Main
La main affirme l’étoile de l’immanence.
La main schématise l’énigme de l’immanence.
La main étoile l’immanence de l’in extremis.
La main schématise le minerai de matin de l’in extremis.
La main syntaxise l’immédiat.
La main cartographie les sentiments.
La main essaime les cérémonies du mercure.
La main aimante la végétation des voix.
La main improvise le pain des clefs.
La main moissonne le vent.
La main chorégraphie le savon.
La main clavecine la dérive des continents.
La main ourdit le magma des nuances.
La main aimante l’aléa des alliances.
La main martèle les aimants de l’émotion.
La main admire l’asymétrie de l’émotion.
La main exclame les volutes minérales de l’émotion.
La main projette la ventouse de la contemplation,
La main ventouse la somnolence de l’imprimerie.
La main ourdit la ventouse d’improvisation de la clarté.
La main improvise le minerai d’à l’intérieur avec autour.
La main schématise l’improvisation d’à l’intérieur avec autour.
La main essaime les branches d’herbes de la certitude.
La main minéralise les herbes d’énigme d’à l’intérieur avec autour.
La main schématise l’improvisation d’à l’intérieur avec autour de la contemplation.
La main salue l’outil.
La main salue l’utopie de l’outil.
La main salue l’utopie d’émotion de l’outil.
La main jongle avec le bonjour.
La main jongle avec l’immédiat du tabou.
La main moissonne la jonglerie de la salutation.
La main moissonne le minerai de jonglerie de la salutation.
La main tamise le couteau.
La main chatouille la métallurgie.
La main masse l’aura.
La main sauvegarde l’amnésie.
La main affirme la forme funambule de l’amnésie.
La main danse l’amnésie de l’aura.
La main multiplie les racines de l’usage.
La main pelote les racines d’agilité de l’usage.
La main multiplie l’usage de l’ascèse.
La main pelote le pacte de racines de l’extase.
La main schématise les racines de météores de l’usage comme approche.
La main bague le désordre.
La main bague le mixage de la fumée.
Les mains baguent le mixage de révérences de la fumée.
La main a des offrandes orfèvres.
La main improvise des offrandes de réflexes.
La main cisèle la fumée.
La main ourdit l’orfèvrerie de la fumée.
La main totémise la fumée.
La main totémise le matin de la fumée.
La main tamise les météores.
La main imprime le magnétoscope des odeurs.
La main balaie la pendaison des diamants.
La main savonne l’approximation.
La main pianote la mappemonde de l’approximation.
La main martèle la mappemonde de l’étourdissement.
La main mélodise la fontaine des amandes.
La main schématise le miracle de l’essai.
La main étourdit le motif du parfois.
La main exclame le caoutchouc de l’admiration.
La main pelote l’essaim de caoutchouc du rythme.
La main télescope le crâne.
La main pâme le télescope du crâne.
La main projette l’iris du crâne.
La main relit le feu du crâne.
La main rythme la relecture du crâne.
La main météorologise l’âme.
La main météorologise la nudité de l’âme.
La main transcrit la volupté de l’âme.
La main est l’animal totem de à.
La main chorégraphie la syntaxe de à
La main tamise la syntaxe de la projection.
La main présente le poignard de la pâmoison.
La main immisce des tenailles d’agrumes.
La main affirme un marteau de pulpe.
La main présente la pulpe de la pulsion.
La main polarise l’emprise de pulpe de la pulsion.
La main schématise l’humus de la clarté.
La main cartographie la lévitation de la terre.
La main imprime la disparition des mots.
La main a des amen d’ours.
La main a des miaulements de menuiserie.
La main a des hibernations d’hirondelles.
La main allie le boomerang à la bougie.
La main est l’adverbe de l’épaule.
La main prénomme la plante de l’épaule.
La main est la préposition du bras.
La main parle le manège des doigts.
La main monologue la conversation des doigts.
Les mains parlent aux tempes de l’espace.
Les mains rythment des exclamations de copeaux.
Les mains ourdissent les tenailles de la pâmoison.