Illusion
Les apparences surviennent comme des bombes à anticipation.
Les apparences explosent à l’intérieur de la chair avant même que la chair ne les touche.
Les apparences enterrent les âmes avant d’enterrer les corps.
Le précipice errant des apparences affirme le tabou burlesque du sommeil.
L’illusion ne jette pas les apparences au hasard. L’illusion jette le hasard aux apparences. L’illusion partage le miracle de vide du hasard.
L’illusion affirme la syncope transfinie de l’ainsi. L’illusion transforme le hasard de la matière en aisance de vide évanoui de l’ainsi.
Le désordre n’a pas lieu en vérité. Le désordre a lieu en illusion.
L’illusion clandestine l’existence par le tact du désordre.
Le sommeil de l’illusion intime le désordre du miracle.
Le miracle de l’illusion détruit la lumière de la vérité à loisir.
Le hasard debout de l’illusion envisage la cible de jubilation du vide.
Le hasard debout de l’illusion envisage le s’il vous plait beaucoup de l’ombre.
La certitude de l’illusion affirme l’instinct de perdre le repos au jour la nuit.
L’instinct de l’illusion préfère le sommeil de la certitude au cerveau de l’insomnie.
L’instinct de l’illusion dévore le cerveau de la vérité à sourire nu.
L’instinct alibre de l’illusion offre des cibles de frivolité à la catastrophe du sommeil.
La main debout de l’illusion respire le sang allongé de l’espace.
La main de l’illusion dort à l’intérieur de la révérence du lointain.
La féerie a lieu comme hasard de frivolité de l’utopie.
La féerie formule l’imminence de frivolité de l’incroyable.
La crampe de la féerie inhale la translucidité du feu.