Feu

 

 

 

 

 

 

 

Le feu vole le vide en éclats.

 

 

 

Le feu affirme les convulsions superflues du vide.

 

 

 

Le feu vole en éclats la démesure de l’in extremis.

 

 

 

Le feu vole les enfants du vide.

 

 

 

Le feu vole les enfants de métamorphose du vide.

 

 

 

Le feu affirme la désinvolture d’autophagie du vide.

 

 

 

Le feu affirme l’affriolante soif de gravitation du vide.

 

 

 

Le feu affirme l’instinct de vide contorsionniste du destin.

 

 

 

 

 

Le feu exclame sauf.

 

 

 

Le feu exclame l’affectation du vide sauf.

 

 

 

Le feu affirme l’imminence transfînie d’un monde qui imagine à vide sauf.

 

 

 

 

 

Le feu nage à l’intérieur de la métamorphose.

 

 

 

A l’intérieur de la métamorphose surgit la solitude du feu.

 

 

 

Le feu affirme la métamorphose de l’absolu.

 

 

 

Le feu invente les métamorphoses de vide du futur.

 

 

 

Le feu affûte l’axe d’exil de la métamorphose.

 

 

 

Le feu calligraphie l’aisance de métamorphose du vide tabou.

 

 

 

La facilité de terreur du feu peaufine les métamorphoses du vide tabou.

 

 

 

 

 

Le feu affirme la prestidigitation de la colère.

 

 

 

Le feu cartographie la soif de désinvolture de la violence.

 

 

 

Le feu effectue les cous de hache du hasard.

 

 

 

Le feu hurle les confidences d’infidélité du hasard inconnu.

 

 

 

La féerie de terreur du feu cartographie le vide contorsionniste du hasard inconnu.

 

 

 

 

 

Le feu insinue les fenêtres contorsionnistes de l’utopie.

 

 

 

Le feu facilite l’utopie de l’épouvante.

 

 

 

Le feu formule la lubricité burlesque de l’épouvante.

 

 

 

Le feu invente le paradis du désespoir.

 

 

 

 

 

Le feu flaire l’au revoir avec les épaules de ses cils.

 

 

 

Au futur antérieur de l’incendie, les vertèbres aveugles du visage survolent les exclamations taciturnes de la respiration.

 

 

 

Le feu exacerbe le tourbillon de respiration de l’au revoir.

 

 

 

La transhumance de l’incendie martèle le vide du tact.

 

 

 

La main d’amnésie du feu calligraphie l’architecture d’ascèse végétale des conversations.

 

 

 

La passion de désinvolture du feu abstrait les acrobaties de l’invisible à souffle dévêtu.

 

 

 

 

 

Le feu calligraphie l’affectation d’alcool de l’espace.

 

 

 

Les muscles d’alcool du feu exclament la musique de s’il vous plait de la féerie.

 

 

 

La spirale de cicatrices du feu surgit pendue à la bouche de la langue de la respiration.

 

 

 

La jonglerie de déchirures du feu éjacule l’asthme d’extase de la clarté.

 

 

 

 

 

Le feu pétrit la crampe de la mystification.

 

 

 

Le feu exclame la démesure de l’affectation.

 

 

 

Le feu cartographie la mystification de l’amnésie.

 

 

 

Le feu affirme la mystification d’amnésie du futur.

 

 

 

 

 

Le feu affirme la féerie immédiate de l’abstraction.

 

 

 

Le feu calligraphie le souffle de désinvolture du destin.

 

 

 

 

 

Le feu chorégraphie les hallucinations de luxe de la fureur.

 

 

 

Le feu multiplie les voltes-faces sophistiques de la fureur.

 

 

 

Le désœuvrement de violence du feu effectue des pyramides de voltes-faces.

 

 

 

L’hésitation de fureur du feu hallucine les idées fixes réversibles de la féerie.

 

 

 

Le désœuvrement de féerie du feu insinue les aléas d’exil du vide.

 

 

 

Le feu cartographie les formules de politesse de la fureur.

 

 

 

Le feu exclame les feintes de cartographie de la fureur.

 

 

 

Le feu cartographie les feintes d’amnésie de la fureur.

 

 

 

Le feu provoque l’affectation de fureur du désœuvrement.

 

 

 

Le feu formule la prolifération d’oisiveté de la destruction.

 

 

 

 

 

Le feu favorise la tyrannie de la fuite.

 

 

 

Le feu s’immisce comme le tyran orphelin de la féerie.

 

 

 

Le feu transmute les automutilations de la lumière en voltes-faces sans y croire de la féerie.

 

 

 

Le feu effectue la féerie sans y croire de l’amnésie par les hallucinations de tact du vide.

 

 

 

La feinte en érection du feu insinue le vol en éclats d’infirmité du vide.

 

 

 

La fureur abstraite du feu cartographie les coquetteries de trahison de l’infirmité.

 

 

 

 

 

La précision du feu affirme la démence d’apparaître en dehors du savoir où.

 

 

 

A l’intérieur du feu, le sommeil dissèque l’audace jusqu’à l’ivresse de révulsion du vide. A l’intérieur du feu l’audace dissèque le sommeil jusqu’à ce que l’élan d’affectation de l’amnésie survienne touchée par les contorsions de volupté minérale de la fumée.

 

 

 

Les ailes de translucidité du feu maquillent le fou rire d’amnésie de l’espace.

 

 

 

Les ailes à coups de marteaux du feu cueillent les nuages d’indécence du crâne.

 

 

 

Le crâne d’amnésie de la fumée catapulte le sommeil de démence par contumace du feu.

 

 

 

 

 

Le dos rituel de l’incendie calligraphie la démesure tacite de la demeure.

 

 

 

L’aisance d’ascèse de l’incendie affirme la respiration de terreur de la demeure.

 

 

 

Le monstre de sommeil de l’incendie dévore le labyrinthe de lumière de la vérité.

 

 

 

 

 

La cendre insinue l’hier athéisme du tact.

 

 

 

La cendre insinue le tact athée de l’hier à l’intérieur du vide du hasard.

 

 

 

Les cendres exténuent les cicatrices d’ailes du silence.

 

 

 

Les cendres cryptent le strip-tease explétif du hasard.

 

 

 

Les cendres incrustent des cicatrices d’ailes du silence à l’intérieur du vide du hasard.

 

 

 

 

 

Le sourire de la cendre forme des phrases avec des lettres d’ainsi.

 

 

 

Le rire de la cendre affirme la fenêtre de tragédie du feu.

 

 

 

L’orgie de la cendre insinue le zéro du destin.