Pudeur
Seuls les monstres provoquent la volonté de la pudeur. La pudeur affirme la volonté de ne pas révéler à travers la lumière du sens le besoin d’apparaître inhumain.
La pudeur affirme la nécessité de donner à l’obscénité de l’existence une forme rituelle. La pudeur affirme le sourire de répétition de l’obscénité par l’aura de terreur impeccable du vide.
La pudeur joue à incarner la plaisanterie de l’extase comme lascivité de la terreur en dehors de la possibilité du crime et de l’impossibilité de la loi.
La pudeur affirme le sentiment sceptique qu’à l’instant de l’extrême obscénité, l’existence survient comme une hypothèse prédestinée dans le désordre.
La pudeur affirme la pulsion d’apparaître à l’instant où il reste tabou de savoir si le monde existe de manière finie ou si l’univers se développe de façon infinie. La pudeur affirme la sensation comme quoi seul le vide du tabou sait si le monde survient de manière finie ou si l’univers se développe de façon infinie.
La pudeur expose le scepticisme de la main face à la présence finie du monde et-ou l’aspect infini de l’univers.
La pudeur affirme le jeu d’ascèse d’apparaître au centre du temps.
La pudeur affirme la pulsion d’apparaître à l’intérieur de l’imminence d’utopie du coma.
La pudeur affirme la pulsion d’apparaître à l’instant où il reste tabou de rencontrer le savoir transfini du cosmos.
Le handicap épanoui de la pudeur affirme le jeu d’ascèse d’apparaître au sein de l’imminence d’utopie du coma où il reste à la fois tabou de rencontrer la forme finie du monde et-ou l’aspect infini de l’univers et-ou le savoir transfini du cosmos.
Le handicap d’ascèse de la pudeur affirme ne pas savoir où finit le temps et quand commence l’espace.
La pudeur rencontre l’expansion du cosmos comme sentiment de coquetterie de l’ainsi.
La pudeur affirme la forme impeccable de la sensation d’hésitation du savoir. La pudeur affirme la forme de la sensation d’hésitation du savoir évoquée par l’inconnu même.
La pudeur provoque la rencontre du sentiment de l’anesthésie avec le hasard de l’inconnu.
La pudeur insinue le gag d’incarner la passion de la clandestinité comme pacte d’anesthésie de l’inconnu.
La pudeur parfume la chair avec la foudre de translucidité du désir.
La pudeur affirme l’instant où la passion du tabou préfère le hasard du désir.
La pudeur insinue l’humour de l’épouvante.
La pudeur révèle la forme apocryphe de l’épouvante.
La pudeur pare la chair avec les racines d’épouvante de la solitude.
L’artifice d’épouvante de la pudeur transforme la vérité infinie de la pensée en certitude illimitée de l’âme.
La pudeur donne une forme impeccable à la solitude de la terreur.
La pudeur insinue le hasard de l’épouvante comme gag impeccable de l’oubli.
La pudeur sauvegarde la solitude de la chair comme don d’obscénité de l’oubli.
La pudeur adonne la pandiculation stellaire de l’oubli tabou.
La pudeur pare le hasard de la nécessité.
La pudeur montre la parure de nudité de l’âme.
La pudeur sauvegarde avec sauvagerie la blessure du vide au jour l’instant.
La sauvagerie tacite de la pudeur sauvegarde l’imminence de vide de la nécessité.
La pudeur joue à se perdre à l’intérieur du hasard du vide.
La pudeur hasarde la pandiculation du sentiment à l’intérieur du destin.
La pudeur esquisse la pandiculation du ciel à l’extrémité de la paralysie de l’au revoir.
La pudeur revient sur la disparition de ses pas par la figure à la lettre de ses mains.
Le poignard d’imminence de la pudeur esquisse le s’il vous plait d’anesthésie du visage.
L’humour d’oubli de la pudeur insinue le tact d’apparaître décapité à blanc par le visage de vide de l’âme.
La pudeur dévore le futur antérieur avec la pulsion rituelle du dos.
Le visage de la pudeur porte la parole de l’utopie sur le hasard de vide de son dos.