Clef
La clef déclare le clou du futur.
La clef affirme la fleur du fer.
La clef déclare la cuillère du feu.
La clef féerise le fer.
La clef affirme la plume de fer du comment ça va.
La clef apparait comme une forme extrêmement sophistiquée cependant le geste de son usage reste extrêmement simple. Tourner une clef dans une serrure inscrit un geste curieusement simple.
La clef affirme la fleur forgée du curieusement simple.
La clef tourne sur elle-même comme une planète de coquetterie, comme une planète d’affectation exacte.
La clef littéralise l’extase de coquetterie du fer. La clef littéralise la coquetterie de fer du vide immédiat.
La clef forge l’herbe. La clef forge l’herbe du feu.
La clef forge l’éclair du gel.
La clef gèle le sourire de la foudre.
La clef littéralise l’herbe de gel de la foudre.
La clef cloue le feu. La clef cloue la main du feu.
La clef facilite le clou de l’aveuglement.
La clef cueille la fascination.
La clef cueille la solitude du feu.
La clef cueille la fascination seule du feu.
La clef déclare la flèche-cuillère de sauf.
La clef gèle le sauf. La clef tente le sauf. La clef exclame le sauf. La clef facilite le sauf.
La clef schématise le coma du sauf.
La clef exclame le silence.
La clef exclame le stylographe du silence.
La clef exclame la flèche-stylographe-clou du silence.
La clef forge la cueillette. La clef forge la cueillette du silence.
La clef apparait comme une flèche-allumette.
La clef déclare le stylographe de l’énigme.
La clef déclare la flèche-stylographe-allumette de l’énigme.
La clef déclare la flèche-cuillère-allumette de l’énigme.
La clef prénomme la syntaxe.
La clef télégraphie le silence de l’ascèse.
La clef ambidextre la nécessité de l’inconnu.
La clef affirme la lettre de l’infinitif futur.
La clef titre la fierté. La clef titre la fierté de la fumée.
La clef titre les coïncidences de fierté de la solitude.
La clef incruste l’os de curiosité frivole du feu.
La clef affirme le sexe de curiosité ascétique du vide.
La clef touche la chose de l’iris.
La clef littéralise la frivolité de l’ascèse.
La clef calligraphie le visage du feu.
La clef flaire le mercure.
La clef chirurgicalise la solennité.
La clef simplifie la schizophrénie.
La clef écarquille l’index.
La clef syllabise l’oxygène.
La clef caresse les confidences du comme quoi.
La clef fascine le cri.
La clef crucifie le zéro.
La clef cicatrice les réflexes de crucifixion du zéro.
La clef affirme le clou du cyclone.
La clef formule le pinceau de l’éclair.
La clef exclame l’index de la dérive des continents.
La clef forge un cil-boomerang.
La clef forge le cil du tonnerre.
La clef forge le cil Sisyphe du silence. La clef forge le cil Sisyphe hapax du silence.
La clef bague les cils des confidences. La clef bague les cils de l’infinitif. La clef bague les cils de fumée de l’infinitif.
La clef affirme la cicatrice funambule de jusqu’à.
La clef affirme la lettre-stylographe de jusqu’à.
La clef affirme le télescope de réflexes hapax des tempes.
La clef exclame la flèche-clou de la métaphore.
La clef exclame le scalpel de l’éclipse.
La clef exclame le scalpel d’éclipse du poignet.
La clef littéralise les réflexes de flèches du poignet. La clef littéralise les réflexes de flèches de l’éclipse. La clef littéralise les réflexes d’éclipse du poignet.
La clef apparait à la fois comme la guêpe et l’orchidée.
La clef formule la coïncidence de la fourchette, de la cuillère et du couteau.
La clef chorégraphie le hasard de l’infime.
La clef forge la tentation du hasard.
La clef cueille forge le cil de hasard de la certitude.
La clef miniaturise la féerie de la forêt.
La clef classe la forêt. La clef chasse la forêt. La clef classe la forêt qu’elle chasse.
La clef cligne le cercueil de la soif.
La clef cherche la boucle de cheveu du désert.
La clef cligne la main du souffle.
La clef s’immisce à l’intérieur de l’haleine de la serrure. La clef viole la soif de la serrure. La clef viole le cœur-haleine de la serrure.
La clef serre la serrure entre les yeux de ses doigts.
La serrure coagule le regard de la clef.
La clef projette la disparition de la porte. La clef projette la disparition de la porte comme lettre, comme squelette-lettre, comme squelettre de coquetterie.
Le tintement des clefs est la crécelle de l’homme en bonne santé.
La clef formule le cou de cils de l’évidence féerique.
La clef forge le cil du crâne. La clef forge le cil de féerie du crâne. La clef forge le cil de sidération féerique du crâne.
La clef peigne le s’il vous plaît du crâne. La clef peigne le s’il vous plaît merci du crâne.
Quand la clef ferme elle apparaît comme le crâne d’un cil. Quand la clef ouvre, elle disparaît comme le cil d’un crâne.
La clef incruste l’éclair du vide à l’intérieur du cil du crâne.
La clef incruste la féerie de la forêt à l’intérieur de l’absurdité d’un brin d’herbe.
La clef incruste le fou rire de la dérive des continents à l’intérieur de la cérémonie d’une flèche.
La clef incruste la flèche de l’incroyable à l’intérieur de l’allumette de l’immédiat.
Le squelette incruste la clef de la chair.
Le prénom déclare la clef du langage.
L’âge affirme la clef du temps.
L’énigme ouvre la clef.
La clef cueille l’éclat de certitude des choses.
La clef cueille la posture des choses. La clef prénomme la posture des choses.
La clef cueille prénomme la posture de crucifixion frivole des choses.
La clef cueille prénomme la posture d’exactitude fière des choses.
La clef exclame l’ouverture des choses par la conversation du vide et l’ouverture du vide par la conversation des choses.
Quand la clef ouvre la parole, la main ferme le silence. Quand la clef ferme la parole, la main ouvre le silence. Quand la clef ouvre la main, la parole ferme le silence. Quand la main ferme la clef, le silence ouvre la parole.