Crâne
Le crâne écarquille la cathédrale de la bouche.
Le crâne catapulte une mosaïque d’énigmes.
Le crâne clandestine la voûte des cuillères.
Le crâne apparait comme une caméra-écran.
Le crâne calligraphie l’arc de la poussière.
Le crâne cueille l’arc de la poussière.
Le crâne calligraphie l’arc de l’écorce.
Le crâne écarquille l’écran de l’écorce.
Le crâne cueille la cérémonie de l’écorce.
Le crâne calligraphie l’écran de cérémonie de l’écorce.
Le crâne calligraphie cueille l’écran de scandeur de l’écorce.
Le crâne cueille l’arc d’écorce du blanc.
Le crâne compose l’auréole du handicap.
Le crâne arque la cloche. Le crâne arque la cloche de la poussière. Le crâne arque la cloche du silence. Le crâne arque la cloche du sang.
Le crâne carillonne cueille la voûte de contiguïté du silence.
Le crâne chérit la chute. Le crâne chérit la clarté de la chute.
Le crâne enracine l’aura.
Le crâne carillonne les coïncidences de l’aura.
Le crâne crée l’amnésie.
Le crâne parabolise l’ascèse de l’amnésie.
Le crâne affirme le minerai de l’ascèse. Le crâne affirme le contorsionnisme de l’ascèse.
Le crâne affirme le minerai d’amnésie de l’ascèse. Le crâne affirme le minerai d’amnésie contorsionniste de l’ascèse.
Le crâne rencontre le vide du savoir.
Le crâne cueille la crampe de l’inconnu.
Le crâne calme la crampe de l’inconnu.
Le crâne voûte le verglas de l’inconnu.
Le crâne sauve l’inconnu.
Le crâne sauve l’exactitude de l’inconnu.
Le crâne sauve la vivacité de l’inconnu.
Le crâne sauve l’exactitude vivace de l’inconnu.
Le crâne catalogue le contentement. Le crâne catalogue la ténacité. Le crâne catalogue l’hébétude.
Le crâne catalogue le contentement de la ténacité. Le crâne catalogue le contentement tenace de l’hébétude.
Le crâne catalogue l’étau de l’étonnement. Le crâne catalogue l’étau de l’hébétude. Le crâne catalogue l’étau d’étonnement de l’hébétude.
Le crâne calligraphie l’héroïsme du sommeil.
Le crâne calligraphie l’héroïsme de l’étonnement.
Le crâne carillonne l’héroïsme du sommeil. Le crâne calligraphie carillonne liste l’héroïsme du sommeil.
Le crâne écarquille l’héroïsme du zéro.
Le crâne déclare oui tu sauf. Le crâne déclare le sommeil de oui tu sauf. Le crâne calligraphie le sommeil de oui tu sauf.
Le crâne clandestine l’immobilité.
Le crâne clandestine le c’est à dire de l’immobilité. Le crâne clandestine le c’est à dire de l’iconoclasme.
Le crâne clandestine le c’est à dire d’immobilité de l’iconoclasme.
Le crâne recommence l’éclair.
Le crâne recommence le coma.
Le crâne recommence l’éclair du coma.
Le crâne recommence l’éclair de l’anachronisme.
Le crâne recommence l’éclair de l’anachronisme l’éclair d’anachronisme du coma.
Le crâne recommence le truc de l’âme.
Le crâne affirme le noyau du froid.
Le crâne paraphorise le noyau du froid.
Le crâne gèle la clarté des voix.
Le crâne gèle le vide de la certitude.
Le crâne écarquille la confiance du froid.
Le crâne écarquille enracine la confiance de feu du froid.
Le crâne immobilise le comme.
Le crâne immobilise le charisme du comme.
Le crâne dort avec la solitude de comme.
Le crâne immobilise comme jusqu’à demain.
Le crâne affirme l’aimant de demain.
Le crâne jardine l’aimant de demain.
Le crâne soude la considération.
Le crâne soude la considération de demain.
Le crâne soude la considération du futur.
Le crâne boit la clef du futur.
Le crâne crée la clef du destin. Le crâne carillonne crée projette la clef du destin.
Le crâne carillonne boit projette la clef de futur du destin.
Le crâne cueille la crudité de l’absolu.
Le crâne cueille la crudité de l’apocalypse. Le crâne câline cueille l’apocalypse de crudité de l’absolu.
Le crâne rencontre déjà comme ça.
Le crâne calligraphie la scandeur de déjà.
Le crâne cartographie le gel de déjà. Le crâne cartographie l’incrustation de gel de déjà.
Le crâne phrase la scandeur d’avec déjà.
Le crâne capte la chose de la décapitation. Le crâne capte l’innocence de la décapitation. Le crâne capte la chose d’innocence de la décapitation.
Le crâne mange la rature. Le crâne mange la chose de la rature. Le crâne mange la rature de la décapitation.
Le crâne boit l’abstraction. Le crâne boit l’iris de l’abstraction. Le crâne boit l’iris d’abstraction de l’athéisme.
Le crâne est le scaphandre du feu. Le crâne cueille le scaphandre de feu de l’apocalypse.
Le crâne joue avec le dehors. Le crâne joue avec le dehors du jour.
Le crâne cajole la cage. Le crâne cajole la cage de l’anachronisme.
Le crâne nacre la solitude. Le crâne nacre la contiguïté de la solitude. Le crâne nacre l’anachronisme de la solitude.
Le crâne globalise le carré.
Le crâne globalise le carré de la colère.
Le crâne globalise le carré de colère de l’inouï.
Le crâne martèle l’enclume du vide. Le crâne cueille l’enclume du vide. Le crâne cloue l’enclume du vide.
Le crâne martèle la clarté de l’inouï. Le crâne rencontre martèle la clarté de l’inouï.
Le crâne accueille la syntaxe du sel.
Le crâne claironne la syntaxe du sel.
Le crâne câline la colère du quartz.
Le crâne cadenasse la paix du chaos. Le crâne cadenasse le bol de sucre du chaos.
Le crâne chloroforme les comètes de l’audace
Le crâne cueille le drap de l’éclipse.
Le crâne architecture la lune.
Le crâne chorégraphie la lune du tabou.
Le crâne coude la catastrophe du ciel. Le crâne coude la fierté du ciel. Le crâne coude la catastrophe de fierté du ciel.
Le crâne phrase le toboggan du verre.
Le crâne sculpte l’hébétude du vent.
Le crâne marche par le désespoir des mains. Le crâne marche par le blanc des mains. Le crâne marche par le blanc de désespoir des mains.
Le crâne parle avec l’arôme de la terre. Le crâne voyage jusqu’à l’arôme de la terre.
Le crâne respire avec les pierres. Le crâne respire les commissures du comme. Le crâne respire les commissures de pierre du comme.
Le crâne siamoise le silence.
Le crâne siamoise la maison du silence.
Le crâne embrasse le brouillard du silence.
Le crâne embrasse le brouillard de scies du silence.
Le crâne embrasse les commissures des braises.
Le crâne embrasse exclame les commissures de braises du silence.
Le crâne accueille exclame la danse de braises de la certitude.