Marges d’Humour Rose de Malcolm de Chazal

 

 

 

 

 

 

 

« La lumière dort debout et la nuit dans tous les sens. »

 

La nuit dort debout. La nuit dort debout à l’intérieur de l’allongement. La nuit dort debout à l’intérieur de la démesure de l’allongement. La nuit dort debout au sommet de l’allongement.  La nuit dort debout au sommet de la démesure de l’allongement. La nuit dort debout à l’intérieur de la démesure du silence. La nuit dort debout à l’intérieur de la démesure de silence de l’allongement. La nuit dort debout à l’intérieur de la démesure d’allongement du silence.

 

 

 

« L’espace a pour seule clef  le regard. »

 

L’espace a pour seule clef le regard du vide. L’espace a pour seule clef la main du vide. L’espace a pour seule clef la main de regard du vide. L’espace a pour seule clef le regard perdu du vide, la main de regard perdu du vide.

 

 

 

« L’ombre est la valise de l’espace. »

 

L’ombre attend comme la valise d’amnésie de l’espace. L’ombre attend comme la valise d’absurdité de l’espace. L’ombre attend comme la valise d’amnésie absurde de l’espace. L’ombre attend comme la valise de honte de l’espace. L’ombre attend comme la valise de honte absurde de l’espace.

 

 

 

 

 

« Le vent est en courte haleine quand on lui applique des gifles. »

 

Le vent exclame l’haleine de l’espace. Le vent exclame le souffle de l’espace. Le vent exclame l’haleine de rêves de l’espace. Le vent exclame le ravissement de l’espace. Le vent exclame l’haleine de ravissement de l’espace, le souffle de ravissement de l’espace.

 

 

 

« La pluie laissa tomber sa ceinture dans l’onde de la vague. »

 

La pluie enrubanne l’espace. La pluie enrubanne la paix de l’espace. La pluie enrubanne l’épouvante de l’espace. La pluie à l’intérieur du vent enrubanne la paix d’épouvante de l’espace. La pluie à l’intérieur du vent enrubanne les spasmes de l’espace. La pluie à l’intérieur du vent enrubanne les spasmes de paix de l’espace, les spasmes d’épouvante de l’espace, les spasmes d’épouvante paisible de l’espace.

 

 

 

« Le brouillard est un parapluie sans baleine. »

 

Le brouillard entasse des parapluies. Le brouillard entasse les parapluies de l’eau. Le brouillard entasse les parapluies de l’habitude. Le brouillard entasse les parapluies de l’hébétude. Le brouillard entasse l’habitude de l’eau. Le brouillard entasse l’hébétude de l’eau. Le brouillard entasse les parapluies d’habitude de l’eau, les parapluies d’hébétude de l’eau. Le brouillard entasse les montgolfières de l’eau. Le brouillard entasse les montgolfières d’habitude de l’eau, les montgolfières d’hébétude de l’eau.

 

 

 

 

 

« La source donnait des baise-mains au vent dans ses clapotis. »

 

La source donne des baise-mains au vide. La source  donne des baise-main à l’oubli. La source donne des baise-mains au vide de l’oubli. La source donne des baise-mains au sourire  de l’oubli. La source donne des baise-mains au sourire du vide. La source donne des baise-mains au sourire de vide de l’oubli.

 

 

 

« La rivière est au décolleté de son lit. »

 

La rivière marche au décolleté de son lit. La rivière nage au décolleté de son lit. La rivière marche la nage au décolleté de son lit. La rivière marche la roue du ravissement au décolleté de son lit. La rivière marche la roue de ravissement de la nage au décolleté de son lit. La rivière marche la roue de ravissement de l’eau au décolleté de rêves de son lit. La rivière marche la roue de rêves de l’eau au décolleté de ravissement de son lit.

 

 

 

 

 

« L’eau dans le vase ne dépassa pas la hauteur de ses reins. »

 

L’eau dans le vase essaie de plonger le puits à l’intérieur de la balle de ping-pong. L’eau dans le vase essaie de peler le puits. L’eau dans le vase essaie de peler le puits avec son ombre. L’eau dans le vase essaie de peler l’œuf du puits. L’eau dans le vase essaie de peler le puits avec le sourire de son ombre. L’eau dans le vase suçote l’œuf du puits. L’eau dans le vase suçote l’œuf du puits avec le sourire de son ombre. L’eau dans le vase suçote la balle de ping-pong du puits. L’eau dans le vase suçote la balle de ping-pong du puits avec le sourire de son ombre. L’eau dans le vase se tient les reins avec son sourire. L’eau dans le vase se tient les reins avec le sourire de son ombre. L’eau dans le vase se tient les reins avec le sourire de ses larmes. L’eau dans le vase se tient les reins avec les larmes de son sourire, avec les larmes d’ombre de son sourire. L’eau dans le vase se tient les reins avec la sorcellerie de son sourire, avec les larmes ensorcelées de son sourire, avec la sorcellerie de larmes de son sourire. 

 

 

 

« La robe éternuait dans ses volants. »

 

L’écume éternue des sourires. L’écume éternue de sourires de sel. L’écume éternue des sourires de culs.  L’écume éternue les sourires de culs du sel.

 

 

 

 

 

« Son regard sourçait. »

 

Le regard source l’illusion. Le regard source un océan d’illusion. Le regard source un désert d’illusion. Le regard source une rosace d’illusion. Le regard source une rosace d’illusion illicite. Le regard source une rosace d’illusion hors-la loi. Le regard source une rosace d’illusion littérale. Le regard source une rosace d’illusion littérale illicite, une rosace d’illusion littérale hors-la loi. Le regard source une rosace d’illusion imminente. Le regard source la rosace d’illusion du miracle. Le regard source la rosace d’illusion de l’ainsi. Le regard source la rosace d’illusion imminente du miracle, la rosace d’illusion imminente de l’ainsi. Le regard source l’au-revoir. Le regard source la rosace de l’au-revoir. Le regard source la rosace d’illusion de l‘au-revoir. Le regard source la rosace d’illusion imminente de l’au-revoir.

 

 

 

 

 

« La langue est ce qui de notre corps nous est le plus familier. »

 

A l’instant de la parole la langue devient la vagabonde de la bouche. A l’instant de la parole  la langue voyage paralysée à l’intérieur la bouche. A l’instant de la parole la langue invente un voyage de paralysie à l’intérieur de la bouche.

 

 

 

 « La bouche du bébé est son premier bonbon. »

 

La bouche bée suce le bonbon du vide. La bouche bée savoure le bonbon du vide. La bouche bée savoure le hurlement du vide. La bouche bée savoure le hurlement de bonbon du vide. La bouche bée savoure le bonbon de hurlement du vide.

 

 

 

« L’haleine a toujours peur qu’on la dévore. »

 

L’haleine enrubanne le vide. L’haleine enrubanne les yeux du vide. L’haleine enrubanne les ailes du vide. L’haleine enrubanne les ailes d’yeux du vide. L’haleine enrubanne les ailes du souffle. L’haleine enrubanne les yeux du souffle. L’haleine enrubanne les ailes d’yeux du souffle. L’haleine enrubanne les ailes de souffle du vide.

 

 

 

« L’haleine chante dans le baiser. »

 

Le baiser ébroue le chant de l’haleine. Le baiser ébroue le sourire de l’haleine. Le baiser ébroue le chant de sourires de l’haleine. Le baiser ébroue le chant du souffle. Le baiser ébroue le chant de sourires du souffle. Le baiser boit le chant de l’haleine. Le baiser boit le chant de sourires de l’haleine. Le baiser boit le chant du souffle. Le baiser boit le chant de sourires du souffle. 

 

 

 

« Le baiser est le sein qui tète. »

 

La bouche tète le souffle à l’intérieur du baiser. La bouche tète l’éblouissement du souffle à l’intérieur du baiser. La bouche tète la roue du souffle, la roue d’éblouissement du souffle à l’intérieur du baiser. Le baiser tète l’éblouissement du souffle. Le baiser tète la roue du souffle. Le baiser tète la roue d’éblouissement du souffle. Le baiser tète l’aveuglement du souffle. Le baiser tète la roue d’aveuglement du souffle. Le baiser tète la main du souffle. Le baiser tète la main d’aveuglement du souffle. Le baiser boit le crâne de la respiration. Le baiser boit le crâne d’aveuglement de la respiration. Le baiser boit le sourire de la respiration. Le baiser boit le crâne de sourires de la respiration. Le baiser boit le crâne de sourires aveugles de la respiration.

 

 

 

 

 

« Le visage dans l’effroi se comportait comme une main. »

 

Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre. Le visage de l’épouvante multiplie les mains du déséquilibre. Le visage de l’épouvante multiplie les mains d’ombre du déséquilibre. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de la démence. Le visage de l’épouvante multiplie les mains d’ombre de la démence. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre les tympans et les yeux. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre les tempes et les yeux. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre le pain des tempes et la viande des yeux. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre le pain d’encens des tempes et la viande d’ailes des yeux, entre le pain d’ailes des tempes et la viande d’encens des yeux. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre le pain de poivre des tempes et la viande d’azote des yeux. Le visage de l’épouvante multiplie les mains de l’ombre entre le pain des tempes et les zigzags des yeux, entre le pain de poivre de tempes et les zigzags de viande des yeux.

 

 

 

 

 

« Le gant attrapa sa main quand on le mit. »

 

Le gant attrape la main par son ombre. Le gant enveloppe la main avec son ombre. Le gant enveloppe la main avec l’engourdissement de son ombre. Le gant enveloppe la main avec la souplesse de son ombre, avec l’engourdissement de souplesse de son ombre. Le gant attrape la main avec l’engourdissement de son ombre. Le gant attrape la main avec l’engourdissement de souplesse de son ombre.

 

 

 

« La gifle n’en croyait pas ses bras. »

 

La gifle reste abasourdie par la disparition du bras. La gifle reste abasourdie par la volatilisation du bras. La gifle reste abasourdie par la volatilisation soudaine du bras. La gifle reste abasourdie par la disparition soudaine du bras. La gifle reste abasourdie par la déflagration du bras. La gifle reste abasourdie par la déflagration de cils du bras.

 

 

 

« Elle avait des pas sages dans des pieds fous. »

 

Incruster la sagesse de ses pas à l’intérieur de la démence de ses pieds comme la sagesse de ses pieds à l’intérieur de la démence de ses pas. Marcher afin de provoquer la trajectoire de coïncidence de la sagesse des pas avec la démence des pieds comme de la sagesse de pieds  avec la démence des pas.

 

 

 

« La dernière sensation du pendu c’est qu’on lui arrache les pieds. »

 

La dernière sensation du pendu c’est que la tenaille de son sperme lui arrache les pieds. La dernière sensation du pendu c’est que la tenaille d’équilibre de son sperme lui arrache les pieds. La dernière sensation du pendu c’est que la tenaille d’étonnement de son sperme, la tenaille d’équilibre étonné de son sperme lui arrache les pieds.

 

 

 

 

 

« La hanche est le verbe de la conversation des robes. »

 

Les hanches chantent la conversation des robes. Les hanches chantent le feu de la conversation des robes. La trajectoire des hanches chante la conversation des robes. La trajectoire d’aisance des hanches chante le feu de conversation des robes. La trajectoire de facilité des hanches chante le feu de la conversation des robes. La trajectoire de facilité de hanches chante la conversation d’ascèse des robes. La trajectoire d’aisance des hanches chante la conversation d’ascèse des robes. Le chant des hanches exclame la conversation des robes. Le chant d’aisance des hanches exclame le feu de la conversation des robes. Le chant de facilité des hanches exclame le feu de la conversation des robes. Le chant d’aisance des hanches exclame la conversation d’ascèse des robes.

 

 

 

« La rainure des fesses est une double apostrophe. »

 

Les fesses apostrophent la félicité. Les fesses apostrophent l’indécence. Les fesses apostrophent la félicité de l’indécence. Les fesses apostrophent les sphères de la félicité, les sphères de l’indécence, les sphères de félicité de l’indécence, les sphères d’indécence de la félicité. Les fesses apostrophent la mappemonde de la félicité, la mappemonde de l’indécence, la mappemonde de félicité de l’indécence, la mappemonde d’indécence de la félicité. Les fesses apostrophent les montgolfières de la félicité, les montgolfières de l’indécence, les montgolfières de félicité de l’indécence, les montgolfières d’indécence de la félicité. Les fesses apostrophent les montgolfières de fruits de la félicité, les montgolfières de fruits de l’indécence. Les fesses apostrophent la mappemonde de fruits de la félicité, la mappemonde de fruits de l’indécence. Les fesses apostrophent la mappemonde de pain de la félicité, la mappemonde de pain de l’indécence. Les fesses apostrophent la montgolfière de pain de la félicité, la montgolfière de pain de l’indécence.

 

 

 

« Elle avait les yeux gourmands d’elle-même. »

 

La femme indécente mange sa chair avec ses yeux. La femme indécente dévore sa chair avec ses yeux. La femme indécente dévore l’odeur de sa chair avec le charme de ses yeux. La femme indécente dévore le charme de sa chair avec l’odeur de ses yeux.

 

 

 

« Les sensuels mangent le dessert avant la soupe. »

 

Les sensuels mangent le dessert avant même le repas. Les sensuels mangent le dessert par le repos même de leur bouche. Les sensuels mangent le dessert avant le repas par le repos de leur bouche. Les sensuels mangent le dessert avant le repas par la chute de repos de leur bouche.

 

 

 

« La table tournait. Les femmes tout autour avaient ma même robe. »

 

La femme grave apparait attablée à sa robe. La femme grave apparait attablée à la paralysie de sa robe. La femme grave apparait attablée à la respiration de paralysie de sa robe.

 

 

 

 

 

« Elle découpait ses robes dans des tissus d’absence. »

 

Le charme déchire la robe de la chair. Le charme déchire la robe de la chair avec des chants de disparition. Le charme déchire la robe de la chair avec des chants de disparition imprévisible. Le charme déchire la robe de la chair avec de chants de disparition volatile. Le charme déchire la robe de la chair avec de chants de volatilisation aberrante.

 

 

 

« Le charme c’est  la volupté en permanence. »

 

Le charme chante la volupté. Le charme chante la volupté à chaque instant. Le charme chante  la volupté à l’extrémité de chaque instant. Le charme chante la respiration. Le charme chante la volupté de respirer. Le charme chante la volupté de respirer à chaque instant. Le charme chante la volupté de respirer à l’extrémité de chaque instant. Le charme chante la volupté de respirer à l’extrémité de la falaise de l’instant. Le charme chante la volupté de respirer à l’extrémité de la falaise de facilité de l’instant, à l’extrémité de la falaise d’aisance de l’instant.

 

 

 

 

 

« La bague se mit le doigt dans l’œil. »

 

La bougie se met l’œil dans le doigt. La bougie se met l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie pose l’ombre de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie pose l’oscillation de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie pose l’oscillation d’ombre de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie boit l’oscillation d’ombre de l’œil. La bougie boit l’oscillation d’ombre de l’œil comme un fou-rire d’ongle. La bougie lape l’oscillation d’ombre de l’œil. La bougie lape l’oscillation d’ombre de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie lape l’oscillation d’ombre de l’œil comme fou-rire d’ongle de l’orgueil, comme fou-rire de l’humilité, comme fou-rire d’ongle de l’orgueil humble.

 

 

 

La bougie boit le boitillement de l’œil. La bougie boit le boitillement de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie boit le boitillement d‘ombre de l’œil. La bougie boit le boitillement d’ailes de l’œil. La bougie boit le boitillement d’ombres ailées de l’œil. La bougie boit le boitillement d’ombres ailées de l’œil à l’extrémité du doigt. La bougie boit le boitillement d’ombres ailées de l’œil comme fou-rire d’ongles de l’orgueil humble.

 

 

 

« N’ayant pas de belles mains elle les multiplia avec des bagues. »

 

Les bagues multiplient la clarté des mains. Les bagues multiplient la clarté des doigts. Les bagues multiplient les blessures des mains. Les bagues multiplient les blessures des doigts.  Les bagues multiplient les blessures de clarté des mains. Les bagues multiplient les blessures de clarté des doigts. Les bagues multiplient les gags des mains. Les bagues multiplient les gags de clarté des mains. Les bagues multiplient les gags de clarté des doigts. Les bagues multiplient les blessures de gags des mains. Les bagues multiplient les blessures de gags des doigts. Les bagues multiplient l’engourdissement des doigts, l’engourdissement de clarté des doigts. Les bagues multiplient la clarté engourdie des doigts, les blessures de clarté engourdie des doigts. Les bagues multiplient les bouches des doigts, les bouches de clarté de doigts, les bouches de clarté engourdie des doigts. Les bagues multiplient les lèvres des doigts, les lèvres de clarté des doigts, les lèvres de clarté engourdie des doigts. Les bagues gouttent les doigts. Les bagues gouttent la clarté des doigts. Les bagues multiplient les gouttes de clarté des doigts. Les bagues multiplient le glas des doigts, le glas de clarté des doigts, le glas de clarté engourdie des doigts. Les bagues multiplient les aérolithes des doigts, les aérolithes de clarté des doigts, les aérolithes d’engourdissement des doigts, les aérolithes de clarté engourdie des doigts. Les bagues multiplient les syllabes des doigts, les syllabes de clarté des doigts, les syllabes d’engourdissement des doigts, les syllabes de clarté engourdie des doigts. Les bagues multiplient les éclairs des doigts, les syllabes d’éclairs des doigts, les éclairs d’engourdissement des doigts, les syllabes d’éclairs engourdis des doigts. Les bagues multiplient les étincelles des doigts, les syllabes d’étincelles des doigts, les étincelles d’engourdissement des doigts, les syllabes d’étincelles engourdies des doigts.

 

 

 

« Le ballon se massait. »

 

Le ballon se masse les genoux. Le ballon se masse les fesses. Le ballon se masse les genoux des fesses. Le ballon masse les genoux de l’oxygène. Le ballon masse les genoux d’oxygène des fesses. Le ballon palpe le fruit des fesses. Le ballon palpe le souffle des fesses. Le ballon palpe le fruit de souffle des fesses. Le ballon palpe la poitrine des fesses. Le ballon palpe la poitrine d’oxygène de fesses. Le ballon palpe la poitrine de phosphore des fesses. Le ballon palpe la poitrine d’hydrogène des fesses. Le ballon palpe la poitrine d’azote des fesses. Le ballon palpe la poitrine d’uranium des fesses.

 

 

 

 

 

« Le matelas attendait l’homme pour dormir. »

 

Le matelas attend l’hier de demain. Le matelas attend l’hier de demain pour dormir. Le matelas attend l’hier de demain pour dormir l’à bientôt. Le matelas attend l’hier de demain pour dormir le s’il vous plait de l’à bientôt.

 

 

 

« La table courut autour de la table quand on desservit. »

 

A l’intérieur de la salle à manger vide, la table tourne autour de la table. A l’intérieur de la salle à manger vide, la table marche chaise par chaise autour de la table. La table marche chaise à l’affut par chaise à l’affut autour de la table. La table marche d’un appel de chaise à l’autre, d’un appel de chaise à l’affut à l’autre autour de la table. La table marche chaise tacite par chaise tacite autour de la table. La table marche de chant de chaise en chant de chaise, de chant de chaise tacite en chant de chaise tacite autour de la table.

 

 

 

« Les ossuaires sont des tombolas. »

 

Le jour les ossuaires ressemblent aux tombolas de la mort et la nuit à la tombola de l’immortalité. A l’instant de parler, les ossuaires ressemblent aux tombolas de la mort. A l’instant de se taire, les ossuaires ressemblent à la loterie de l’immortalité.

 

 

 

 

 

« Tous les animaux sourient quand ils boivent. »

 

Les animaux sourient à la mort quand ils boivent. Les animaux sourient à la mort quand ils boivent et rient à l’immortalité quand ils mangent.

 

 

 

« Chaque oiseau a la couleur de son cri. »

 

Chaque oiseau dessine sa disparition. Chaque oiseau dessine l’oisiveté de sa disparition. Chaque oiseau dessine l’oisiveté de son cri, l’oisiveté de disparition de son cri. Chaque oiseau dessine le souffle de sa disparition. Chaque oiseau dessine le souffle d’oisiveté de sa disparition, le souffle d’oisiveté de son cri. Chaque oiseau dessine l’indice de sa disparition, l’indice d’oisiveté de sa disparition, l’indice d’oisiveté de son cri.

 

 

 

« Le paon même c’est l’arc-en-ciel. »

 

Le paon enroue l’arc-en-ciel. Le paon enroue les intonations de l’arc-en-ciel. Le paon enroue les teintes de l’arc-en-ciel. Le paon enroue les intonations de teintes de l’arc-en-ciel. Le paon enroue les toussotements de l’arc-en-ciel, les toussotements de teintes de de l’arc-en-ciel. Le paon enroue la fièvre de l’arc-en-ciel, la fièvre de teintes de l’arc-en-ciel. Le paon enroue la grippe de l’arc-en-ciel, la grippe de teintes de l‘arc-en-ciel. Le paon enroue le zapping de l’arc-en-ciel. Le paon enroue le zapping de grippe de l’arc-en-ciel, le zapping de fièvre de l’arc-en-ciel. Le paon enroue l’époumonnement de l’arc-en-ciel, l’époumonnement de teintes de l‘arc-en-ciel.

 

 

 

 

 

« La blessure rit de douleur. »

 

La blessure rit de douleur ébahie. Le rire déclare l’ébahissement de la douleur. Le rire déclare l’ébahissement de la blessure. Le rire déclare l’ébahissement de douleur de la blessure. Le rire exclame l’ébahissement de la blessure. Le rire exclame l’ébahissement de douleur de la blessure.

 

 

 

« L’amour propre a des blessures qui ne saignent pas. »

 

L’orgueil ignore la blessure. L’orgueil éponge la blessure. L’orgueil ignore la blessure à travers la virginité. L’orgueil éponge la blessure à travers la virginité. L’orgueil ignore la blessure à travers le mutisme de la virginité. L’orgueil ignore la blessure à travers la virginité de la lumière. L’orgueil ignore la blessure à travers le mutisme de la lumière, à travers le mutisme de virginité de la lumière. L’orgueil ignore le sourire d’ombre de la blessure. L’orgueil ignore le sourire d’ombre de la blessure à travers le mutisme de virginité de la lumière.

 

 

 

 

 

« L’œuf est tout en mentons. »

 

L’œuf est tout en menton de méthane. L’œuf est tout en menton de folie. L’œuf est tout en menton de méthane fou. L’œuf est tout en menton d’aphtes. L’œuf est tout en menton d’aphtes fous. L’œuf est tout en menton de soufre. L’œuf est tout en menton de soufre fou. L’œuf est tout en menton de feu. L’œuf est tout en menton de feu fou.

 

 

 

« Le buvard est tout en langues. »

 

Le buvard tire la langue du papier. Le buvard tire la langue d’éponge du papier. Le buvard bave la langue du papier. Le buvard bave la langue d’éponge du papier. Le buvard bavarde le papier. Le buvard bavarde la langue du papier. Le buvard bavarde la langue d’éponge du papier.

 

 

 

« Le bouchon débouché prit un rhume d’odeurs. »

 

Le bouchon débouché s’enrhume de lui-même. Le bouchon débouché s’enrhume de désir. Le bouchon débouché s’enrhume de désir idiot. Le bouchon débouché s’enrhume de désir impossible. Le bouchon débouché s’enrhume de désir époustouflant.

 

 

 

 

 

« Le poids ne se sent fort que dans la balance. »

 

Le poids pue des pieds dans la balance. Le poids pue rigoureusement des pieds dans la balance. Le poids pue méthodiquement des pieds dans la balance. Le poids pue mathématiquement des pieds dans la balance. Le poids pue impavidement des pieds dans la balance.   

 

 

 

« Par son œil en souterrain l’égout… »

 

L’égout est le trou du souffleur du dégoût. L’égout est le trou du souffleur de la nausée. L’égout est le trou du souffleur du déglutissement. L’égout est le trou du souffleur de déglutissement nauséeux.

 

 

 

 

 

« Le thé se vit théière dans le ventre de l’homme. »

 

Le ventre essaie de devenir la théière de la merde. Le ventre essaie de devenir la théière des excréments. Le ventre désire infuser les excréments comme en rêve. Le ventre dire infuser le rêve des excréments. Le ventre désire infuser le rêve d’ordre des excréments. Le ventre désire infuser le rêve de voyage des excréments. Le ventre désire infuser le rêve de voyage en ordre des excréments. Le ventre désire infuser les rêves de voyage de la merde. Le ventre désire infuser les rêves de voyage en ordre de la merde. 

 

 

 

« Quand le saint vint au festin d’éternité, il s’aperçut qu’il avait perdu tout appétit. »

 

Le saint perd l’appétit à l’intérieur même de son ventre. Le saint perd l’appétit à l’intérieur du squelette de son ventre. Le saint perd l’appétit à l’intérieur de la lumière de son ventre. Le saint perd l’appétit à l’intérieur du squelette de lumière de son ventre. Le saint désire encore affamer son squelette. Le saint désire encore affamer la lumière de son squelette. Le saint désire encore affamer le couteau de son squelette, le couteau de lumière de son squelette. Le saint désire encore affamer le souvenir de son squelette, le souvenir de lumière de son squelette. Le sait désire encore affamer le roi de son squelette, le roi de lumière de son squelette.

 

 

 

 

 

« L’horizon ne fait jamais un pas de trop. »

 

L’horizon joue à saute-mouton avec la prudence. L’horizon joue à saute-mouton avec l’apathie. Sur la ligne d’horizon folâtre la foule de la prudence. Sur la ligne d’horizon folâtre la foule de microbes de la prudence. Sur la ligne d’horizon folâtre la foule atmosphérique de la prudence, la foule de microbes atmosphériques de la prudence. Sur la ligne d’horizon folâtre la foule de microbes atmosphériques de l’apathie.

 

 

 

« Les fleurs sont myopes sans leurs feuilles. »

 

Les fleurs regardent comme des mediums myopes. Les fleurs examinent les alentours comme des mediums myopes. Les fleurs regardent autour d’elles comme des mediums myopes. Les fleurs regardent autour d’elles comme les mediums myopes de la coquetterie. Les fleurs regardent autour d’elles comme les mediums myopes de l’afféterie. Les fleurs regardent autour d’elles comme les mediums myopes de l’affectation, comme les mediums myopes de la frivolité, comme les mediums myopes de l’affectation frivole.

 

 

 

 

 

« On le trouvait bête parce qu’il était bien au bout de sa pensée. »

 

La bêtise se tient en équilibre à l’extrémité du vide. La bêtise se tient en équilibre debout à l’extrémité du vide de l’âme. La bêtise se tient par miracle en équilibre à l’extrémité du vide de l’âme.

 

 

 

« Il n’y a point de hasard pour le génie. »

 

Le jeu du génie affirme le geste de transformer le hasard en nécessité. Le jeu d’insouciance du génie affirme le geste de transformer le hasard en nécessité. Le jeu d’insouciance insensée du génie affirme le geste de transformer le hasard en nécessité. Le jeu d’ascèse du génie afin le geste de transformer le hasard en nécessité. Le jeu d’ascèse insouciante du génie affirme le geste de transformer le hasard en nécessité. Le jeu d’ascèse insouciante insensée du génie affirme le geste de transformer le hasard en nécessité.