C'est une révolution d'adieux. Il est accoudé à une idée comme la distraction de sa fureur est accouchée à la machination de ses mâchoires. Devant lui telle une fête armée de patience pour parvenir tant bien que mal à ses fins, il y a attendre une seconde nom de Dieu c'est pas vrai, un peuple similaire à une spirale de diamants. Il regarde le masque cynique de l'atmosphère et il ne pense à rien autrement dit bien entendu soi-disant dis-donc à ce que dirait l'un. Son regard est un chemin perdu. L'absurdité du vide a confié à ses paupières la voix qui parle. Ainsi juxtaposé au je nous du je sais ou je te tue, il a choisi de chanter une berceuse à sa pourriture et il s'est enfui de l'autre côté de son crime. A quoi tu penses? Essaie de savoir. C'est trop facile. Tu veux que je te le dise? Eh bien, à l'évidence non. Tel est le scepticisme dérisoire du jugement dernier.
Le titre est une agréable agonie. Il ne sait pas au juste ce que c'est, cependant il est flagrant que c'est intitulé ainsi. Un massacre au champagne, le problème de bégaiement d'un cri à déshabiller les labyrinthes, qu'il éternue moqueur. Au centre de ses oreilles s'immiscent alors d'autres oreilles qui cherchent à imprimer un ventre réversible de larmes. Humblement elles disent. "Zéro un, zéro deux, zéro hier, zéro demain". La perfection l'ennuie et révéler une hargne de dentelle, c'est difficile. Quel travail, c'est-à-dire pourquoi pas quel repos, pour celui qui désire inventer une scie qui aurait la douceur endeuillée de la soie.
A l'intérieur d'une prison dont les murmures ressemblent aux ailes de papillons de la paresse, la preuve de peur de l'il y a prononce le nom d'un homme que l'attente connaît sans l'avoir jamais rencontré, un homme que justement le doute de tautologie de la peur n'ignore que de nom, autrement dit donc il est trop tard. Il est vrai que deux et deux font deux, trois, quatre, et caetera, cela dépend du nombre de pendus que la vérité a sous les yeux. A l'intérieur d'une prison attendre et personne d'autre subodore au subjonctif plus que parfait que l’il y a avoue la vie et ou la vie d'un jumeau à mot à jeun, l'œuf de rien du tout que l'alphabet de l'anonymat digère en tout tant bien que mal tout honneur.
A recommencer est l'autre jour de ses obsèques. Il est vrai que son corbillard avance prudemment, cependant avec intrépidité, il avance. Il n'est pas interdit de penser que de temps à autre le cadavre proteste, il pond un œuf. Ce qui est vrai n'existe pas.
Le clown crucifié à un flocon de vide vagabonde à l'intérieur de à. II s'immobilise soudain à coups de point-virgule d'exclamation face à ce qui désire ressembler sans y parvenir à une vitrine d'incognito où on vend des visages. Presque aussi désespéré qu'un microbe qui ne gagne jamais à la loterie lorsqu'il n'y joue pas, le clown pousse un soupir comme un gentil meurtrier, au bord d'une falaise, pousse un homme dans le vide, puis avec une mathématique subtilité il demande "une glace au vagin s'il vous plait." Cristallisée par la chute libre, la marchande n'affecte aucune surprise. "Combien de boules ?" "Aucune idée, je ne sais pas, autant que de choses que j'ai oubliées".
Est-il l'élève ou le professeur? En tout cas, il est difficile de démentir qu'un cadavre somnole sur sa valise. La dame à qui, en échange d'un mort d'excuse, il demande un billet d'où, l'accuse d'être le meurtrier. Il est vrai qu'il n'est pas entré par la porte, mais être le meurtrier c'est impossible, il est en retard, et d’ailleurs ce n'est pas une valise c'est un cartable, la preuve en est qu'il c'est ce qu'il y a dedans. A la seconde où il se retourne, il est au tribunal. Quelqu'un dont il ne voit que le cerveau annonce "Le cœur de la question est, pourquoi y a-t-il rien plutôt que plutôt rien ?"
Il cherche l'espace de sortie d'un corridor d'adieux. Il découvre alors un chemin de tact outrancier, un chemin qui s'enfonce de presque 365 jours tous les 50 centimètres. Après l'avoir découvert, il cherche encore plutôt que de le parcourir, à l'immiscer au sommet de la scintillation de promesse de ses poumons.
Comme dirait l'autre la prononciation est à ne pas croire. Il croise une femme devant un panneau de sens interdit. Il lui annonce que lorsqu'il sera enceint, elle pourra le remplacer. Elle est interloquée, manifestement elle n'a pas foi en la vérité des facteurs. Il trouve qu'elle est coquette comme un crustacé. Et il se demande alors si toute sa vie ne sera pas identique à un accident de son cœur.
Comment appeler ça ? C'est un morceau de pensée. Comment appeler ça ? Croquer le quiproquo d'adieu de la mort comme dirait l'autrement dit. C'est un morceau de pensée soi-disant né où je ne sais quoi a perdu et s'est cassé, un morceau de dent. Tel un point d'interrogation appelle au secours, c'est le morceau d'une dent qui décide d'hésiter donc et car. Comme dirait soi-disant l'autre est un morceau de dent cassée, il se demande si, à condition qu’il soigne la dent cassée, les autres dents indemnes délibéreront de telle sorte qu’elles décideront alors la faille d'obligation logique de l'il y a. Donc et car appeler à penser : la sine qua non aporie du deuil.
Il croit qu'il est obligatoire d'obtenir à chaque seconde un droit d'usage du non accordé exclusivement à travers le miroir démenti de l'erreur. Il ne comprend pas un traître mot à ce qu'il pense. Il se demande s’il y a un homme assez ignorant pour connaître le cœur exsangue de l'histoire. Il a souhaité subsister en tant que distributeur d'agonie de la gloire et ce désir n'a cependant pas engendré la moindre révolution dans sa vie. Il pense donc que ce n'est pas parce qu'une femme a délibérément utilisé le fœtus avorté qu'elle conservait dans un flacon de parfum pour pouvoir accomplir un crime de maquillage, que la vérité en personne lui expliquera au moins une fois que si un bateau traverse la mer en neuf jours alors bien entendu trois bateaux la traversent en trois.
Le mur est un miroir est un miroir est un mur. Derrière autrement dit devant c'est à ne pas dire entre il y a la simutilation à l'exception de qui plus est pas le moins du monde à tout prendre tel le suicide de lumière de l'etcaetera y compris.
Il n'y a pas de mur, il n'y a que des myriades de bulles, des bulles comme des mâchoires. A chaque fois que quelqu'un essaie de dire une phrase fidèle, une bulle se change alors en alibi d'une obsession d'alphabet. Cette bulle reste indiscernable parmi des milliers d'autres et si quelqu'un par chance la touche, il devient sinon de le savoir.
C'est une montagne de virgules, une montagne de ponctuations à l'agonie. Le tribunal de l'anonymat prétend que cette montagne est intouchable et que si quelqu'un tente cependant d'accomplir cet acte, la montagne fait alors volte-face au cœur de l'invisible.
II s'agit d'une poubelle à hypnotiser les massacres a priori, une poubelle de myriades de décisions muettes et de bulles d'insomnies. "Dis-moi, tu te souviens." prononce une pensée. Et la transparence d'ubiquité de la quasi même pensée dit "non, bien entendu, quand bien même c'est bien le diable si je vous parle, je ne m'en souviens pas."
Il s'agit de la perfection infinitésimale d'un son continu. A travers l’anonymat de ce son, la guerre lasse d'une image le désigne en tant qu'alphabet de l’insomnie.
Après l’avoir scruté un ou deux siècles avec une glorieuse tranquillité comme si c’était une strate géologique, il en déduisit tout compte fait et ce dénombrement était une fable, que ce qu’il avait ainsi sous les yeux depuis des lustres, comme dirait l’orifice artificiel de l’autre, n’était pas comme il l’avait pensé une ville mais l’anniversaire d’une ville.
Etant donné l'existence indiscutable du chaos, il chaotise. Il chaotise apocryphe selon. L'apostrophe de la décapitation le parfume d'imminence. Il a livré sa tête à ceux que ça intéresse à l'extrémité de l'ainsi. Parfois quand il dort, les mâchoires de sa respiration multiplient des exclamations de tact. Il chaotise par là-même l'affectation de son équilibre avec la roue de désespoir du feu.
Chez avec donné l'existence indiscutable du chaos, il chaotise. Quand il chaotise, le hasard de ses mâchoires dédaigne le regard du temps. Quand il chaotise, il soude le destin au vide, il saccage la monotonie du soleil, la chance explose de douleur subtile à l'intérieur de ses os. Ensuite il écartèle les pulsations de l'âme avec la respiration de ses oreilles et il indique gentiment à ceux que ça intéresse qu'un jour ou l'autre ils les jettera par la fenêtre de son ventre. Les plus gracieux d'entre eux, il parvient à les éternuer au dos de l'invisible afin de les détruire une dernière fois. Il reconnaît ainsi les animaux du monde élégant.
A l’instant où il choisit de chaotiser l’au revoir avec la crucifixion du vide, il a la révélation de désespoir que son visage ne serait plus maintenant que l'énigme d'envol de son âge, un visage comme le labyrinthe de cendres hurlées du tabou, un visage où les yeux utilisent la langue comme organe de locomotion du ciel.
C'est une forme de s'il vous plait éloignée de la politesse. C'est une chaise et auprès de cette chaise, un fruit magnifique, un melon, un melon désœuvré et invulnérable, un melon au revoir et à bientôt. C'est une forme de s'il vous plait qui détruit à jamais le désir de vérité du cerveau. Elle révèle que le melon est la baignoire éblouie de la chaise et que la chaise vient à l'instant de laver la simplicité de son désespoir à l'intérieur du melon.
Il n’a peur que des miettes de pain. Il a peur que les miettes de pain le bouleversent, l’émeuvent et le détruisent selon une vengeance indéchiffrable. Il a peur que les miettes de pain aient faim de ses propres mâchoires et que ses propres mâchoires ainsi désirées par cette faim cherchent alors paradoxalement à se libérer.