Paresse
La paresse prie le néant de la pensée.
La paresse change l’impureté de l’âme en pureté de la pensée.
La paresse change le don en interdit.
Le paresseux n’échange rien d’autre que Dieu. Le paresseux échange n’importe quoi en tant que Dieu.
La paresse prie le scepticisme de Dieu.
La paresse parasite l’existence à travers l’insomnie de mutisme de l’être.
La paresse travestit la solitude d’exister à travers l’insomnie de l’espèce de l’être.
La paresse vérifie l’alphabet de mutisme de l’espèce de l’être.
La paresse explétive l’alphabet de suicide de l’adieu.
La paresse fait semblant d’assassiner le sommeil.
L’œuf de la paresse mime la transparence de l’insomnie. La stupeur de la paresse ponctue l’insomnie de l’adieu.
L’hymen de vulgarité de la paresse incorpore le scepticisme d’insomnie de la croyance.
La vulgarité divine de la paresse est le crime de virginité de se croire tout permis.
La paresse est de survivre hypnotisé à travers les mots d’ordre de l’incertitude.
Le bruit de la paresse produit le nombril de transparence de l’interdit.
Le tribunal de la paresse défèque l’infini de la distraction.
La paresse mime la pensée.
La paresse mime la pensée à travers les paupières de la suffocation.
La paresse survit l’air de rien. La paresse prostitue l’âme au néant. La paresse parodie le crime.
La paresse cite le précipice sans l’avoir jamais lu.
La paresse est un désir posthume.
La paresse complote un labyrinthe d’alphabet fœtal.
La paresse prononce le calendrier de l’alphabet en tant que labyrinthe de portes de la lumière.
La paresse simule le pardon à travers la faim.
La fatigue efface le blanc.
La fatigue est fidèle au cercueil de la mort.
La fureur de la fatigue fait des nœuds d’odeurs avec les étincelles du désir.