Table
La table tient. La table tétanise. La table tient le carré de l’arbre. La table tétanise le carré de l’arbre.
La table accroupit. La table tétanise accroupit. La table tétanise accroupit le carré de l’arbre.
La table cadre. La table cadre la terre. La table cadre l’habitude de la terre. La table cadre absorbe. La table cadre absorbe la lévitation de la terre. La table cadre absorbe la lévitation d’habitude de la terre.
La table tient la fenêtre de la terre. La table tétanise la fenêtre de la terre.
La table tient debout. La table tient bon. La table tient debout bon. La table tient le vide debout bon.
La table tient retombe. La table tient retombe abstrait. La table tient retombe abstrait les tempes du thorax.
La table plante le thorax des braises. La table tient l’écran de l’écorce.
La table littéralise. La table échafaude. La table littéralise échafaude le visage du thorax. La table littéralise échafaude le visage d’écorce du thorax.
La table repose comme une souche-ruban.
La table berce. La table épaule. La table berce épaule la souche des rubans.
La table rabote. La table rabote l’aphasie. La table rabote l’archétype de l’aphasie.
La table rythme. La table rythme les racines du tabou.
La table boit. La table boit la fumée du tonnerre. La table boit la crampe de fumée du tonnerre. La table boit le tonnerre de fumée du besoin.
La table archive. La table archive l’anatomie. La table archive l’anatomie des ombres.
La table tranquillise. La table tranquillise les ressemblances. La table tranquillise le bain de brûlures des ressemblances.
La table berce les tibias de l’ainsi. La table berce les tibias du c’est à dire. La table berce les tibias du c’est à dire ainsi.
La table caractérise. La table caractérise l’hébétude.
La table ralentit. La table ralentit le tour du monde.
La table taille. La table taille l’équilibre. La table taille l’équilibre du noir.
La table plante. La table plante le tremplin du torse. La table cartographie. La table cartographie le tremplin du torse.
La table tamise. La table tamise le bond. La table tamise le merci beaucoup du bond.
La table enracine. La table enracine l’échafaudage du tonnerre. La table enracine l’échafaudage de tonnerre du besoin.
La table tétanise le montage. La table tétanise le montage du noir.
La table compose les hématomes de l’habitude. La table enracine le montage de l’habitude.
La table syntaxise l’extase. La table syntaxise la béatitude. La table syntaxise l’habitude de l’extase.
La table timbre. La table timbre l’arbre. La table timbre le regard de l’arbre.
La table tubule. La table tubule l’intonation de la fable. La table boit l’intonation de la fable.
La table dorlote. La table coagule. La table dorlote la coagulation de quoi. La table dorlote la coagulation de ainsi quoi.
La table repose le linge des champignons. La table repasse le linge des champignons. La table repose en paix de ça.
La table juxtapose. La table juxtapose les pulsions. La table juxtapose les pulsions de l’utopie. La table catalyse. La table catalyse les pulsions de l’utopie.
La table écartèle. La table écartèle le temps. La table écartèle l’humus du temps.
La table repose taciturne. La table imprime. La table imprime le brouhaha taciturne du temps. La table brode le brouhaha. La table brode le brouhaha du temps. La table brode le brouhaha taciturne du temps.
La table hurle le front.
La table décante le trapèze des coudes
La table tamise le cheval de la bouche.
La table chevauche la bouche du crâne.
La table absorbe l’écran de l’écorce.
La table tranquillise la brûlure de l’ascèse.
La table équilibre l’abîme du tabou.
La table compose le berceau de l’habitude.
La table rythme l’établi de l’absurde.
La table tamise la fumée des réflexes.
La table cadre la fumée de l’ascèse.
La table boit la fumée du besoin.
La table repose la tumeur de la méditation.
La table abstrait le repas du repos.
La table tétanise l’anarchie du chocolat.
La table étreint la balançoire de l’humus.
La table tamise abstrait le tremplin de l’humus.
La table abstrait l’ombre de l’à bientôt.
La table pose la charpente du pain.
La table ébat la baignoire des marteaux.
La table berce le lit du regard.
La table tient le tremplin du vide.
La table pose le tambour de la distinction.
La table tranquillise l’amoralité.
La table anatomise l’aussitôt de l’ascèse.
La table tétanise le thorax de la contiguïté.
La table chante l’étonnement du noir.
La table enracine le bain des haches. La table enracine le chant des haches.
La table allonge debout la fenêtre de l’obscur.
La table pétrit la bibliothèque. La table pétrit la bibliothèque des accroupissements.
La table compose l’extase du besoin.
La table rythme le besoin du tas.
La table apparait comme un piano tacite.
La table apparait comme le piano des poumons. La table attise le piano des poumons. La table chevauche le piano des poumons.
La table apparait comme un pont de blé. La table apparait comme un pont de bouche bée.
La table apparait comme le piano des poumons-tibias.
La table caresse le carré. La table caresse le carré de l’anachronisme.
La table axe la contiguïté. La table axe le hasard de la contiguïté.
La table sculpte le montage. La table sculpte le montage de l’abandon. La table sculpte le montage du noir.
La table tamise la gourmandise du brouhaha.
La table échafaude la transhumance des tympans.
La table mâche l’échelle des langues. La table mâche une échelle de langues pendues par les pieds.
La table apparait comme le matelas de la pâmoison tenace. La table apparait comme le matelas des météores. La table apparait comme le matelas de transmutation des météores.
La table habille déshabille l’inhumation du jour. La table enjambe l’inhumation du jour. La table enjambe l’athéisme du jour.
La table anesthésie la pendaison de la guillotine. La table ritualise la pendaison du décapité.
La table télégraphie le pain. La table télégraphie les retrouvailles du pain.
La table apparait comme l’atlas de palpation du pain.
La table sculpte la boulangerie des intonations.
La table tend la main de l’obscur.
La table lape la paume du volcan.
La table palpe la langue-regard du puits.
La table plante des intonations La table plante des langues de pierre. La table plante des arômes de pierre. La table plante repose des acrobaties d’archétypes.
La table temporise l’aphasie de l’immédiat.
La table épaule la main. La table épaule le sentiment de la main.
La table épaule les empreintes digitales du puits.
La table équilibre les empreintes digitales du tabou.
La table transforme la falaise en ruban.
La table balaie la fenêtre avec la souche.
La table survole assise. La table survole l’abîme assise.
La table matérialise abstrait l’habitude du devenir.
La table emboite la brûlure de l’ascèse.
La table chie la sublimation. La table chie la brûlure de la sublimation.
La table tranquillise le chaos. La table tranquillise le comment du chaos.
La table bâtit le vide. La table bâtit les tentacules du vide.
La table béquille les acrobaties du désert.
La table juxtapose des échelles de cendres. La table cueille des échelles de cendres.
La table coude l’humus des voix. La table coude la danse d’humus des voix.
La table assoit l’arbre de la bouche. La table globalise le travail de la bouche.
La table catatonise le demain du comme toujours.
La table établit le plancher de la langue.
La table appose l’escabeau des sourcils.
La table appose le chevalet de la salive.
La table catalyse le fauteuil de l’odorat.
La table repose à califourchon sur le vide.
La table repose la charpente des retrouvailles du vide.
La table étreint la falaise des prétextes. La table étreint la falaise des taille-crayons. La table étreint la falaise de prétextes des taille-crayons.
La table apparait comme une quasi terre, une quasi terre face à temps.
La table tranquillise la fumée du face à temps.
La table embaume le monologue. La table embaume le monologue de l’écart.
La table tamise l’équilibre de l’écart. La table tamise la gravitation du temps.
La table tient la tête du jour.
La table transit la nourriture.
La table jardine la fumée.
La table catapulte la syntaxe.
La table sculpte la voix.
La table tient le carré de l’arbre.
La table caractérise l’hébétude.
La table tient le carré de l’arbre
La table berce les tibias du c’est à dire ainsi.
La table tient le carré de l’arbre.
La table rythme les racines du tabou.
La table tient le carré de l’arbre.
La table tétanise le montage du noir.
La table tient le carré de l’arbre.
La table taille l’équilibre du noir.
La table tient le carré de l’arbre
La table tamise la crampe de fumée du tonnerre.
La table tient le carré de l’arbre.
La table littéralise le visage du thorax.
La table tient le carré de l’arbre.
La table ritualise la pendaison du décapité.
La table tient le carré de l’arbre.
La table tend la main de l’obscur.
La table tient le carré de l’arbre.
La table ralentit le tour du monde.
La table tient le carré de l’arbre.
La table rythme le besoin du tas.
La table tient le carré de l’arbre.
La table catapulte la syntaxe.
La table tient le carré de l’arbre.
La table sculpte la voix.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table étreint la falaise des taille-crayons.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table épaule la souche des rubans.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table berce les tibias du merci beaucoup.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table ralentit le tour du monde.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table hurle le front.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table absorbe l’écran de l’écorce.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table repose la tumeur de la méditation.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table syntaxise l’habitude de l’extase.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table équilibre l’abîme du tabou.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table pétrit la bibliothèque des accroupissements.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table accroupit l’arbre du crâne.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table sculpte le montage de l’obscur.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table caresse le carré de l’anachronisme.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table enjambe l’inhumation du jour.
La table décante le trapèze des coudes.
La table plante le thorax des braises.
La table chante l’étonnement du noir.
La table allonge debout la fenêtre de l’obscur.
La table abstrait les tempes du thorax.
La table échafaude le visage d’écorce du thorax.
La table assoit l’arbre de la bouche.
La table accroupit l’arbre du crâne.
La table caresse le carré de l’anachronisme.
La table cadre absorbe l’habitude de la terre.
La table échafaude absorbe l’écran de l’écorce.
La table tamise la fumée des réflexes.
La table tétanise le carré de l’arbre.
La table échafaude sculpte le montage d’habitude de l’extase.
La table sculpte le montage de l’obscur.
La table cadre les crampes de la fumée.
La table abstrait la balançoire de l’humus.
La table cadre absorbe la gravitation du temps.
La table taille l’équilibre du noir.
La table enracine le chant des haches.
La table danse la fumée des voix.
La table enjambe l’inhumation du jour.
La table berce à coups de marteau.
La table repose les fruits de la cendre.
La table tamise les robes de marteaux de l’enclume.
La table tétanise la charpente de cérémonie du vent.
La table chevauche le piano des poumons.
La table berce le pont du blé.
La table épaule la langue du puits.
La table tranquillise la baignoire des marteaux.
La table palpe le lit des regards.
La table plante l’arôme des pierres.
La table berce la bibliothèque des accroupissements.
La table béquille le vide.
La table dorlote le théâtre de l’oubli.
La table lape balaie la paume du volcan.
La table rythme repose l’abattoir des tombeaux.
La table cueille l’échelle de la cendre.
La table nourrit le chevalet des sourcils.
La table équilibre la brûlure de la sublimation.
La table cartographie l’embrasure du tonnerre.
La table tubule le montage de l’arbre.
La table bégaie tamise l’architectonie du noir.
La table retombe le motif d’hématomes de maintenant.
La table tamise l’ossature d’ombre du surtout.
La table temporise la fumée de têtes de l’automne.
La table maintient l’abattoir du recommencement.
La table transmute le cadre en tableau.
La table appose le pont qui relie une source à une autre.
La table établit le piédestal des tremblements.
La table sculpte le tableau de la parole.
La table tamise le vide de la terre.
La table tamise le tableau de parole de la terre.
La table rythme le tableau de vide de la terre.
La table berce le jardin des bouteilles.
La table entasse le lavabo des brûlures.
La table théâtralise les opérations à cœur ouvert de l’oubli.
La table bégaie entre la planche de salut et le plan de cercueil.
La table temporise mâche le matelas des météores.
La table tranquillise embaume le monologue du tabou.
La table tamise les acrobaties du comme toujours.
La table timbre le brouillard.
La table tétanise l’anarchie.
La table catapulte le pain.
La table piédestalise la pâmoison.
La table cartographie tamise la tête de fumée du tonnerre.
La table tousse cueille le face à temps.
La table embrasse l’ascèse.
La table ritualise la pendaison des décapités.
La table enjambe abstrait la falaise de la fraîcheur.