Cœur
Le cœur couve le couteau.
Le cœur évoque la respiration artificielle du poignard.
Le cœur palpe le scalpel de l’odeur.
Le cœur préfère le viol jusqu’à la solitude sauve.
Le cœur équilibre l’œuf cannibale du hasard apocryphe.
Le cœur attend comme l’œuf apocryphe de l’épouvante.
Le cœur compose le roucoulement d’abîme de la surdité.
A l’intérieur des acrobaties d’abîme de l’absurdité, l’utopie du cerveau bat comme un cœur.
Le cœur bégaie l’incohérence de la monotonie.
La toupie du cœur balbutie l’abattoir de féerie de l’à bientôt.
Le cœur parle comme une enclume martelée par les ailes de féerie du désir.
Le cœur parle comme une enclume martelée par les ailes de translucidité de la terreur.
Le cœur parle comme une enclume martelée par le vol d’inconnu du feu.
Le cœur parle comme une enclume martelée par les mains de déchirures de l’érosion du feu.
Le cœur pense le sang au second degré. Le cœur coordonne la réflexivité du sang.
Le hasard du cœur est gagné à la loterie du cerveau à chaque fois que le sang n’y joue pas.
La subtilité cardiaque de la douleur méprise la vérité insignifiante de la souffrance.
La subtilité cardiaque de la douleur mange l’œuf de féerie burlesque du sommeil.