Foudre
La foudre affirme l’exaltation de l’exactitude.
La foudre esquisse l’excès de l’exactitude.
La foudre cartographie l’impeccable.
La foudre calligraphie des cathédrales de souffles.
La foudre affirme le tact de frivolité du tonnerre.
La foudre déclare le fou rire de lait du feu.
La foudre affirme le futur antérieur du ciel.
L’éclair enracine le rire d’errance de l’amnésie.
L’éclair touche la crampe de fascination des sourcils.
L’éclair incruste la source de pandiculation des sourcils.
L’éclair utilise le cou du guillotiné comme clou de pendaison du ciel.
L’éclair cueille les colliers de cous de la terreur.
Seule la foudre sait comment sculpter un œuf.
Seul l’éclair sait comment caresser le vide du hasard.
Le brouillard de la foudre adonne le frou-frou d’absurdité de l’anesthésie.
Le brouillard de la foudre improvise l’arbre d’épouvante du calme.
Le tact de la foudre ruine l’oscillation de l’orgueil.
La confidence de la foudre à l’enclume incruste la candeur d’exister alibre par contumace.
Pleurer comme la foudre révèle l’unique forme élégante de désespoir.
L’odeur de la foudre affirme la fable d’aphasie du hasard.
La fascination seule de la foudre hurle la soif de hasard du miracle.
La racine catapultée de la foudre envisage la cible de pain de la respiration.
Le crâne d’incroyable de la foudre défenestre la main de s’il vous plait du ciel.
L’œuf de hasard de la foudre affirme l’humour de monotonie de l’unique fois.