Orage
L’orage projette le magma de clandestinité du ciel.
L’orage projette la crampe de handicap épanoui du ciel.
L’orage exclame l’orgie de coma du ciel.
L’orage râle le silence d’obscénité de l’oubli.
L’orage sculpte l’orgie d’innocence de l’illisible.
L’orage esquisse le chaos d’équilibre de l’immédiat.
L’orage éjacule la décapitation d’un ciel cul-de-jatte.
L’orage imagine les câlineries cannibales du ciel.
L’orage mange le gag tabou de la lumière.
Le brouhaha de l’orage absorbe le labyrinthe de la lumière.
La brusquerie callipyge de l’orage explose le silence d’épouvante à bras ouvert de l’espace.
La jubilation d’orgueil de l’orage catapulte l’orgie de nostalgie du futur.
La griserie d’orgueil de l’orage méprise confiance au tabou de repos du ciel.
L’orgueil d’inconnu de l’orage abandonne la confiance de la terreur à l’utopie de désespoir du ciel.
Les nuages accroupis de l’orage saluent le coma impeccable de l’utopie.
Le vent impeccable de l’orage sculpte le charnier d’arbres à boire de la solitude.
A l’intérieur de l’orage, le ciel apparaît comme le magma d’imminence de l’inconnu.
Le s’il vous plait beaucoup de l’orage respire la subtilité de terreur de l’inconnu.
Le chaos d’équilibre du ciel provoque l’abattoir de lascivité de la respiration.
Le ciel insouciant de l’orage butine l’érection d’ascèse des cimetières.
Le ciel d’aveuglement de l’orage jongle avec la pulsation taciturne de l’espace.
Le c’est-à-dire de terreur du ciel éjacule le visage de clandestinité du sang.
Les lèvres brusques du ciel abandonnent de la lévitation de râles du tonnerre.
Le ciel offusqué d’une seule fois catapulte la dérobade de tonnerre du s’il vous plait beaucoup.
Le tonnerre exclame l’innocence de la terreur.
Le tonnerre compose la suite de tabous contorsionnistes du ciel.
Le charme du tonnerre insinue l’architecture du vent.
La frivolité du tonnerre mange le ciel par le fou rire de la terreur.
Le tonnerre soude la main de l’amnésie à la déchirure du ciel par l’exubérance taciturne de la terreur.
Le tonnerre berce la crampe.
Le tonnerre berce la crampe par contumace de la respiration.
Le tonnerre berce la crampe de respiration du crâne comme la langueur hagarde d’un linceul de racines.
La clarté contorsionniste du tonnerre sculpte le fou rire taciturne du ciel.
Le chaos en équilibre du tonnerre cartographie l’avalanche taciturne du hasard inconnu.
La bouche de vertèbres du tonnerre éjacule le coma de clarté de la paralysie.
Le tabou de désinvolture du tonnerre catapulte le rire d’anesthésie de la tragédie.
La pandiculation du tonnerre sauvegarde le gag de galaxie du crâne.
La tentation d’inouï du tonnerre compose le crâne d’utopie de l’au revoir immédiat.
L’imminence minérale du tonnerre incruste la lévitation contorsionniste de la terreur au dos du silence du ciel.
La roue de tympans du tonnerre tente d’incruster la dérive des continents à l’intérieur d’un verre d’eau.
Le magma de bégaiements du tonnerre compose la poitrine d’écorce d’un miracle tabou.
L’empreinte du tonnerre à l’intérieur des os improvise le bain d’habitude de la tentation.