Boris Wolowiec
Toupie
La toupie éblouit le labyrinthe.
La toupie hypothétise le bonbon du labyrinthe.
La toupie appose le labyrinthe de l’éblouissement.
La toupie parle aux yeux des tympans.
La toupie palpe le feu d’utopie de la cendre.
La toupie repose comme la bougie de son ombre.
La toupie repose comme le stéthoscope du temps.
La toupie métamorphose le gouffre en goutte d’eau.
La toupie esquisse la feinte du gouffre à l’intérieur d’une goutte d’eau.
La toupie excite le repos du tigre à la surface du puits.
La toupie suppose la goutte d’os de l’utopie.
La toupie peaufine le cercueil d’utopie de l’imminence.
La toupie appose le lapsus d’équilibre de l’utopique ainsi.
La toupie tintinnabule le cou d’utopie du couteau.
La toupie saoule la paix au sein de l’in extremis de l’impact.
La toupie pose le cou d’exclamation d’un trait d’esprit.
La toupie syncope l’ongle d’une larme tacite.
La toupie dispose la lévitation de désespoir d’une langue d’os lucide.
La toupie affirme le poignard de source d’une bouche imprononçable.
La toupie subtilise le hasard du cœur.
La toupie psalmodie l’insouciance chirurgicale de la paralysie comme soif d’affectation du vide.
Le coma d’utopie de la toupie peaufine la foudre à califourchon de l’ascèse.