Papier

 

 

 

 

 

 

 

Le papier paralyse le vide.

 

 

 

Le papier affirme la planète du vide.

 

 

 

Le papier peaufine le vide. Le papier peaufine l’aphasie du vide.

 

 

 

Le papier incruste la posture du vide. Le papier cadre incruste la posture du vide.

 

 

 

Le papier polarise la poitrine du vide. Le papier filtre le vide à poitrine tue.

 

 

 

Le papier apparaît comme la répétition d’un vide qui montre l’inconnu qu’il touche sans le révéler.

 

 

 

Le papier météorologise le vide.

 

 

 

Le papier dispose les saisons du vide.

 

 

 

Le papier affirme la crampe d’anesthésie du vide.

 

 

 

Le papier affirme la crampe de l’anesthésie comme crâne-totem du vide.

 

 

 

Le papier anticipe le vide du futur. Le papier anticipe polarise pulse le vide du futur.

 

 

 

Le papier affirme le dos du vide. Le papier affirme le dos de feu du vide comme infirme le dos de vide du feu.

 

 

 

 

 

Le papier apparaît au dos de savoir où. Le papier apparaît en deçà de savoir quand. Le papier apparaît la certitude du blanc.

 

 

 

Le papier pandicule la certitude du blanc.

 

 

 

Le papier affirme la passion du blanc.

 

 

 

Le papier anticipe le futur du blanc.

 

 

 

Le papier surfacilite le paroxysme du blanc.

 

 

 

Le papier affirme la mystification du blanc.

 

 

 

Le papier pénètre la mystification du blanc.

 

 

 

Le papier boit dort respire la certitude du blanc.

 

 

 

 

 

Le papier paraphorise l’aphasie.

 

 

 

Le papier équilibre la poitrine de l’aphasie.

 

 

 

Le papier anticipe l’aphasie. Le papier anticipe l’aphasie de face à la suite de.

 

 

 

Le papier écartèle le par suite du silence.

 

 

 

Le papier écarquille le plaisir du calme.

 

 

 

 

 

Le papier phrase la peau du sommeil.

 

 

 

Le papier multiplie le zéro du monde.

 

 

 

Le papier pose la dévoration du vide.

 

 

 

Le papier dort la solitude du monde.

 

 

 

 

 

Le papier adonne la pulpe de l’anesthésie.

 

 

 

Le papier projette la peau de l’anesthésie. Le papier projette la peau de la décapitation. Le papier projette la peau de décapitation de l’anesthésie.

 

 

 

Le papier projette les tempes de sommeil de déjà.

 

 

 

Le papier paraphorise le sommeil du silence.

 

 

 

Le papier repose le surlieu du sang.

 

 

 

 

 

Le papier échafaude la chute.

 

 

 

Le papier touche le ciel de la chute.

 

 

 

Le papier simplifie la syncope. Le papier simplifie la mystification de la syncope.

 

 

 

Le papier affirme l’hermétisme ouvert de la syncope.

 

 

 

Le papier catalyse la catalepsie .Le papier cataleptise l’immédiat. Le papier écarquille le plaisir alibre de la catalepsie. Le papier catalyse la catalepsie de l’immédiat.

 

 

 

Le papier tombe le vide.

 

 

 

Le papier tombe le vide à l’intérieur du coma de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier tombe le vide à l’intérieur du coma de gravitation de l’apocalypse.

 

 

 

 

 

Le papier clandestine l’espace.

 

 

 

Le papier destine la nudité de l’espace.

 

 

 

Le papier clandestine l’espace à ciel touché. Le papier clandestine l’espace à chute de ciel touché.

 

 

 

Le papier subtilise syncope le repos de l’espace.

 

 

 

Le papier prénomme le vide apocryphe de l’espace.

 

 

 

Le papier respire la face de temps de l’espace.

 

 

 

Le papier respire le profil d’espace du temps.

 

 

 

Le papier phrase la translucidité de l’espace à la surface de vide du temps.

 

 

 

Le jour, le papier entasse la translucidité de l’espace à la surface de feu du vide. La nuit, le papier entasse la translucidité du temps à la surface de vide du feu. C’est pourquoi une phrase écrite le jour n’a jamais la même destination qu’une phrase écrite la nuit.

 

 

 

 

 

Le papier affirme le rituel du hors-tout.

 

 

 

Le papier ritualise le regard de l’espace hors-tout.

 

 

 

Le papier affirme le repos debout de l’extase.

 

 

 

Le papier affirme la crampe de translucidité de l’extase.

 

 

 

Le papier affirme le tas d’extase du vide.

 

 

 

Le papier entasse l’extase du vide au dos du feu.

 

 

 

 

 

Le papier paralyse l’immobile.

 

 

 

Le papier parabolise l’asthme.

 

 

 

Le papier paralyse la buée de métamorphose de l’immobile.

 

 

 

Le papier paraphorise l’immobilité du temps.

 

 

 

 

 

Le papier joue avec l’irresponsabilité du feu.

 

 

 

Le feu détruit le papier sans jamais le tuer. Le papier tue le feu sans jamais le détruire.

 

 

 

Le feu détruit chaque chose cependant il ne sait pas détruire le rien du tout. Le papier détruit le rien du tout et métamorphose ainsi chaque chose en main de voix du vide.

 

 

 

Le feu dévore parfois le papier sans le détruire. Le papier est la nourriture d’extase du feu.

 

 

 

L’homme a inventé le papier afin de sculpter avec la respiration de ses mains ce que le feu abandonne à la chair de vide de son aveuglement.

 

 

 

L’homme a inventé le papier afin de peaufiner ce que le feu montre comme touchable à l’instant l’instant. Le papier apparaît comme le lieu où le feu tombe touché par la répétition de l’instant.

 

 

 

Le papier apparaît comme la répétition de vide du feu. Le papier apparaît comme le siamois du feu. Le papier apparaît comme le vide siamois du feu.

 

 

 

Le papier peaufine la métamorphose siamoise du feu. Le papier apparaît comme l’âme sœur siamoise du feu, le siamois de poussière du feu.

 

 

 

Le papier projette les tempes à la surface du feu.

 

 

 

Le papier projette le monde sur la fenêtre du feu.

 

 

 

Le papier rythme la fraîcheur du feu.

 

 

 

Le papier repose la fenêtre d’amnésie du feu.

 

 

 

Le papier paralyse la fenêtre d’extase du feu.

 

 

 

Le papier envisage la décapitation du feu.

 

 

 

Le papier décapite la projection du feu.

 

 

 

Le papier syncope le feu. Le papier syncope le c’est à dire du feu.

 

 

 

Le papier affirme le dos de syncope du feu.

 

 

 

Le papier affirme le dos de coma du feu.

 

 

 

Le papier affirme le coma d’utopie du feu.

 

 

 

Le papier affirme le dos d’utopie immédiate du feu.

 

 

 

Le papier paraphorise le dos du feu.

 

 

 

Le papier métaphirise le dos d’aphasie du feu.

 

 

 

Le papier profile la lune du feu.

 

 

 

Le papier affirme le profil de gel du feu.

 

 

 

Le papier affirme la peau d’anesthésie du feu. Le papier affirme l’anesthésie-paralysie du feu comme gag de crâne de la peau.

 

 

 

 

 

L’homme a inventé le papier afin de faire marcher son crâne. L’homme a inventé le papier afin de faire marcher son crâne à la surface de vide du feu.

 

 

 

Le papier affirme la reptation d’envol du crâne.

 

 

 

L’homme a inventé le papier pour provoquer la reptation de l’envol comme la démarche contorsionniste du crâne à la surface de vide du feu.

 

 

 

L’homme a inventé le papier afin de provoquer la reptation d’envol du crâne à l’instant l’instant, au jour l’instant, au jour la nuit l’instant.

 

 

 

Le papier abstrait le crâne.

 

 

 

Le papier pâme le crâne. Le papier pâme la certitude du crâne.

 

 

 

Le papier affirme l’écran du crâne.

 

 

 

Le papier respire l’écran du crâne.

 

 

 

Le papier clandestine l’espace jusqu’à l’extase de nudité du crâne.

 

 

 

Le papier peaufine le tonnerre de sources écartelées du crâne.

 

 

 

Le papier affirme le crâne-écran du hors-tout.

 

 

 

Le papier pâme le crâne de clandestinité du feu.

 

 

 

Le papier métamorphose la peau en crâne. Le papier métamorphose le crâne en peau.

 

 

 

Le papier affirme abstrait le coma impeccable de la peau comme crâne facile du vide.

 

 

 

Le papier affirme abstrait la peau d’anesthésie de l’espace comme extase impeccable du crâne.

 

 

 

Le papier affirme abstrait la respiration du crâne comme écran impeccable de l’extase.

 

 

 

Le papier projette la bouche bée du crâne.

 

 

 

Le papier projette la bouche à chose du crâne.

 

 

 

Le papier parle avec la bouche de sommeil du crâne.

 

 

 

Le papier polarise la bouche d’aveuglement du vide.

 

 

 

Le papier projette le regard des vertèbres. Le papier projette le regard des vertèbres jusqu’à la bouche à chose du crâne. Le papier projette le regard des vertèbres jusqu’à la bouche d’aveuglement du vide.

 

 

 

 

 

Le papier dort le cosmos de la décapitation. Le papier cosmétise dort le cosmos de la décapitation.

 

 

 

Le papier décapite à blanc. Le papier paralyse la décapitation à blanc.

 

 

 

Le papier décapite le vide. Le papier décapite le vide de la clarté.

 

 

 

Le papier décapite le sommeil de vide de la clarté.

 

 

 

Le papier décapite le vide par contumace à blanc.

 

 

 

Le papier paralyse la décapitation à blanc du vide.

 

 

 

Le papier paralyse la décapitation parabolique du vide.

 

 

 

 

 

Le papier affirme le crâne de clandestinité de l’arbre comme l’arbre de clandestinité du crâne.

 

 

 

Le papier affirme la métamorphose siamoise de l’arbre et du crâne. Le papier peaufine la métamorphose du crâne en arbre comme la métamorphose de l’arbre en crâne.

 

 

 

Le papier affirme la métamorphose siamoise du vide et du feu. Le papier affirme la métamorphose siamoise de l’arbre du feu et de crâne du vide comme de l’arbre du vide et du crâne du feu.

 

 

 

Le papier paralyse le miracle d’amnésie de l’arbre.

 

 

 

Le papier poste l’arbre. Le papier poste l’arbre de la respiration. Le papier poste l’arbre de clandestinité de la respiration.

 

 

 

 

 

Le papier flirte avec l’érosion.

 

 

 

Le papier paralyse la poussière de la métamorphose.

 

 

 

Le papier palpe le visage in extremis de l’érosion.

 

 

 

 

 

Le papier décapite le sperme.

 

 

 

Le papier peaufine le sperme de la poussière.

 

 

 

Le papier paraphorise peaufine le visage de sperme de la poussière.

 

 

 

Le papier sculpte le plaisir. Le papier sculpte la poussière du plaisir.

 

 

 

Le papier lustre la poussière du feu.

 

 

 

Le papier clandestine l’arbre de sperme de la poussière.

 

 

 

Le papier palpe la transe de la respiration.

 

 

 

Le papier déclare la parabole de poussière de la respiration.

 

 

 

Le papier pénètre l’extase de poussière de la respiration.

 

 

 

 

 

Le papier sauve l’apocalypse.

 

 

 

Le papier apparait comme l’oreiller de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier affirme le zéro de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier affirme l’écran de fragilité de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier allonge debout le tas d’extase de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier projette le drap d’herbes du zéro de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier peaufine le coma de l’apocalypse. Le papier peaufine le crâne de coma de l’apocalypse.

 

 

 

Le papier tombe le vide à l’intérieur du coma de gravitation de l’apocalypse.

 

 

 

 

 

Le papier apparait comme une vitre paradoxale.

 

 

 

Le papier apparait comme la vitre de crampe de l’érosion allongée debout.

 

 

 

Le papier apparait comme la vitre du tabou facile, du tabou aisé.

 

 

 

Le papier apparait comme la vitre paradoxale qui paralyse le regard à la surface de la translucidité.

 

 

 

Le papier apparait comme la main-vitre de la paralysie. Le papier apparait comme la main-vitre de la paralysie hors-tout.

 

 

 

Le papier affirme la pulsion d’érosion de la translucidité.

 

 

 

Le papier paralyse la métamorphose par la pulsion de la translucidité. Le papier paralyse la métamorphose du cosmos hors-tout.

 

 

 

Le papier apparait comme la vitre de violence de la sensation.

 

 

 

Le papier violente le regard jusqu’à ce qu’il devienne main qui écrit.

 

 

 

La fenêtre de vide du papier contemple par la transe de clarté tacite de la chair.

 

 

 

Le papier force la main à toucher la translucidité. Le papier force le regard à contempler la translucidité. Le papier force le goût à savourer la translucidité. Le papier force l’oreille à écouter la translucidité. Le papier force l’odorat à flairer la translucidité.

 

 

 

Le papier projette la coïncidence du toucher, du regard, du goût, de l’ouïe, de l’odorat à la surface de la translucidité. Ainsi le coma impeccable du papier transforme la chair en charme de sang.

 

 

 

 

 

Le papier dort la fenêtre.

 

 

 

Le papier poste le sommeil de la fenêtre.

 

 

 

Le papier polarise drape la fenêtre de tempes du feu.

 

 

 

Le papier projette la fenêtre de poussière de l’aphasie.

 

 

 

 

 

Il existe plusieurs postures du papier. L’apparition du papier sous les mains, sur les mains, en marge des mains, à l’extrémité des mains, en deçà des mains, au dos des mains, au dos du vide des mains, à l’intérieur de la respiration des mains, à l’intérieur du sommeil des mains, par la lucidité des mains, par la translucidité des mains, par le crâne d’imminence des mains.

 

 

 

Le papier apparait comme la paupière de la main.

 

 

 

Le papier apparait comme la paupière de souffle de la main.

 

 

 

Le papier apparait comme la main du vide. Le papier apparait comme la main-visage du vide.

 

 

 

Le papier apparait comme la paupière de souffle du vide de la main.

 

 

 

Le papier métamorphose le regard en main. Le papier métamorphose le regard de la peau en main du crâne et le regard du crâne en main du feu.

 

 

 

Le papier peaufine la paupière des vertèbres. Le papier peaufine la paupière de vertèbres de la main.

 

 

 

Le papier projette peaufine la respiration de la main. Le papier projette peaufine le crâne de respiration de la main.

 

 

 

 

 

Le papier happe l’aura.

 

 

 

Le papier surfacilite l’emprise.

 

 

 

Le papier surfacilite happe l’emprise de gel de l’aura.

 

 

 

Le papier gèle le jour avant jour.

 

 

 

Le papier envisage le par quoi de gel de l’abstraction.

 

 

 

 

 

Le papier affirme le vide apocryphe de la clarté tacite. Le papier affirme le vide tacite de la clarté apocryphe.

 

 

 

Le papier clarifie la volupté.

 

 

 

Le papier temporise la projection de la clarté.

 

 

 

Le papier subtilise la terre par le repos debout de la clarté.

 

 

 

Le papier apaise le désordre. Le papier apaise le désordre du comme par quoi.

 

 

 

 

 

Le papier préfère l’instant fatal.

 

 

 

Le papier improvise la surface de la fatalité.

 

 

 

 

 

Le papier parle à la solitude du langage.

 

 

 

Le papier touche la paralysie de clarté du langage.

 

 

 

 

 

Le papier respire le silence du feu.

 

 

 

Le papier paraphorise la respiration du feu.

 

 

 

Le papier paraphorise le silence du feu.

 

 

 

Le papier ritualise la respiration de feu de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

Le papier fructiphorise l’impact de la crampe.

 

 

 

Le papier filtre la paralysie. Le papier filtre l’oreille de la paralysie.

 

 

 

Le papier affirme la confiance du mépris. Le papier affirme l’aura du loisir comme l’emprise de confiance du mépris.

 

 

 

 

 

Le papier apparait comme l’oreiller de la lucidité.

 

 

 

Le papier apparait comme le panier des planètes.

 

 

 

Le papier apparait comme la pancarte de vent de l’inconnu.

 

 

 

 

 

Le papier démange la passion du vide.

 

 

 

Le papier palpe l’intuition de déjà.

 

 

 

Le papier palpe l’abstraction de déjà.

 

 

 

Le papier affirme le repos aveugle de tu avec déjà.

 

 

 

Le papier affirme la neige de l’aveuglement. Le papier affirme la neige aveugle de tu avec déjà.

 

 

 

 

 

Le papier sculpte la pluie.

 

 

 

Le papier improvise la lune.

 

 

 

Le papier lave l’approximation.

 

 

 

Le papier diapre la certitude.

 

 

 

Le papier compose le gésir de l’âge.

 

 

 

 

 

Le papier polarise l’énigme des nuages.

 

 

 

Le papier porte les nuages sur ses épaules.

 

 

 

Le papier apparait comme l’Atlas-Sphinx-Sisyphe des nuages.

 

 

 

 

 

Le papier hypothétise l’exaltation.

 

 

 

Le papier hypothétise l’enthousiasme.

 

 

 

Le papier diapose la main de la voix.

 

 

 

Le papier cartographie l’impact du tact.

 

 

 

Le papier polarise la planète de l’anesthésie.

 

 

 

 

 

Le papier cible l’arbre du gel.

 

 

 

Le papier arque la racine du sucre.

 

 

 

Le papier diapose l’impact de l’herbe.

 

 

 

Le papier épanouit la cendre. Le papier épanouit les tympans de la cendre.

 

 

 

Le papier improvise l’hiver. Le papier improvise l’hiver du matin.

 

 

 

 

 

Seul le papier sait comment plaisanter avec le silence.

 

 

 

Le Christ n’écrit pas sur du papier, le Christ parle sur la terre.

 

 

 

Le Bouddha ne pense pas avec son cerveau. Le Bouddha pense avec du papier.

 

 

 

 

 

Le papier est le mime et parfait.

 

 

 

Le papillon du papier gobe une banquise de baillons-gags.

 

 

 

 

 

Le papier révèle un linceul usagé. Le papier révèle un linceul usagé par la disparition de la mort.

 

 

 

Le papier végétalise la conversation de solitude de l’amnésie.

 

 

 

Le papier révèle un linceul usagé par le sommeil de solitude de l’amnésie.

 

 

 

 

 

Le papier affirme l’arbre du verre.

 

 

 

Le papier timbre la lettre clandestine de l’arbre.

 

 

 

Le papier palindromise l’arbre de la translucidité.

 

 

 

Le papier incruste les brins de haches du chant.

 

 

 

 

 

Le papier parachute le vide.

 

 

 

Le papier parachute ainsi.

 

 

 

Le papier parachute le vide d’ainsi.

 

 

 

Le papier parachute l’hermétisme ouvert de l’intuition.

 

 

 

Le papier parachute le filtre du vide. Le papier parachute la paralysie du vide.

 

 

 

Le papier parachute le filtre de paralysie du vide.

 

 

 

Le papier parachute le tas d’extase du vide.

 

 

 

 

 

Le papier paravole l’illisible.

 

 

 

Le jour, le papier paravole le crâne d’illisibilité de la bouche.

 

 

 

La nuit, le papier parachute la bouche d’illisibilité du crâne.