sens. La certitude déclare l’unicité de l’insensé.
La pulsion parabolique de la certitude déclare l’apparition particulière de chaque chose. La pulsion parabolique de la certitude affirme qu’il n’y a pas de chose transcendante et que chaque chose donne à sentir malgré tout la démesure d’une unicité. La pulsion parabolique de la certitude déclare chaque chose comme la posture de catastrophe impeccable de l’inconnu.
La certitude déclare le tomber lieu illimité de l’immédiat. La certitude affirme l’instinct de tomber lieu en dehors de l’horizon.
La souveraineté de la certitude tombe à l’intérieur de l’aisance d’un mur. La souveraineté de la certitude tombe à l’intérieur d’un mur de vide en dehors du labyrinthe de la lumière. La souveraineté de la certitude tombe à l’intérieur du mur de vide de la volonté du sommeil. La souveraineté de la certitude écartèle d’extase le mur de vide de l’incroyable.
La certitude marche par le tonnerre de clarté du ça tombe à ciel ouvert.
La chute immobile de la certitude déclare le scandale d’innocence de l’instinct.
La certitude calligraphie le séisme de translucidité de la chute au dos du destin.
La posture de la certitude apparaît face à dos à la chair de l’âme jusqu’à la couleur du destin.
La danse de la certitude touche l’envol de l’immédiat comme chose du handicap épanoui.
Le tact d’exubérance de la certitude respire la crampe d’inconnu de la pesanteur.
La certitude jouit de la violence tacite de l’oubli.
La certitude déclare la parure d’immobilité de l’oubli.
La certitude répète l’oubli comme illusion alibre de l’instinct.
La certitude affirme l’illusion de l’oubli comme pulsation de paralysie de l’instinct.
La certitude transforme la pesanteur de la mémoire en parure d’envol.
La certitude contemple le cul de terreur de l’oubli.
La certitude s’amuse à suivre à la lettre le hasard tabou de l’oubli.
La certitude paralyse la respiration d’obscénité de l’oubli à mains nues.
La certitude déclare la désinvolture de paralysie de la respiration.
La certitude abandonne le crâne de la respiration au dos de la fenêtre d’amnésie du feu.
La plaisanterie d’extase de la certitude compose la grâce d’anesthésie de l’immortalité.
La certitude déclare la chute d’inconnu du sang.
La scandeur de la certitude déclare le vol en éclats aveugle de la parabole de sang.
La scandeur de respiration de la certitude calligraphie l’improvisation de silence du sang.
Le tonnerre de translucidité de la certitude déclare le crâne de mystification du sang.
L’éclair de sommeil de la certitude envisage la cible de poussière de sang.
La certitude apparaît aveugle à l’intérieur de à oui.
La nécessité d’innocence de la certitude respire la pulsion de neige du sang à l’intérieur de à oui.
Le charnier de blancheur de la certitude sculpte le hasard tabou de l’inconnu jusqu’à oui.
La certitude improvise les contorsions de sommeil du destin.
La certitude déclare la scandeur de frivolité de l’immédiat au dos du destin.
La jubilation de la certitude déclare le gag d’injustice du destin.
La foudre de la certitude offre des cibles de bonjour tacite au sommeil du destin.
La clandestinité à ciel ouvert de la certitude déclare la catastrophe de frivolité du silence.
La pulsion de silence de la certitude sculpte la bouche debout du coma.
Le silence de la certitude projette la rature immobile du sang à l’intérieur de l’aujourd’hui du destin.
Le déluge de silence de la certitude donne à sentir la respiration d’aveuglement du paradis.
Le blanc debout de la certitude sculpte le dos de sommeil de la terreur.
Le don sans pardon de la certitude calligraphie le fou rire de bestialité du blanc.
L’injustice aveugle de la certitude calligraphie l’hémorragie de neige d’évanouir jusqu’à tu.
L’extase de la certitude calligraphie l’errance de racines du sommeil.
La racine de syncope de l’exactitude incruste l’instinct d’extase taciturne du coma.
La frivolité efficace de la certitude écartèle l’utopie du calme au dos de l’amnésie du temps.
Le sommeil de la certitude danse maquillé par le gag d’incendie de la gravitation.
Le besoin d’âme de la certitude joue au toboggan avec la lenteur de la nuit.
Le sommeil de la certitude tombe en possession de la planète du crâne.
Le crâne de la certitude apparaît alibre à paradis ouvert.
Le crâne de la certitude contemple la peau de terreur du ciel.
Le crâne de la certitude parle à la bouche illisible du blanc jusqu’à noyer le regard de la respiration à l’intérieur d’un déluge de blessures frivoles.
L’innocence aveugle de la certitude envisage la décapitation du ciel.
La tragédie de désinvolture de la certitude tombe en possession de l’instinct d’anesthésie du ciel.
Le sperme d’aveuglement de la certitude éjacule le visage de vide de l’anesthésie.
Le prestidigitateur de la certitude fait apparaître et disparaître les odeurs à volonté.
La certitude palindromise la lettre de l’existence.
La crampe de s’il vous plait de la certitude poste l’océan littéral de l’approximation.
La certitude survient à l’intérieur du ventre de l’oubli de Dieu.
Le coma de la certitude donne l’habitude de hasard de la respiration à l’oubli de Dieu.