Météorologie de l’Etonnement
Le crâne bégaie la bête de la tête.
Le crâne câline le quartz de l’apocalypse.
Le crâne embrasse le brouillard des scies.
Le crâne compose un volcan de nuages.
Le crâne chorégraphie la lune du chant.
Le crâne apparait comme un ciel cul-de-jatte. Le crâne apparait comme le ciel cul-de-jatte du silence.
Le crâne parle comme l’équilibre de la hache. Le crâne dort en équilibre entre la hache et l’auréole.
Le crâne ourdit les rebonds de souterrain du silence.
Le crâne apparait comme le météore de remerciement du cri.
Le crâne apparait comme le sommet du météore de l’érosion. Le crâne sculpte l’éclair de l’érosion. Le crâne apparait comme la sculpture d‘éclair de l’érosion.
Le crâne apparait comme le cratère de l’inouï. Le crâne apparait comme le volcan de l’innommable. Le crâne apparait comme le météore de l’innommable, comme le volcan-météore de l’innommable.
Le crâne apparait comme la cible du brouillard. Par la parole, le crâne apparait comme la cible du brouillard. Par le silence, le brouillard apparait comme la cible du crâne.
Le cosmonaute a un crâne de camphre. Le cosmonaute possède un crâne de camphre. Le cosmonaute possède le crâne de l’abandon. Le cosmonaute possède le crâne de camphre de l’abandon.
Le crâne apparait comme le cordonnier de l’aura.
Le crâne accueille les céréales de l’aluminium.
La boite crânienne apparait comme la boite à outils du vide. Le crâne apparait comme la boite à outils du vide.
Le crâne a plus d’un cœur à son arc.
Le crâne à plusieurs préhistoires à son arc. Le crâne a plusieurs cœurs de préhistoire à son arc. La solitude du crâne a plusieurs préhistoires à son arc. La solitude du crâne a plusieurs cœurs de préhistoire à son arc.
Le vertige a plusieurs cœurs à son arc. Le crane du vertige a plusieurs cœurs à son arc. La chute a beaucoup de cœurs à son arc. Le crâne de la chute a beaucoup de cœurs à son arc.
L’amour a plusieurs cœurs à son arc. L’amour a plusieurs cœurs à l’arc de la chair. L’amour
a plusieurs cœurs à l’arc de la solitude. L’amour a plusieurs cœurs à l’arc de chair de la solitude.
Le cœur martèle le miracle.
Le cœur bat les cartes à jouer de son ombre.
Seul le cœur sait comment se baigner à l’intérieur de son ombre.
L’ombre voit double borgne.
L’ombre sourit à hue et à dia.
Le brouillard a des sourcils d’ombre.
L’ombre a des yeux de brouillard.
L’habitude révèle les sourcils de brouillard de l’ombre.
Il y a un carré cardiaque de l’ombre.
L’ombre sourit le stylo de la préhistoire.
A la loterie de l’ombre, le désespoir parie avec la pulsion même du squelette.
L’ombre respire la disparition du vide.
L’ombre parle à l’oreille de nos pieds. L’ombre parle à l’oreille de la plante des pieds.
L’ombre déshabille l’âme de la terre aux pieds.
L’ombre rabote la gravitation. L’ombre rabote le sourire de la gravitation. L’ombre rabote le sourire de la terreur. L’ombre rabote le sourire de gravitation de la terreur.
L’ombre brode les intuitions perdues.
L’intuition touche les strates géologiques de l’ombre. L’intuition sait comment toucher les strates géologiques de l’ombre.
Le cœur a autant d’oreilles que de paroles. Le cœur dispose d’autant d’oreilles qu’il prononce de paroles. Le cœur dispose d’autant d’oreilles qu’il exclame de paroles. Seul le cœur apparait apte à transformer chaque parole en oreille et chaque oreille en parole.
Celui qui joue son cœur à la loterie ne découvre jamais la forme heureuse du hasard. Celui qui joue son cerveau à la loterie découvre parfois la forme courtoise du courage. Celui qui joue son cerveau à la loterie découvre parfois la forme courtoise de la sagesse.
L’ombre reste non loin de là.
L’ombre légende la silhouette du non loin de là. L’ombre lézarde la silhouette du non loin de là. L’ombre à la fois légende et lézarde la silhouette du non loin de là.
L’ombre timbre la silhouette. L’ombre timbre la silhouette afin de poster la silhouette non loin de là.
L’ombre confond le no man’s land et le non loin de là.
Il y a une monotonie excentrique du cœur. Il y a une monotonie exorbitée du cœur.
Le cœur attend comme un boxeur dans un boudoir. Le cœur rêve comme un boxeur dans un boudoir.
Les battements de cils enrubannent les battements du cœur.
L’alcool crawle le cœur. L’ombre crawle le cœur. L’alcool de l’ombre crawle les battements du cœur.
Sculpter le cœur avec la seringue.
Posséder une blessure porte-bonheur. Le cœur apparait comme une blessure porte-bonheur.
Viser le dos de la cible avec la flèche du sang. Toucher le dos de la cible avec la flèche du sang.
Il est plus difficile de toucher la main de la cible que son cœur. Il est plus difficile de toucher la main de la cible que l’œil de son cœur.
Le cœur coud l’inutilité de l’automne.
Le cœur médite des montagnes de fenêtres.
Une forme de coquetterie. S’asseoir sur son cœur comme sur un coussin pour ne pas s’abimer les fesses.
A l’instant de la colère, le cœur devient la friandise du feu.
Le rêve jongle avec des verrous.
Le rêve vertèbre les bulles de l’ombre. Le rêve vertèbre les bulles de l’oubli. Le rêve vertèbre les bulles d’ombre de l’oubli. Le rêve vertèbre les bulls de l’amnésie. Le rêve vertèbre les bulles d’ombre de l’amnésie.
Veiller à poings ouverts. Rêver à poings ouverts.
Rêver à l’ombre d’un point d’exclamation.
Le rêve révèle le trou du souffleur de l‘éveil.
Sortir du rêve des autres c’est trouver son éveil. Sortir de son rêve c’est errer parmi l’éveil des autres.
Chatouiller un labyrinthe avec un couteau. Chatouiller un labyrinthe avec un poignard.
S’asseoir sur un labyrinthe. S’asseoir sur un labyrinthe d’oreilles.
Le problème c’est de trouver comment chercher. Le problème c’est d’abord de trouver comment chercher. Le problème c’est d’abord de trouver comment chercher l’entrée de la sortie.
La route revient de loin. Chaque caillou de la route revient de loin.
Voyager pour composer un catalogue de routes. Voyager pour composer un catalogue de routes dans la poche de son pantalon.
Le chemin cherche à moudre l’imminence de la chute.
Celui qui marche une boussole à chaque pied ne trouve son chemin qu’en suivant l’odeur d’une chaussure dépareillée.
Faire le tour du monde en portant un sac de pieds sur son dos. Voyager au tour du monde en portant un sac de pieds de secours sur son dos.
Demander son chemin dans toutes les langues. Demander son chemin à toutes les langues. Demander son chemin à la multiplicité des langues. Demander son chemin avec la multiplicité de langues et la disparition de son chemin à la multiplicité des langues.
Poursuivre son chemin jusqu’à violer son immobilité. Poursuivre son chemin jusqu’à violer sa paralysie.
Entre une chose et son oubli, il y a toujours le sommeil d’un chemin.
Timbrer les paroles avec l’ombre du désert.
Boire le désert. Le verre d’eau boit le désert. Le cœur du verre d’eau boit le regard du désert.
Truquer un désert avec une tête. Truquer une tête avec un désert.
Numéroter les pages de ses pieds. Numéroter les pages de ses pieds avec le désert. Numéroter les pages du désert. Numéroter les pages du désert avec le chapeau de ses pieds. Annoter les pages du désert. Annoter les pages du désert avec le chapeau de ses pieds. Ausculter les pages du désert. Ausculter les pages du désert avec le chapeau de ses pieds.
Adresser des lettres au désert. Adresser une lettre différente à chaque grain de sable du désert.
Lire le désert avec un aimant. Lire les gestes du désert avec la main d’un aimant. Lire la main du désert avec les gestes d’un aimant. Lire la tête du désert avec la main d’un aimant.
Planter une roue à l’intérieur d’un désert de drogue. Enraciner une roue à l’intérieur d’un désert de drogue. Enraciner une roue de regards à l’intérieur d’un désert de drogue.
Le problème reste de savoir comment tamiser la mémoire. Quand la mémoire apparait comme un désert, tamiser la mémoire avec une maison. Quand la mémoire apparait comme une maison tamiser la mémoire avec un désert.
Le désert apparait comme le mirage d’une goutte d’eau. Le désert attend comme le mirage d’une goutte d’eau. Le désert attend comme le mirage gigantesque d’une goutte d’eau.
Avoir un désert sur le bout de la langue. Avoir un désert de brouillard sur le bout de la langue.
Un désert d’enfants. Déshabiller une femme avec un désert d’enfants.
Classer les jours avec des déserts. Classer les jours avec de déserts d’enfants. Entasser les jours comme déshabiller une femme. Entasser les jours comme déshabiller une femme avec un désert d’enfants. Déshabiller les jours comme entasser les femmes. Déshabiller les jours comme entasser les femmes avec des déserts d’enfants.
Devenir le désert de son travail. Devenir le désert heureux de son travail. Devenir le désert heureux de son prénom. Devenir le désert heureux du travail de son prénom.
Paralyser le léopard de sa parole. Paralyser le léopard de sa parole afin de devenir le désert heureux de son prénom. Paralyser le léopard de sa parole afin de devenir le désert de peau de son prénom, afin de devenir le désert de peau heureuse de son prénom.
Le sourire jardine le regard de demain. Le regard jardine le rire d’hier.
Le marteau a plus d’un nord a son âme. L’aimant a plus d’un nord à son âme. Demain a plus d’un nord à son âme. Le marteau de demain a plus d’un nord à son âme. L’aimant de demain a plus d’un nord à son âme.
L’odeur possède demain à l’intérieur d’hier et possède hier en dehors de demain.
Aujourd’hui dort à l’intérieur de demain. Le miracle de l’aujourd’hui dort à l’intérieur de l’amnésie de demain. Le miracle de conversation de l’aujourd’hui dort à l’intérieur du silence d’amnésie de demain.
Attendre debout par demain. Savoir comment attendre debout par demain. Attendre son ombre debout par demain. Savoir comment attendre son ombre debout par demain. Attendre debout à surface de demain. Attendre son ombre à la surface de demain. Savoir comment attendre son ombre à la surface de demain.
L’absurdité attend son ombre debout par demain. L’absurdité attend son ombre debout entre hier et demain. L’absurdité attend son ombre debout entre le sourire d’hier et le hurlement de demain. L’absurdité attend son ombre debout entre le hurlement d’hier et le sourire de demain.
Le présent nage à l’intérieur des arbres. Hier plonge à l’intérieur de demain. Quand le cœur tourne autour de son ombre apparait la poitrine du désespoir.
Jongler avec les maisons de demain. Jongler avec les têtes de demain. Jongler avec les maisons de têtes de demain.
Recommencer demain à zéro. Le futur recommence demain à zéro. Le présent recommence aujourd’hui à tu.
Comme si demain était la forme d’un ami. Comme si demain était la forme de l’étonnement d’un ami. Demain repose à l’abandon comme héroïsme de la douceur.
Faire rimer la boussole avec la toupie.
Découvrir une boussole au bout du chemin.
Confondre les boussoles et les dictionnaires. Chercher les mots avec une boussole et chercher son chemin avec un dictionnaire.
Détruire les horloges avec les boussoles.
Porter une boussole au doigt comme une bague de fiançailles.
Utiliser une boussole pour sortir de son lit. Utiliser un baromètre pour sortir de son ventre.
Trouver une boussole qui lit la Bible. Trouver une boussole qui lit la Bible à l’intérieur d’un réfrigérateur. Trouver une boussole qui lit la Bible sur la banquise.
Devenir le chimiste des quatre points cardinaux. Devenir le géographe des atomes. Devenir l’explorateur polaire des molécules.
Chercher le nord avec la toupie. Trouver le nord avec la toupie. Trouver le pôle nord avec la toupie.
Peser le pôle nord avec une boussole. Peser le pôle nord avec la boussole de ses pieds. Chercher le pôle nord avec une balance. Chercher le pôle nord de ses pieds avec une balance.
Utiliser le pôle nord comme roue de loterie. Utiliser le pôle nord comme roue de loterie du paradis. Utiliser le pôle nord comme roue de loterie du calme. Utiliser le pôle nord comme roue de loterie du paradis calme.
Découvrir le pôle nord d’une poussière.
Découvrir le pôle nord à l’intérieur du râle de l’allumette.
Découvrir ses empreintes digitales au pôle nord. Découvrir pour la première fois ses empreintes digitales au pôle nord. Découvrir que ses empreintes digitales se trouvent déjà au pôle nord. Découvrir que ses empreintes digitales se trouvent uniquement au pôle nord. Découvrir le pôle nord parmi ses empreintes digitales. Découvrir le pôle nord parmi le vol en éclats de ses empreintes digitales.
Devenir le voyageur assis de ses empreintes digitales. Devenir le voyageur accroupi de ses empreintes digitales. Devenir le voyageur allongé de ses empreintes digitales.
Relever les empreintes des doigts comme enlever la culotte des mains. Relever les empreintes des mains comme enlever la culotte des doigts.
La clarté de la lune gante les fesses et déculotte les doigts. La clarté de la lune encagoule les fesses et déculotte les mains.
Le front ôte la culotte de la tête. Le sourire du front ôte la culotte de la tête. Le sourire du front ôte la culotte de feu de la tête.
L’habitude sourit brusquement. L’absurde sourit brusquement. L’habitude de l’absurde sourit brusquement. L’habitude de l’absurde sourit brusquement parmi les anfractuosités du râle.
L’habitude médite les bulles du hasard.
L’habitude joue aux dés avec les bulles des vertèbres. L’habitude joue aux dés avec les bulles de l’ombre. L’habitude joue aux dés avec les bulles d’ombre de vertèbres. L’habitude joue aux dés avec les bulles de vertèbres de l’ombre.
L’habitude joue aux dés avec les bulles de l’hubris. L’habitude joue aux dés avec les bulles d’ombre de l’hubris. L’habitude joue aux dés avec les bulles de vertèbres de l’hubris.
La clarté de l’habitude bégaie la boulangerie des ombres. La clarté de l’habitude bégaie la boulangerie des statues. La clarté d’absurdité de l’habitude bégaie la boulangerie d‘ombres de statues.
Ensevelir une boulangerie sous un amphithéâtre. Ensevelir une boulangerie de sourires sous un amphithéâtre de cris. Inhumer une boulangerie sous un amphithéâtre. Inhumer une boulangerie de sourires sous un amphithéâtre de cris.
La lenteur gobe comme une vache. La lenteur rumine comme un œuf et gobe comme une vache.
Faire un nœud à un œuf. Faire un nœud à un œuf pour ne pas oublier de rêver. Faire un nœud à un œuf avec un point d’interrogation. Faire un nœud à un œuf avec un point d’interrogation pour ne pas oublier de rêver.
Refaire son nœud de cravate à l’instant de regarder à l’intérieur des yeux de l’oxygène.
Les sentiments agrafent les yeux. L’habitude du sentiment agrafe la forêt des yeux.
Le rire tourne les pages de son enterrement. Le rire tourne les pages du désert. Le rire tourne les pages de l’enterrement du désert. Le rire tourne les pages du désert de son enterrement.
Utiliser son tombeau comme escabeau. Utiliser son tombeau comme escabeau afin de cueillir les fruits du hasard.
Emporter sa tombe à l’intérieur de son secret. Transporter sa tombe à l’intérieur de son secret. Métaphoriser sa tombe avec son secret. Défenestrer sa tombe avec son secret. Défenestrer sa tombe avec le sourire de son secret.
Retourner un trou à l’intérieur de sa tombe. Retourner un trou à l’intérieur de la disparition de sa tombe. Retourner un trou à l’intérieur de l’oubli de sa tombe.
Faire le tour du monde comme se retourner dans sa tombe. Faire le tour du monde par le seul geste de se retourner à l’intérieur de sa tombe. Faire le tour du monde par le geste de retourner sa tombe. Faire le tour du monde par le geste de retourner sa tombe comme un sablier. Faire le tour du monde par le geste de faire tourner sa tombe comme une toupie.
S’amuser à retourner sa tombe à l’intérieur de son crâne. S’amuser à faire tourner sa tombe comme une toupie à l’intérieur son crâne.
Faire tourner sa tombe des millions de fois à l’intérieur de son crâne. Savoir comment faire tourne sa tombe des milliers de fois à l‘intérieur de son crâne. Savoir comment faire tourner sa tombe des milliers de fois à l’intérieur de son crâne avant de parler, avant de commencer à parle, avant de préférer commencer à parler.
Se taire comme faire tourner des millions de fois sa tombe à l’intérieur de son crâne. Se taire comme faire tourner des millions de fois la toupie de sa tombe à l‘intérieur de son crâne.
Les tombeaux ressemblent à des biberons pour les éléphants. Les tombeaux ressemblent à des biberons pour les baleines. Les tombeaux ressemblent à des biberons pour les dinosaures.
Le problème reste de savoir quelle est la déchéance la plus effroyable. Avoir son tombeau à l’intérieur d’une poubelle ou avoir une poubelle à l’intérieur de son tombeau.
Avoir son cercueil dans une poche de son pantalon. Avoir des tombeaux plein les poches. Découvrir son propre tombeau dans une de ses poches. Découvrir son propre tombeau dans une des poches de son pantalon.
Avoir le jour de sa mort coincé dans une des poches de son pantalon.
Découvrir le fœtus d’un corbillard dans un flacon de parfum. Découvrir le fœtus d’un cercueil dans un flacon de parfum. Découvrir le fœtus de son cœur dans un flacon de parfum.
Jouer au billard avec un corbillard. Jouer au bilboquet avec un tombeau.
Jouer à colin-maillard avec un corbillard. Jouer à colin-maillard avec un corbillard de mains.
Inventer des tombeaux acrobates. Inventer des tombeaux acrobates, des tombeaux contorsionnistes, des tombeaux trapézistes, des tombeaux jongleurs. Inventer de tombeaux funambules. Inventer des tombeaux qui marchent sur un fil. Inventer des tombeaux funambules, des tombeaux acrobates, de tombeaux contorsionnistes, des tombeaux trapézistes, de tombeaux jongleurs qui marchent sur le fil de la terre.
Le tombeau apparait comme la roue du cul de jatte. Le tombeau apparait comme la roue de loterie du cul de jatte. Le tombeau apparait comme la roue de l’anthropophage. Le tombeau apparait comme la roue de loterie de l’anthropophage. Le tombeau apparait comme la roue du cil de jatte anthropophage, comme la roue de loterie du cul de jatte anthropophage.
Humer l’ébullition d’un tombeau à l’intérieur d’une boite à lettres. Le sourire de l’ombre sait comment humer l’ébullition d’un tombeau. Le sourire de l’ombre sait comment humer l’ébullition d’un tombeau à l’intérieur d’une boite à lettres. Le sourire de hurlement de l’ombre sait comment humer l’ébullition d’un tombeau à l’intérieur d’une boite à lettres.
Les tombeaux apparaissent aussi parfois comme des trous du souffleur. Le trou du souffleur est l’unique tombeau du fossoyeur.
Utiliser les tombeaux comme trous du souffleur de l’oubli. Utiliser les tombeaux comme trous du souffleur de l’habitude. Utiliser les tombeaux comme trous du souffleur de l’hébétude. Utiliser les tombeaux comme trous du souffleur de l’habitude hébétée.
Tenir un cimetière par la main. Tenir un cimetière par la main comme un petit enfant avant de franchir le mur du langage. Tenir un cimetière d’étoiles par la main. Tenir un cimetière d’étoiles par la main comme un petit enfant à l’instant de franchir le mur du langage, à l’instant de franchir à jamais le mur du langage.
Jouer au billard avec les ombres à l’intérieur des allées d’un cimetière.
Celui qui se promène à l’intérieur d’un cimetière essaie de temps à autre de jouer aux dominos avec les tombes.
Le vol d’une pharmacie au-dessus d’un cimetière. La reptation d’une pharmacie sous le Golgotha.
Le cimetière apparait comme la pharmacie des pianos.
Il y a un ciment de cicatrices à l‘intérieur des cimetières.
Chaque civilisation ressemble à une course de cimetières.
Coller des cercueils par cœur. Coller des cercueils à coups de dés. Coller des cercueils à coups d’ailes. Coller des cercueils à coups de dés d’ailes, à coups d’ailes de dés.
Crucifier un cercueil avec un feu d’artifice. Crucifier un cercueil avec le clou du ciel, Crucifier un cercueil avec le clou du spectacle du ciel.
Le cirque apparait comme le clown du chaos. Le cirque du volcan apparait comme le clown du chaos.
Un cirque-pharmacie. Les toupies se reposent à l’intérieur des cirques-pharmacies.
Enterrer une fenêtre sous une piste de cirque. Enterrer une toupie sous une piste de cirque. Enterrer un drapeau sous une piste de cirque.
Inventer un cirque pour les outils. Inventer un cirque de lettres pour les outils. Inventer un cirque d hurlements pour les outils. Inventer un cirque de lettres hurlées pour les outils.
Transformer le zéro en piste de cirque du Christ. Transformer l’oreiller en piste de cirque du Christ. Transformer l’oreiller du zéro en piste de cirque du Christ.
La découverte de l’Amérique par Gutenberg et l’invention de l’imprimerie par C. Colomb.
L’invention du gaufrier par Gutenberg et l’invention de la multiplication des imprimeries par Jésus-Christ.
Jouer au mikado avec le Christ. Enseveli à l’intérieur du tas d’ossements des milliards de morts de l’humanité, jouer au mikado avec le Christ.
Le clown utilise l’océan comme scaphandre.
Le clown klaxonne son ombre. Le clown klaxonne les yeux de son ombre. Le clown klaxonne le cancer de son ombre. Le clown klaxonne les yeux de cancer de son ombre.
Ausculter le stéthoscope avec le clown. Ausculter le stéthoscope avec le sexe du clown.
Le clown de l’amnésie joue à colin-maillard avec les corbillards. Le clown de l’amnésie joue à colin-maillard avec des corbillards de bulles de savon. Le clown de l’amnésie joue à colin-maillard avec des boomerangs de savon.
Le funambule respire entre le fouet et la boussole.
Le funambule essaie de devenir l’archéologue de l’allumette. Le funambule essaie de devenir l’archéologue de la flamme d’allumette.
Le funambule apparait comme le cordonnier des volcans.
Le funambule dément marche sur le fil de ses pas. Le funambule fou essaie de marcher sur le fil de ses pas. Le funambule fou essaie de marcher sur le fil de la pensée de ses pas.
L’humoriste n’a une âme qu’à l’instant de rater une marche.
L’humoriste apparait comme un funambule dément. L’humoriste apparait comme le funambule dément qui essaie de marcher sur le fil de la pensée de ses pas.
L’humoriste apparait comme le funambule dément qui essaie de dévorer le fil sur lequel il marche. L’humoriste apparait comme le funambule dément qui essaie de dévorer malgré toit le fil sur lequel il marche avec l’usure même de ses chaussures.
Seul l’humoriste sait comment chatouiller un clitoris.
L’humoriste essaie de se saouler avec le sentiment du minuscule.
L’humour révèle l’héroïsme de l’ennui. L’humour révèle l’héroïsme de la discrétion. L’humour révèle l’héroïsme de l’ennui discret.
L’humoriste respire avec une âme artificielle. L’humoriste respire avec une âme artificielle volée à un héros.
Trouver une coccinelle porte-bonheur sur le front du crucifié.
La carte de géographie révèle le joker de la règle du jeu. La carte de géographie révèle le joker du chaos. La carte de géographie révèle le joker de la règle du jeu du chaos.
Tailler la silhouette d’un homme dans une carte de géographie. Tailler la silhouette d’un pays dans une carte à jouer.
Embrasser des cartes de géographie avec le sourire des tombeaux.
Contempler les cartes de géographies comme les roues de loterie des peuples.
Dans une carte de géographie l’aventurier voit un portrait. Dans un portrait l’ascète voit une carte du monde.
Trouver un rire coincé entre une carte de géographie et un rocking-chair. Trouver un rite coincé entre une carte de géographie et un rocking-chair. Trouver le rire d’un rite coincé entre une carte de géographie et un rocking-chair.
Poser l’oreiller entre la toupie et le léopard. Poser l’oreiller entre le léopard et le pôle nord. Poser l’oreiller entre le pôle nord et la toupie.
Poser le comment du léopard. Poser le comment du léopard sur le piedestal du ciel. Poser le pourquoi du léopard. Poser le pourquoi du léopard sur le piedestal du ciel. Poser le miracle du léopard. Poser le miracle du léopard sur le piedestal du ciel. Poser le comment du léopard sur le piedestal du vent. Poser le miracle du léopard sur le piedestal du vent.
Exciter le léopard avec le silex. Exciter la paix du léopard avec l’éclat du silex. Exciter le repos du léopard avec l’éclat du silex. Exciter le repos du léopard avec le sourire du silex. Exciter le repos du léopard avec les cils du silex.
Charpenter l’excitation avec le tigre. Charpenter l’excitation avec les crampes du tigre. Charpenter l’excitation avec les crampes d’intégrité du tigre. Charpenter l’excitation avec la paralysie du tigre. Charpenter l’excitation avec les crampes de paralysie du tigre, avec les crampes de paralysie intègre du tigre. Charpenter l’excitation de l’ascèse. Charpenter l’excitation de l’ascèse avec les crampes du tigre. Charpenter le silence d’excitation de l’ascèse. Charpenter le silence d’excitation de l’ascèse avec les crampes d’intégrité du tigre.
La charpente parachute le feu. La charpente parachute le vide du feu. La charpente parachute le futur du feu. La charpente parachute le vide futur du feu.
La patience charpente le vide. La patience charpente les improvisations du vide. La patience charpente les improvisations de l’ascèse. La patience charpente les improvisations d’ascèse du vide.
Broder des bombes. Broder des bombes avec des conjonctions de coordinations. Broder des bombes avec des adverbes. Broder des bombes ave des adverbes de temps. Broder des bombes avec des prénoms de temps. Broder des bombes avec des adverbes-prénoms de temps.
Attendre face au bonbon de la préhistoire. Attendre face au bonbon de désespoir de la préhistoire. Attendre face au bonbon de préhistoire du désespoir.
Poser l’oreiller entre la bombe et le bonbon. Poser l’oreiller entre la bombe du silence et le bonbon de la parole. Poser l’oreiller entre le bonbon du silence et la bombe de la parole.
Le jour, l’oreiller apparait comme un tas de têtes. La nuit, la tête apparait comme un tas d’oreillers. Le jour, l’oreiller apparait comme le tas de têtes de la parole. La nuit, la tête apparait comme le tas d’oreillers du silence.
La tête n’est pas l’extrémité du corps. La tête apparait comme l’extrémité de l’étonnement. La tête apparait comme l’extrémité de l’âme. La tête apparait comme l’extrémité de l’étonnement de l’âme. La tête incruste l’in extremis de l’âme. La tête incruste l’étonnement in extremis de l’âme. La tête incruste l’incendie d’étonnement de l’âme. La tête incruste l’incendie in extrémis de l’âme. La tête incruste l’incendie d’étonnement in extremis de l’âme.
Affirmer la tête comme cigarette de l’éclipse. Affirmer la tête comme cigarette de la disparition.
Le devenir de la tête danse l’allumette de l’éclipse.
Parler comme l’allumette de l’éclipse. Parler allongé comme l’allumette de l’éclipse. Le devenir de la tête parle allongé sur l’allumette de l’éclipse.
Le devenir de la tête danse assis sur la boite à lettres des sourcils. Le devenir des sourcils chante accroupi sur la cigarette du regard.
Avoir plusieurs têtes à son arc. Se taire comme avoir plusieurs têtes à son arc. Se taire comme avoir plusieurs têtes à l’arc de son amour.
Exclamer une tête avec un cul. Exclamer la parole d’une tête avec le silence d’un cul. Décapiter une tête avec un cul. Décapiter la parole d’une tête avec le silence d’un cul. Projeter une tête avec un cul. Projeter la parole d’une tête avec le silence d’un cul.
Le cul apparait comme le cimetière de l’étonnement. La tête apparait comme le cimetière du cul. Le cul apparait comme le cimetière d’étonnement de la tête. La tète apparait comme le cimetière d’étonnement du cul.
Le cul montre la tête. Le cul montre la tête et déclare venez-voir c’est là que la catastrophe a été blessée. Le cul montre la tête et exclame regardez c’est là que la catastrophe a été blessée.
L’étonnement affirme l’instinct d’exister là où le sang se trouve. L’étonnement affirme l’instinct d’exister là où la catastrophe d’équilibre du sang se trouve.
L’émotion apparait comme le télescope de la peau et le microscope des os. Le mépris apparait comme le microscope de la peau et le télescope des os.
L’amour météorologise les fenêtres. L’amour transforme les fenêtres en météores. L’amour météorologise l’étonnement. L’amour météorologise les fenêtres de l’étonnement. L’amour météorologise les fenêtres de l’étonnement.
L’aphorisme repose entre la lune et l’anthropophage.
L’aphorisme apparait comme l’amuse-gueule de la météorologie. L’aphorisme apparait comme l’amuse-gueule de l’âme. L’aphorisme apparait comme l’amuse-gueule de météorologie de l’âme.
L’aphorisme anesthésie le feu. L’aphorisme excite le froid. L’aphorisme anesthésie le feu comme excite le froid. L’aphorisme excite le froid comme anesthésie le feu.
L’aphorisme martèle le feu. L’aphorisme martèle le feu avec le froid. L’aphorisme martèle l’anesthésie du feu. L’aphorisme martèle l’anesthésie du feu avec l’excitation du froid.
L’aphorisme forge le marteau du feu avec l’excitation du froid. L’aphorisme forge le marteau d‘anesthésie du feu avec l’excitation de silence du froid. L’aphorisme forge le marteau d’anesthésie du feu avec l’excitation de froid du silence.
L’aphorisme dort à l’extrémité de la falaise. L’aphorisme dort sur le bord de la falaise. L’aphorisme arque la falaise. L’aphorisme arque le sommeil. L’aphorisme arque la falaise du sommeil. L’aphorisme arque la falaise d’ascèse du sommeil. L’aphorisme arque la falaise d’aisance du sommeil. L’aphorisme arque la falaise d’ascèse aisée du sommeil.
L’aphorisme fume la foudre de l’intuition. L‘asthme de l’aphorisme fume la foudre de l’intuition.
L’aphorisme fait infuser la dynamite et exploser le thé.
L’aphorisme montre le brin d’herbe à l’intérieur de l’éléphant. L’aphorisme montre le brin d’herbe de la foudre à l’intérieur de l’éléphant. L’aphorisme montre le brin d’herbe de la foudre à l’intérieur de l’éléphant du tonnerre. L’aphorisme montre le brin d’herbe de la foudre à la fois à l’intérieur et autour de l’éléphant du tonnerre. La suite des aphorismes, le par suite des aphorismes montre le brin d’herbe de la foudre à la fois à l‘intérieur et autour du l’éléphant du tonnerre.
Le tonnerre lit d’innombrables fois la phrase qu’il n’écrit qu’une fois. L’éclair écrit d’innombrables fois la phrase qu’il ne lit qu’une fois. L’éclair écrit une multiplicité de fois la phrase qu’il n’écrit qu’une seule fois.
L’énigme affirme l’ouverture de la clef. La vérité révèle la fermeture de la clef. L’énigme affirme l’ouverture de la clef du silence. La vérité révèle la fermeture de la clef du langage.
La maison tombe en ruine quand elle apparait amoureuse de la terre.
Sentir l’instant où une maison s’extrait d’une femme. Le feu a la sensation de l’instant où une maison s’extrait d’une femme.
Le feu cherche et trouve l’instant où une maison s’extrait comme par enchantement du vide d’une main. Le feu cherche et trouve l’instant où une maison s’extrait comme par miracle du vide d’une main, du vide de la main d’une femme, du vide de la main d’une femme amoureuse.
L’enfance du feu sait que la maison existe aussi autour de la maison.
Le feu apparait comme le schizophrène de la confiture.
Le feu plie et déplie l’armoire à l’intérieur du linge. Le feu plie et déplie l’armoire du souffle à l’intérieur du linge de la clarté.
Le feu sait comment transformer les toupies en locomotives et les locomotives en toupies.
L’écriture apparait jouée. L’écriture apparait jouée à l’abandon. L’écriture apparait joué à l’abandon afin d’apparaitre contemplé comme un ready-made contorsionniste du cosmos.
L’écriture marche comme un Centaure à bicyclette. L’écriture marche comme le Centaure du silence. L’écriture marche comme le Centaure à bicyclette du silence.
L’écriture exclame la racine d’aile de la blessure.
L’écriture invente un chemin par le geste d’improviser des loopings avec des clous.
Celui qui écrit sait comment dormir à l’intérieur d’une armoire, se laver à l’intérieur d’un lit et jouer au ping-pong avec la table de la cuisine.
Apprendre à oublier par cœur.
La table apprend le précipice par cœur.
Tourner autour d‘une table jusqu’à ce que le sentiment de son passé devienne carré. Tourner autour d’une table jusqu’à ce que le sentiment de son passé prenne la forme d’un carré.
La chaise charme les os. La chaise reste là entre les yeux et les croix.
La chaise apparait comme une statue déchiquetée. La chaise apparait comme une statue déchiquetée par la panthère du vide, par la panthère pantelante du vide.
La chaise catapulte la paralysie. La chaise catapulte le regard de la paralysie. La chaise catapulte l’impact de la paralysie. La chaise catapulte le regard d’impact de la paralysie.
La chaise reste là comme un chef d’ouvre inconnu. La chaise reste là comme le chef d’œuvre de l’ascèse. La chaise reste là comme le chef d’œuvre de l’ascèse inconnue.
S’asseoir à l’ombre d’une chaise. S’asseoir à l’ombre d’une chaise un rêve en lévitation à l’extrémité des pieds.
Avoir un cheval à l’extrémité de chaque doigt.
Le pianiste virtuose possède un cheval à l’extrémité de chaque doigt. Le pianiste virtuose possède une otarie à l’intérieur de chaque poignet, un ours à l’intérieur de chaque paume e un cheval à l’extrémité de chaque doigt.
Le pianiste virtuose possède un léopard à l’intérieur de chaque poignet une otarie à l’intérieur de chaque paume et un cheval à l’intérieur de chaque doigt.
Entre le pyjama et le piano. Ci-git la parole entre le pyjama et le piano. Ci-git la paume de la parole entre le pyjama et le piano. Ci-git la paume de l’éternuement entre le pyjama et le piano. Ci-git la paume d’éternuement de la parole entre le pyjama et le piano. Ci-git la paume d’éternuement de la parole entre le pyjama du tigre et le piano de l’otarie, entre le pyjama de flammes du tigre et le piano de sources de l’otarie.
Pianoter la pulsion de la méditation. Pianoter la pulsion de la méditation comme machine à coudre l’œuf.
Poser la table de travail entre le tapis volant et le piège à tigre. Disposer la table de travail entre le tapis volant et le piège à tigre. Transformer la table de travail en trampoline pour les tigres. Transformer la table de travail en toboggan pour la baleine. Transformer la table de travail en trampoline pour le tigre et en toboggan pour la baleine.
Se tenir debout sur table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre. S’asseoir sur la table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre. S’allonger sur la table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre. Posséder la table entre le hors d’ouvre et le chef d’œuvre. Posséder le hurlement de la table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre. Posséder le sourire de la table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre. Posséder le hurlement de sourire de la table entre le hors d’œuvre et le chef d’œuvre.
Apparaitre comme le prestidigitateur du petit-déjeuner, le jardinier du déjeuner, le dessinateur du diner et le postier du souper.
Chaque matin, prendre son petit-déjeuner assis sur la bombe de ses rêves. Chaque matin prendre son petit déjeuner assis sur le tombeau de sa lucidité comme sur la bombe de ses rêves. Chaque soir, s’allonger à l’intérieur de son lit comme sur le tombeau de ses rêves et la bombe de sa lucidité.
Prendre le petit-déjeuner à la manière d’un cosmonaute. Posséder le petit déjeuner à la manière d’un cosmonaute. Posséder sexuellement le petit-déjeuner à la manière d’un cosmonaute.
Boire son ombre à la manière d’un cosmonaute. Boire les acrobaties de son ombre à la manière d’un cosmonaute. Boire le silence de son ombre à la manière d’un cosmonaute. Boire les acrobaties de silence d son ombre à la manière d’un cosmonaute. Boire l’ascèse de son ombre à la manière d’un cosmonaute. Boire les acrobaties d’ascèse de son ombre à la manière d’un cosmonaute.
Attendre une baleine sur le bord d’une falaise. Attendre la venue d’une baleine sur le bord d’une falaise. Attendre l’épiphanie d’une baleine sur le bord d’une falaise. Attendre la venue épiphanique d’une baleine sur le bord d’une falaise.
Attendre une baleine au bord du jardin. Attendre la venue d’une baleine au bord d’un jardin. Attendre la venue parabolique d’une baleine au bord d’un jardin. Attendre l’apparition parabolique d’une baleine au bord d’un jardin. Attendre l’apparition parabolique d’une baleine à l‘intérieur du jardin. Attendre l’apparition parabolique d’une baleine à l’intérieur du jardin de sa maison.
Jouer au mikado avec les âmes. Jouer au mikado avec les âmes à l’intérieur de l’orgie.
Contempler son visage à coups de marteaux. Contempler son rire à coups de marteaux. Contempler le visage de son rire à coups de marteaux. Contempler le torrent à coups de marteaux. Contemple le torrent de son rire à coups de marteaux. Contempler la cataracte de son rire à coups de marteaux.
Retrouver son visage à l’intérieur d’un outil. Retrouver son visage à l’intérieur de la voix d’un outil.
Contempler sa décapitation à l’intérieur du sourire de l’outil.
Ne jamais relier la guillotine et la gomme. Ne jamais guillotiner la gomme. Ne jamais gommer la guillotine. Ne jamais guillotiner avec la gomme. Ne jamais gommer avec la guillotine.
Ne jamais tuer une guillotine avec un homme. Ne jamais tuer une guillotine avec la gomme d‘un homme. Ne jamais tuer une guillotine avec un homme sans tête. Ne jamais tuer une guillotine avec la gomme d’un homme sans tête.
Le problème reste de savoir si la guillotine est le trou du souffleur du corps ou le trou du souffleur de la tête.
Voir le jour par le trou d’une serrure. Voir le jour par le trou du souffleur. Voir le jour par le trou du souffleur d’une serrure. Toucher la nuit par le tour de souffleur de la clef.
La guillotine apparait comme le télescope des Titans. La guillotine apparait comme le microscope du Sphinx et le télescope des Titans.
La guillotine apparait parfois comme la clepsydre du désert. La guillotine apparait parfois comme la clepshydre d’incroyable du désert.
Savoir comment parler entre la clephydre et la guillotine.
Il y a parfois des guillotines gaies comme des jets d’eau. Il y a parfois des guillotines gaies comme des fontaines, des guillotines gaies comme des fontaines de gags. Exclamer la gaieté de geyser des guillotines. L’ascèse exclame la gaieté de geyser des guillotines. Le sourire de l’ascèse exclame la gaieté de geyser des guillotines.
Crucifier un clou à un marteau. Crucifier un clou à marteau à coups de pantoufles.
Un pendu en pantoufles. Un crucifié en pyjama.
Crucifier son mépris avec une pantoufle.
Apparaitre crucifié au cercueil d’une potence. Apparaitre pendu au tombeau d’une croix.
Apparaitre crucifié au cercueil d’une femme.
Il y a une civilisation paradoxale des pendus. Il y a une civilisation secrète des décapités et un peuple paradoxal des pendus.
Affirmer le face à face de la dynamite et de l’auréole.
Sculpter la dynamite à la petite cuillère. Sculpter la dynamite avec le crâne. Sculpter la dynamite avec la petite cuillère du crâne.
Encenser le squelette d’une auréole.
Trouver le squelette d’une auréole à l’intérieur d’un cri. Trouver le squelette d’une auréole à l’intérieur du sourire d’un cri.
Recommencer par l’exclamation de son squelette. Recommencer par l’exclamation de son auréole. Recommencer par l’exclamation de squelette de son auréole.
Transformer son lit en trottinette avec l’exclamation de ses os. Transformer son lit en trottinette avec l’exclamation de clarté de ses os.
Parler à quatre pattes parmi ses mains. Parler à quatre pattes parmi le tas de ses mains. Parler à quatre pattes parmi la lévitation de ses mains. Parler à quatre pattes parmi le tas de lévitation de ses mains. Parler à quatre pattes à l’intérieur du vol en éclats de ses mains.
Etudier la trajectoire des météores avec le télescope de sa bouche. Toucher la trajectoire des météores avec le télescope de sa bouche. Chanter la trajectoire des météores avec le télescope de sa bouche.
Savoir comment dire au-revoir par le geste de projeter l’utopie de son cœur à l’extrémité de sa main. Savoir comment dire au-revoir par le geste de projeter l’utopie de son cœur à l’extrémité de l’ouverture de sa main.
Poser une boite à lettres au pôle nord. Planter un drapeau au sommet d’une boite à lettres.
Planter un marteau. Planter le marteau d’un drapeau. Planter le marteau d’un drapeau sur un nœud du vent.
Planter un drapeau au sommet d’un livre.
Planter un drapeau au seuil de sa tête. Planter un drapeau au sommet de sa tête. Planter un drapeau au sommet de sommeil de sa tête.
Une meute de cartes à jouer. Une montagne de cartes à jouer. Planter un drapeau au sommet d’une montagne de cartes à jouer.
Creuser un souterrain à force de planter des drapeaux.
Planter un continent au sommet d’un drapeau.
Planter un drapeau au sommet de la crucifixion. Crucifier son ombre avec un drapeau.
Inventer un attelage d’allumettes avec son sourire.
Rester en tête à tête avec l’allumette. Rester en tête à tête avec le sourire de démence de l’allumette.
Seule l’allumette sait comment crucifier un œuf.
Les boites d’allumettes apparaissent comme les boites à lettres de l’instant. Les boites d’allumettes apparaissent comme les boites à lettres de l’enfance, comme les boites à lettres de l’instant enfantin. Les boites d’allumettes apparaissent comme les boites à lettres du soufre. Les boites d’allumettes apparaissent comme les boites à lettres du soufre de l’instant. Les boites d’allumettes apparaissent comme les boite à lettres du soufre enfantin. Les boites à lettres du soufre de l’instant enfantin.
Affirmer la boite d’allumettes comme blason de la liberté. Affirmer la boite d’allumette comme emblème de la liberté.
Méditer comme l’archéologue des boites d’allumettes.
L’odeur de l’allumette archéologise la poitrine. L’odeur de l’allumette grattée archéologise le repos de la poitrine. L’odeur de l’allumette grattée archéologise la passion de repos de la poitrine.
Improviser des cathédrales avec une allumette. Improviser de cathédrales avec la solitude d’une allumette. Improviser des tas de cathédrales avec la solitude d’une allumette.
Dormir une cathédrale. Savoir comment dormir une cathédrale. Dormir une cathédrale avec une conversation d’allumettes. Savoir comment dormir une cathédrale avec une conversation d’allumettes. Savoir comment dormir la solitude d’une cathédrale. Savoir comment dormir la solitude d’une cathédrale avec une conversation d’allumettes. Savoir comment dormir une conversation de cathédrales. Savoir comment dormir une conversation de cathédrale avec la solitude d’une allumette.
Seul le sourire de l’allumette sait comment marcher avec le vent du temps. Seul le sourire de l’allumette bête comme le silence d’une étoile sait comment marcher avec le vent du temps.
Saluer les émotions comme les mathématiciennes du dimanche.
Saluer les ombres comme les pharmaciennes du feu d’artifice. Saluer les ombres comme les botanistes du feu d’artifice.
Torréfier le feu d’artifice. Torréfier le feu d’artifice avec l’éventail de ses orteils.
Parler à tâtons au cœur du feu d’artifice. Porter une brouette à tâtons au cœur du feu d’artifice. Porter une brouette d’ahurissement au cœur du feu d’artifice. Porter une brouette d’ahurissement iconoclaste au cœur du feu d’artifice.
Mettre la charrue avant les œufs. Mettre la charrue avant les œufs en dehors du même panier. Le délire de la conversation met la charrue avant les œufs en dehors du même panier. Le feu de la conversation met la charrue avant les œufs en dehors du même panier. Le délire de feu de la conversation met la charrue avant les œufs en dehors du même panier.
L’archéologue apparait comme le chorégraphe de la poussière.
Apparaitre comme l’archéologue funambule du feu de la conversation.
Caresser la parole de la poussière avec une pelle. Caresser la parole de la poussière avec le silence d’une pelle. Caresser la parole de la poussière avec la paix d’une pelle.
La pioche ouvre des fenêtres de cris à l’intérieur des éclipses de la terre.
Ecrire son journal intime sur un confetti.
Ecrire ses mémoires uniquement pour les oiseaux. Ecrire ses mémoires uniquement pour les moineaux.
Jeter des confettis de livres sur un front. Essaimer des confettis de livres sur un front.
Bégayer l’échelle de son ombre. Bégayer l’échelle de son ombre entre la cathédrale et le confetti.
Confondre parfois son ombre avec une comète. Confondre parfois son ombre avec une comète de coma.
Trouver le fossile d’un cœur à l’intérieur d’un tas de confettis. Trouver le fossile d’un cœur à l’intérieur d’une usine de confettis.
Découvrir le sourire de la dérive des continents à l’intérieur d’un confetti. Découvrir le fou-rire de la dérive des continents à l’intérieur d’un confetti.
La désinvolture essaie de construire une civilisation de confettis. La désinvolture de l’ascèse essaie de construire une civilisation de confettis anthropophages. La désinvolture de l’ascèse essaie de construire une civilisation de cils anthropophages.
Labourer son ombre avec une bougie.
Labourer son ombre avec une brouette. Labourer le hurlement de son ombre avec le sourire d’une brouette. Labourer le sourire de son ombre avec le hurlement d’une brouette. Labourer le hurlement d’amnésie de son ombre. Labourer le hurlement d’amnésie de son ombre avec le sourire d’ahurissement d’une brouette. Labourer le hurlement d’amnésie de son ombre avec le sourire d’étonnement d’une brouette.
Pousser la brouette avec l’ours.
Ourdir l’ours. Ourdir le pain de l’ours. Ourdir le pain de préhistoire de l’ours. Ourdir le pain d’utopie de l’ours. Ourdir le pain d’utopie préhistorique de l’ours. Ourdir le pain de fou-rire de l’ours. Ourdir le pain de fou-rire préhistorique de l’ours, le pain de fou-rire utopique de l’ours, le pain de fou-rire préhistorique utopique de l’ours.
Travailler avec l’ours de son ombre. Travailler avec l’ours sporadique de son ombre. Travailler avec l’ours aléatoire de son ombre. Travailler avec l’ours catatonique de son ombre.
Faire le tour du monde en poussant une brouette. Faire le tour du monde en poussant sa tombe à l’intérieur d’une brouette. Faire le tour du monde en poussant la poussière de sa tombe à l’intérieur d’une brouette. Faire le tour du monde en poussant le tourbillon de sa tombe, le tourbillon de poussière de sa tombe à l’intérieur d’une brouette. Faire le tour du monde en poussant le tourbillon de poussière de sa tombe, le tourbillon de poussière de son tombeau à l’intérieur d’une brouette d’ahurissement, à l’intérieur de la brouette de l’ahurissement iconoclaste.
Contempler les étoiles avec une brouette. Transporter la terre avec un télescope.
Transporter la dérive des continents à l’intérieur d’une brouette. Transporter la dérive des continents à l’intérieur de la brouette de l’ahurissement. Transporter la dérive des continents à l’intérieur de la brouette de l’ahurissement iconoclaste.
L’ahurissement fracasse d’innombrables féeries. L’ahurissement joue au bowling avec d’innombrables féeries. L’ahurissement joue au bowling avec d’innombrables cœurs. L’ahurissement joue au bowling avec d’innombrables cœurs de féerie.
La curiosité a un sourire de souche.
La brouette apparait comme la boite à lettre de l’herbe. La brouette apparait comme la boite à lettres de l’humus. La brouette apparait comme la boite à lettres du terreau.
La brouette apparait parfois comme le balcon du brouillard. La brouette apparait parfois comme balcon transportable du brouillard.
Boiter comme un buisson de toupies.
Savoir comment mettre une nappe sur le buisson ardent.
Retrouver les empreintes digitales d’un parapluie à l’intérieur du buisson ardent.
Feuilleter le portrait de son ombre avec des patins à roulettes.
Rattraper le temps perdu par la queue.
Savoir comment tenir un fou-rire par la queue.
Faire une pelote de laine avec les sourires de son prénom.
Tourner les pages du pôle nord.
Tourner le livre d’une seule page avec la toupie de son pouce.
Tourner les pages d’un livre afin de retourner sur ses pas. Retourner les pages d’un livre afin de tourner sur ses pas. Retrouver les pages d’un livre afin de tourner sur sa peau, afin de tourner sur les pas de sa peau.
Tourner les pages de la parole. Tourner les pages de la parole entre sa tête et ses pieds. La toupie tourne les pages de la parole entre sa tête et ses pieds.
Tourner les pages d’un livre avec une échelle de pieds.
Tourner les pages d’un livre avec les sauts périlleux de sa tête. Tourner les pages d’un livre avec les galipettes de sa tête. Tourner les pages de sa tête avec les sauts périlleux de ses lèvres. Tourner les pages de sa tête avec les galipettes de ses lèvres. Tourner les pages de sa tête avec les acrobaties de ses lèvres.
Prendre un avion pour tourner les pages d’un livre. Jeter un livre au loin afin de paralyser les ailes d’un avion.
Le livre feuillette la page du titre. Le livre feuillette tranquillement la page du titre. Le livre feuillette posément la page du titre.
Partager le vide des mains. Partager le vide des mains avec comme. Partager le vide des mains ave et. Partager le vide des mains avec comme et.
Le livre pose une pierre de paroles. Le livre pose une pierre de paroles entre le vide de je et la main de tu.
Poser une pierre de paroles entre avec et comme. Le livre pose une pierre de paroles entre avec et comme. Le livre pose une pierre de paroles entre le vide d’avec de je et la main de comme de tu. Le pain de feu du livre pose une pierre de paroles entre le vide d’avec de je et la main de comme de tu. Le pain de feu du livre pose la pierre de paroles de la certitude entre le vide d’avec de je et la main de comme de tu.
L’aurore excite le strip-tease des paupières. L’immense allusion de l’aurore provoque le strip-tease de paraplégie des paupières.
L’aurore ronronne entre l’amphore et la trompette. L’aurore ronronne entre l’amphore du sourire et la trompette du hurlement. L’aurore ronronne entre l’amphore du hurlement et la trompette du sourire.
Parler entre l’amphore et le sein. Parler entre l’amphore de l’aurore et le sein de l’obscur. Parler entre l’amphore de l’aurore et la poitrine de la nuit.
Parler entre l’amphore et la pioche. Se taire entre le sac et le sein. Parler entre l’amphore de l’aurore et la pioche de la nuit. Se taire entre le sac du sang et le sein de l’ainsi.
Parler entre l’amphore et la scie. Parler entre l’amphore de l’aurore et la scie du silence.
Poser un sucre sur l’aile d’un avion. Parler comme poser un sucre sur l’aile d’un avion.
Parler comme marcher en équilibre sur un toit. Se taire comme un ciel marche en équilibre sur notre tête.
Cadrer la mémoire avec la parole. Cadrer la mémoire avec la parole et accomplir le montage de la parole avec l’amnésie.
Parler comme jouer du tambour avec une planète de savon. Se taire comme jouer au mikado avec une comète de coma. Se taire comme jouer au mikado avec les météores du coma.
Il est inutile de désirer cacher la porte derrière la clef.
Etudier une porte avec un couteau. Tamiser une porte avec un couteau.
La parole lapide la table. La parole lapide la table afin de transformer la table en porte.
Disposer une porte entre deux mots. Disposer une porte entre un mot ouvert et un mot fermé.
Fixer une porte à chacune de ses empreintes de pas. Fixer le sourire d’une porte à chacune de ses empreintes de pas.
La porte entrouverte rêve à l’orgasme des murs.
Ouvrir les cuisses d’une fenêtre comme fermer le crâne d’un livre. Fermer les cuisses d’une fenêtre comme ouvrir le crâne d’un livre.
Le parapluie apparait comme le soleil du paralysé. Le parachute apparait comme la lune de l’aveugle. Le paradoxe apparait comme la peau du tonnerre.
L’ombre bégaie l’œil du noli tangere.
Retrouver l’œil intact de son ombre à l’intérieur d’un chantier de démolition.
Affirmer le chantier du chant. Affirmer le chantier du chant entre le buisson et l’abeille. Affirmer le chantier du chant entre l’amphore et l’abeille. Affirmer le chantier du chant entre l’amphore de l’aurore et l’abeille de l’obscur.
Le chantier incroyable du je ne sais quoi. Le chantier incroyable du comment dire. Le désespoir palpe le chantier du chant. Le désespoir palpe le chantier de je ne sais quoi du chant. Le désespoir palpe le chantier de comment dire du chant. L’habitude de l’éclair touche le chantier du chant. L’habitude d’éclair du désespoir toucher le chantier de je ne sais quoi du chant. L’habitude d’éclair du désespoir touche le chantier de comment dire du chant.
Le désespoir apparait comme la forme enfantine de la lucidité.
Une forme miraculeuse de désespoir : posséder un corps qui ne se modifie jamais pendant l’intégralité de son existence et avoir malgré tout une âme différente chaque jour.
Le désespoir excite les drapeaux du pain. Le désespoir excite les drapeaux de pain de la certitude.
Le désespoir pétrit la croix. Le désespoir pétrit la disparition de la croix. Le désespoir multiplie la crucifixion du pain.
Le désespoir jardine le feu. Le désespoir jardine les phrases du feu. Le désespoir jardine le feu de la certitude. Le désespoir jardine les phrases de feu de la certitude.
Le désespoir a beaucoup de couleurs à son arc. Le plaisir a beaucoup de couleurs à son arc. Le désespoir du plaisir a beaucoup de couleurs à son arc.
Le plaisir apparait comme la forme de facilité du désespoir. Le plaisir apparait comme la forme de facilité heureuse du désespoir.
Le dément apparait comme le prestidigitateur de son désespoir.
L’homme maudit utilise sa mémoire comme vêtement et son amnésie comme sous-vêtement.
Avoir plusieurs rivières à son slip et plusieurs déserts à son pantalon.
Le mathématicien de l’ombre coudoie l’alcool de demain.
L’amnésique retrouve le prénom de ses proches à l’instant où le hasard s’éloigne.
Il n’y a pas de profil de la solitude. La solitude possède une face et une silhouette. Malgré tout la solitude n’a pas de profil.
Parler en tête à tête avec une toupie. Se saouler en tête à tête avec une toupie. Parler à cœur ouvert avec une toupie. Parler en tête à tête à cœur ouvert avec une toupie.
Avoir une toupie comme tombe. Transformer sa tombe en toupie. La toupie apparait comme la tombe du prénom.
Incruster le sourire d’un livre à la surface d’une toupie. Lire un livre avec l’œil cyclopéen d’une toupie.
L’audace suce la toupie. L’audace suce le bonbon de la toupie. L’audace suce le bonbon de désespoir de la toupie. L’audace suce le sourire de la toupie. L’audace suce le sourire de désespoir de la toupie.
La toupie apparait comme le cœur du ventilateur. La toupie apparait comme le cœur de tact du ventilateur. La toupie apparait comme le cœur perdu du ventilateur, comme le cœur de tact perdu du ventilateur. La toupie apparait comme le cœur-comète du ventilateur.
La toupie apparait parfois comme la guillotine du ciel. La toupie apparait parfois comme la guillotine souterraine du ciel.
Utiliser la tasse de thé comme toupie de l’assentiment.
Elucider son ombre. Elucider son ombre avec les cils de son squelette.
Exciter son squelette. Exciter son squelette avec les cils de son ombre.
Lire l’ornière du chemin avec les cils. Lire l’ornière du chemin avec le chant des cils. Lire l’ornière du chemin avec les cils du chant.
Quand l’homme se tient en équilibre sur le fil de son ombre, sa douleur se confond avec sa joie.
S’asseoir à proximité d’une échelle de rêves.
Un tas de traits d’esprit. Poser une échelle à proximité d’un tas de traits d’esprit.
Utiliser une échelle afin d’atteindre le sommet de ses pieds.
Utiliser son ombre comme une échelle. Utiliser son ombre comme une échelle pour toucher le sommet du vide. Utiliser son ombre comme une échelle pour toucher le sommet de ses pieds. Utiliser son ombre comme une échelle pour toucher le sommet du vide de ses pieds.
Utiliser son squelette comme une échelle. Utiliser son squelette comme une échelle pour atteindre le sommet du vide. Utiliser son squelette comme une échelle pour toucher le sommet du vide. Utiliser son squelette comme une échelle pour toucher à son sommet les yeux du vide. Utiliser son squelette comme une échelle pour toucher à son sommet le regard du vide.
Le souffle du squelette sourit les yeux du vide. Le souffle du squelette sourit les yeux de feu du vide. Le souffle du squelette inscrit le sourire du feu. Le sourire du squelette inscrit le sourire de feu du vide.
Le squelette de l’homme apparait comme l’échelle du vide. Le squelette de l’homme apparait comme l’échelle de ses sentiments. Le squelette de l’homme apparait comme l’échelle d vide de ses sentiments.
Le squelette tend l’échelle du vide. Le squelette tend l’échelle du vide afin d’atteindre le sourire du cœur. Le squelette tend l’échelle du vide afin d’atteindre le sourire de monotonie du cœur.
Utiliser une échelle de cils pour atteindre son cœur. Utiliser une échelle de cils afin de chanter les contorsions de son cœur.
Tourner le sucre à l’intérieur de la tasse avec une échelle. Utiliser une échelle afin de tourner le sucre à l’intérieur de la tasse de thé.
Planter une échelle à l’intérieur du vide de l’espace. Planter une échelle à l’intérieur du vide de l’espace puis construite un mur posé contre cette échelle.
Un bouquet d’échelles. Trouver un bouquet d’échelles à l’intérieur de la tombe de l’utopie.
A l’intérieur de la civilisation des échelles, l’utopie a l’aspect d’un pyjama.
Ceux pour qui la civilisation apparait comme le pyjama de l’utopie. Ceux pour qui l’utopie apparait comme le pyjama de la civilisation.
L’échine apparait comme l’échelle des insinuations sexuelles.
La méfiance utilise l’échelle comme microscope. La confiance utilise la bulle comme télescope.
Il reste préférable de ne pas utiliser la potence comme échelle pour arroser les pots de fleurs.
Dans la civilisation des sourires inviolables, les chaussures des paroles ressemblent à des échelles de cils.
Assis au sommet d’une échelle, contempler le cinéma des saisons.
Le rire ressemble à une échelle. Le rire révèle l’échelle des cimetières. Le rire nage comme une échelle. Le rire nage comme une échelle d’écorce. Le rire nage comme une échelle de cimetière. Le rire nage comme l’échelle de cimetière de l’écorce. Le rire nage comme une échelle-cercueil. Le rire nage comme l’échelle-cercueil de l’écorce.
Utiliser l’échelle comme chaussettes de son crâne.
L’humour utilise l’échelle comme chaussette du crâne et la guillotine comme slip des pieds, comme slip des genoux.
Le bonheur utilise l’échelle comme bougie. La jubilation utilise l‘échelle comme bougie. La jubilation utilise l’échelle come bougie afin de toucher, goûter et humer l’élévation des ombres.
Utiliser la mémoire comme marteau et l’amnésie comme enclume. Le jour, utiliser la mémoire comme marteau et l’amnésie comme enclume. La nuit, utiliser la mémoire comme enclume et l’amnésie comme marteau.
Entrer à l’intérieur du lit par l’habitude de la poitrine et par la virtuosité des jambes. Sortir du lit par l’habitude des jambes et par la virtuosité de la poitrine.
Le jour, marteler le lit avec l’intuition. La nuit marteler l’intuition avec le lit. Le jour, tamiser la table avec l’intuition. La nuit, tamiser l’intuition avec la table. Le jour, marteler l’oreiller avec l’intuition. La nuit, marteler l’intuition avec l’oreiller.
Le jour, tamiser la chaise avec l’intuition. La nuit tamiser l’intuition avec le tabouret. Le jour marteler le tabou avec le tabouret. La nuit, marteler le tabouret avec le tabou.
Le jour pose la passion à l’intérieur d’un espace de verre. Le jour pose l’équilibre, la passion de l’équilibre à l’intérieur d’un espace de verre. La nuit pose un espace de verre à l’intérieur de la chute. La nuit pose un espace de verre à l’intérieur de la certitude de la chute.
La joie voyage d’un continent à un autre à l’intérieur d’une phrase. La tristesse oscille d’un voyage à un autre à l’intérieur d’un mot.
Chaque souvenir dispose de deux têtes et d’un seul pied. Chaque souvenir marche ainsi avec ses deux têtes et chante avec un seul pied. Chaque parole dispose de deux têtes et d’un seul pied. Chaque parole marche ainsi avec ses deux têtes et chante avec un seul pied. Chaque parole du souvenir marche avec ses deux têtes et chante avec un seul pied.
Inventer une technique qui ne serait utilisable que dans le passé. Inventer une technique qui ne serait utilisable qu’à l’intérieur de ses souvenirs.
Les machines ne sont pas aptes au plaisir parce qu’elles ignorent le désespoir.
Tendre l’orteil de sa voix. Savoir comment tendre l’orteil de sa voix. Savoir comment tendre l’orteil d’écorce de sa voix. Offrir l’orteil de sa voix à la frondaison de l’arbre. Savoir comment offrir l’orteil de sa voix à la frondaison de l’arbre. Savoir comment offrir l’orteil de terreur de sa voix. Savoir comment offrit l’orteil de terreur de sa voix à la frondaison de sourires de l’arbre.
Le bonheur s’immisce parfois entre l’ennui et le destin. Le bonheur s’immisce parfois entre le mur de l’ennui et le vide du destin. Le bonheur s’immisce parfois comme du lierre, comme un lierre d’exaltation, comme le lierre d’exaltation du désespoir entre le mur de l’ennui et le vide du destin, entre le mur de l’ennui et l’espace du destin.
Devenir l’architecte de son enfance.
Devenir l’imprimeur du pain d’épices. Séduire le piano avec le pain d’épices.
Devenir le cinéaste de son crâne plutôt que d’être le photographe de son cerveau.
Devenir le cordonnier de l’orage.
Le cri essaie de devenir le cordonnier des accordéons. Crier comme devenir le cordonnier des accordéons. Crier comme devenir le cordonnier des volcans. Crier comme devenir le cordonnier des accordéons du volcan.
Le cri apparait comme le cordonnier des oreilles. Le cri apparait comme le cordonnier du désert. Le cri apparait comme le cordonnier des oreilles du désert.
Surfer sur les dunes du désert avec l’oreille du silence. Surfer sur les dunes du désert avec l’oreille du désespoir.
Avoir plus d’une chaussette a son accordéon. Avoir plus d’une chaussette à son pied-bot. Avoir un accordéon de chaussettes à son pied-bot.
Balayer l’alcool avec un accordéon. Balayer l’alcool de son ombre avec un accordéon.
Jouer une pièce de théâtre à l’intérieur d’un accordéon. Jouer une tragédie pour les termites à l’intérieur d’un accordéon.
Les oreilles dissocient le sourire du cœur.
L’oreille parle à reculons. L’oreille crie à reculons. Les paupières écoutent à reculons.
Viser l’envers d’un cerveau avec l’envers d’une oreille.
L’oreille attend comme le phonographe du délire. L’oreille attend comme la trompette du silence.
La face de l’oreille révèle le profil du phonographe. La face d’un phonographe révèle le profil de l’oreille.
Disposer d’une oreille unique à l’intérieur du crâne et de deux cerveaux de chaque côté de la tête.
La statue apparait comme le piedestal des mains du sculpteur.
La bouche apparait parfois comme le trou du souffleur de la sculpture. La bouche apparait parfois comme le trou du souffleur des statues. A l’intérieur du désespoir, la bouche apparait comme le trou de souffleur des statues. A l’intérieur de l’étonnement du désespoir, la bouche apparait comme le trou du souffleur des statues.
La gourmandise montre la géographie de l’analphabète. La gourmandise montre la liste de géographie de l’analphabète. La gourmandise montre la bouche de géographie de l’analphabète.
Le plus inquiétant des labyrinthes c’est le labyrinthe du lait.
Le labyrinthe apparait comme le bordel des larmes. Le labyrinthe apparait comme le temple des rires et le bordel des larmes.
Au comptoir du tabac-journaux, une molécule d’oxygène attend son tour. A l’entrée du labyrinthe, une molécule d’oxygène attend son tour. Au comptoir du tabac-journaux, une molécule d’oxygène attend son tour comme à l’entrée d’un labyrinthe.
Au sommet d’une montagne d’air, apprendre la sagesse du magnétoscope à un atome de plomb.
A l’instant d’ébriété de l’habitude, le banc s’assoit sur nous.
L’attente ressemble parfois à l’atelier du hasard. L’habitude ressemble toujours à l’atelier de la nécessité, à l’atelier du destin. L’attente ressemble parfois à l’atelier de hasard du cœur. L’habitude ressemble toujours à l’atelier de la tête de la nécessité, à l’atelier de la tête du destin.
Un linceul de cils. L’habitude erre comme un linceul de cils.
Exciter le hasard avec le linceul de cils de l’habitude. Déshabiller le hasard avec le linceul de cils de l’habitude.
Le hasard essaie des cimetières. Le hasard essaie des cimetières de toupies. L’escalier essaie des cimetières. L’escalier essaie de cimetières de toupies. L’escalier du hasard essaie des cimetières de toupies.
La paralysie revient sur ses pas sans jamais marcher. La paralysie palpe la relecture de la lenteur. La paralysie pétrit la relecture de la lenteur. La paralysie palpe la relecture de lenteur de la certitude. La paralysie pétrit la relecture de lenteur de la certitude.
La rime revient sur ses pas sans jamais marcher. La rime de la paralysie revient sur ses pas sans jamais marcher.
La rime paralyse. La rime paralyse la toupie. L’escalier de la rime paralyse le cimetière des toupies.
La clarté équilibre l’énigme. La clarté étonne la confusion.
La confusion a aussi des yeux. La confusion a des yeux de confiture en feu. La confusion à des yeux de feu confit. La confusion a des yeux de bébé de feu confit.
Trouver un bébé de feu à l’intérieur d’un bonhomme de neige. Trouver un bébé de dynamite à l’intérieur d’un bonhomme de neige.
Jouer au bilboquet avec la baleine. Jouer au mikado avec le merle et au bilboquet avec le kangourou.
Lire les œuvres complètes de Kant en jouant du tambour. Lire les œuvres complètes de Kant confortablement installé dans la poche du kangourou. Lire les œuvres complètes de Kant en jouant du tambour dans la poche du kangourou.
Jouer de l’harmonica avec l’ornithorynque. Jouer de l’harmonica avec les nageoires du kangourou.
L’orque du secret attend au cœur de l’orchidée. L’orque du secret attend au cœur du sourire de l’orchidée.
Droguer l’ornithorynque avec l’orchidée. Droguer le sourire de l’ornithorynque avec l’odeur de l’orchidée. Droguer l’odeur de l’ornithorynque avec le sourire de l’orchidée.
Etonner l’otarie avec le brin d’herbe.
Sucer le vol d’un aigle comme une dragée.
Savoir comment allier la ténacité du chat à la souplesse de la tortue.
Pandiculer le quartz avec le léopard. Jongler jusqu’à l’âme sœur avec le jaguar.
Jouer au ping-pong avec l’éléphant. Jouer au badminton avec la baleine. Jouer au ping-pong avec l’éléphant, jouer au mikado avec l’escargot, jouer au badminton avec la baleine.
Quand le prestidigitateur des parfums et des ombres apparait épuisé d’écrire, il apprend à jouer du violon aux éléphants.
Les oreilles de l’éléphant favorisent l’implosion du cœur de la tortue. Les oreilles de l’éléphant favorisent la respiration du cœur de la tortue.
Celui qui bégaie jongle avec des échelles afin de s’asseoir sur l’éléphant de son cœur. Celui qui bégaie jongle avec un ruisseau d’celles afin de s’asseoir sur l’éléphant de son cœur.
La confiance fait son lit entre la montgolfière et l’éléphant. La confiance compose un lit entre la montgolfière et l’éléphant. La confiance compose un lit de sourires. La confiance compose un lit de sourires entre la montgolfière et l’éléphant. La confiance compose un lit de sourires entre la montgolfière et la baleine, entre l’hélicoptère et l’éléphant.
Disposer d’un éléphant domestique qui vous apporte vos chaussons à l’instant de la fin du monde.
Voir la fin du monde entre deux rendez-vous. Courir afin d’avoir rendez-vous avec l’attente.
Attendre comme avoir un extrait de cimetière coincé sous les ongles.
Avoir un rêve d’escalier coincé à l’intérieur du genou. Avoir un regard d’escalier coincé à l’intérieur du genou.
L’escalier sait comment mettre ses mains dans les poches de ses pieds. L’escalier sait comment mettre les mains dans les poches sous les yeux de ses pieds.
Croiser un escalier à l’intérieur d’un homme.
L’escalier indique la couronne du rez-de-chaussée.
L’escalier hésite à chaque pas entre la sainteté et le crime.
L’escalier utilise l’alibi comme crime. L’escalier utilise l’alibi de veille de l’homme comme crime de rêve de la maison, l’alibi de rêve de la maison comme crime de veille de l’homme. L’escalier utilise l’alibi de rêve de l’homme comme crime de veille de la maison, l’alibi de veille de la maison comme de crime de rêve de l’homme.
Construire un escalier avec des racines d‘hélicoptères et des sourires de requins.
L’escalier évolue comme un fil qui marche par terre. L’escalier évolue comme un fil d’acrobate qui tenterait de marcher par terre.
L’unijambiste reste fidèle aux bijoux de l’ébullition. En équilibre à l’intérieur de l’escalier, l’unijambiste reste fidèle aux bijoux de l’ébullition.
Utiliser le cul de jatte afin de recueillir l’eau de pluie transforme ainsi le cul de jatte en clepsydre de l’orage.
Le cul de jatte dispose malgré tout d’un regard d’aigle et d’un sonar de dauphin.
La douleur joue au yoyo avec les yeux des statues.
La paralysie plante un arbre à l’intérieur du cœur.
Paralyser un pays avec une harpe. Paralyser l’utopie avec un piano.
Parler au futur de son ombre et rester ainsi paralysé. Fleurir le futur de son ombre et rester ainsi paralysé.
Parler comme voyager autour d’un visage. Parler comme voyager autour d’un visage paralysé. Parler comme voyager autour de la paralysie d’un visage. Parler comme provoquer le voyage du crane autour d’une clef perdue. Parler comme provoquer le voyage de silence du crâne. Parler comme provoque le voyage de silence du crane autour de la clef perdue d’un visage paralysé.
Retrouver la parole à l’intérieur de la catastrophe artificielle du noir.
Le sourire de la lune paralyse le regard du vide.
Là où la lune dort, la nuit sourit. Là où la lune dort, la nuit chante des prénoms. Là où la lune dort, la nuit invente des prénoms. Là où la lune dort, la nuit chante des sourires de prénoms. Là où la lune dort, la nuit invente des sourires de prénoms.
Le hasard survient comme le prestidigitateur de l’ingénuité.
La prestidigitation des jours apprend son âge à l’instant de perdre son cœur. La prestidigitation des jours rencontre sa tête à l’instant de perdre son cœur.
Jouer aux échecs avec ses os et au mikado avec ses muscles. Jouer au mikado avec ses os et aux échecs avec ses muscles.
Jouer au mikado avec l’échiquier. Le miracle joue au mikado avec l’échiquier. Jouer aux billes avec l’avion. Le bonheur joue aux billes avec l’avion. Jouer aux billes avec l’échiquier. Jouer au mikado avec l’avion. L’habitude joue aux billes avec l’échiquier. La désinvolture joue au mikado avec l’avion.
Il apparait difficile de dire bonjour à un arbre. Il apparait facile de dire au-revoir à un arbre.
Savoir comment dire au revoir à une fleur. Il apparait facile de dire bonjour à une fleur. Il apparait difficile de dire au-revoir à une fleur.
Fleurir un râle. Fleurir un râle avec un miracle.
Poser un bâillon de fleurs. Le baiser pose un bâillon de fleurs. Poser un bâillon de fleurs sur ses oreilles. Le baiser pose un bâillon de fleurs sur les oreilles.
Les avions aimeraient parfois se souvenir des fleurs.
Le brin d’herbe épouvante l’avion. Le brin d’herbe épouvante l’aigle. L’aigle plane si haut dans le ciel parce que le brin d’herbe l’épouvante.
Quand le vent caresse le pré, le pré appelle chaque brin d’herbe par son prénom.
Quand le vent contemple le pré, le pré touche chaque brin d’herbe par son prénom. Quand le vent touche le pré, le pré touche chaque brin d’herbe par son prénom.
Trouver un orchestre de brins herbes à l’intérieur d’un cimetière de signatures. Trouver un orchestre de signatures à l’intérieur d’un cimetière de brins d’herbes.
Orchestrer le volcan avec le brin d’herbe. Orchestrer l’orage avec le brin d’herbe. Orchestrer le champ de blé avec le bâton de dynamite.
Le précipice décapite son ombre avec son sommeil. Le précipice décapite son ombre avec ses orteils. Le précipice décapite son ombre avec les orteils de son sommeil.
La main du temps cherche à quoi recommence zéro. La main du temps cherche à savoir à quoi recommence zéro.
Avoir autant de maisons que de mains. Avoir autant de maisons que de mains le jour et autant de ruines de maisons que de doigts la nuit.
Retrouver sa main à l’intérieur d’une molécule d’oxygène. Retrouver sa main à l’intérieur de la préhistoire d’une molécule d’oxygène.
Pendre ses mains par les pieds. Pendre ses mains par les pieds afin de peindre la couleur du vide.
Marcher les mains en l’air et les pieds dans les poches. Marcher sur les mains en l’air. Marcher sur les mains en l’air et les pieds dans les poches.
Savoir comment mettre les mains dans les poches de ses pieds. Savoir comment mettre les mains dans les poches sous les yeux de ses pieds.
Ceux qui utilisent la pensée comme un chapeau pour les pieds. Et ceux qui utilisent les pieds comme chaussures de leurs pensées.
Les pieds de l’homme restent là comme les poissons de la terre. Les pieds de l’homme restent là comme les poissons du désert. Les pieds de l’homme restent là comme les poissons de la poussière. Les pieds de l’homme restent comme des poissons souterrains, les poissons souterrains de l’attente, les poissons souterrains de l’innommable, les poissons souterrains de l’attente innommable.
Perdre un œil à l’intérieur d’un pied. Retrouver un pied à l’intérieur d’une oreille.
Retirer un pied de l’épine. Le pas retire un pied de l’épine. La rime du pas retire un pied de l’épine. La rime du pas retire un pied de l’épine du chemin.
Celui qui sait comment sourire à l’intérieur de la terre a des yeux à l’extrémité de chaque orteil. Celui qui sait comment pleurer à l’intérieur du feu a des pieds à l’extrémité de chaque cil.
Prendre le sac le pied dans le voleur.
L’amoraliste marche sur les mains des œufs. L’immoraliste marche sur les œufs des mains.
Marcher jusqu’à sculpter la trajectoire de la tête avec la pulsion des pieds. Marcher jusqu’à sculpter la trajectoire de paroles de la tête avec la pulsion de silence des pieds.
Utiliser son âge pour mettre ses chaussures. Utiliser son âge comme chausse-pied.
Le vertige utilise le yoyo comme chausse-pied. Le vertige utilise le yoyo comme chausse-pied de l’ombre.
Eduquer l’amnésie de ses chaussures. Eduquer l’amnésie de ses chaussures avec les rêves de son âge. Eduquer l’amnésie de ses chaussures avec l’échelle de son âge.
Utiliser des chaussures de bulles pour boiter par la voix des airs.
Echafauder des chaussures d'ascèse avec le hasard de sa chevelure.
Porter un dimanche sur sa tête comme une chaussure. Porter un dimanche sur sa tête comme une chaussure et porter un samedi aux pieds comme un chapeau.
Porter un chapeau autour du cou. Porter un collier au sommet de la tête et un chapeau autour du cou.
Se tenir entre la désinvolture du marteau et la solennité des chaussettes. Toucher l’ombre de la liberté entre la désinvolture du marteau et la solennité des chaussettes.
Tisser ses chaussettes avec des chiffres. Utiliser les chiffres uniquement pour tisser ses chaussettes.
Apprendre à parler aux chiffres avec les regards de ses chaussettes. Utiliser le monologue des chiffres pour marteler avec ses chaussettes.
Utiliser une potence pour mettre ses chaussettes. Utiliser une potence pour mettre les chaussettes d’une carte à jouer.
Relire un météore avec ses chaussettes. Relire un météore avec les chaussettes de sa malédiction. Relire le sourire d’un météore avec les chaussettes de sa malédiction.
La solennité des chaussettes attise la curiosité des ombres.
Les chaussettes incrustent des échelles de sous-entendus.
Le secret des chaussettes est de faire de l’escrime avec les béquilles.
Eclipser un pays avec une pantoufle. Eclipser une pantoufle avec l’utopie. Eclipser un chapeau avec l’utopie.
Porter un cou à sa clef. Porter un cou autour de sa clef. Poster un cou à sa clef. Poster un cou autour de sa clef.
Ouvrir un verrou. Cueillir une fleur. Ouvrir un verrou comme cueillir une fleur. Cueillir un verrou. Fermer une fleur. Cueillir un verrou comme fermer une fleur.
Utiliser le verrou comme sablier. Utiliser le verrou comme sablier des vœux. Verrouiller ses vœux avec son ombre. Verrouiller son ombre avec ses vœux. Utiliser le verrou comme sablier de sa volonté. Verrouiller sa volonté avec son ombre. Verrouiller son ombre avec sa volonté.
Boire du vin rouge à l’intérieur d’un verrou. Boire du vin blanc à l’intérieur d’une clef. Boire l’équilibre à l’intérieur du verre du tabou. Manger le tabou à l’intérieur de l’équilibre du bol.
Manger la nuit avec la fourchette de la foudre. Manger la nuit avec la petite cuillère de la foudre. Manger l’orage avec la petite cuillère de l’éclair.
Coincer le cyclone avec la cuillère. Coincer le cyclone avec la coccinelle. Coincer le cyclone avec le sourire de la cuillère. Coincer le cyclone avec le hurlement de la coccinelle.
Sodomiser le diamant avec le fauteuil-roulant.
Trouver une clef debout à l’intérieur d’un fauteuil roulant.
Enucléer l’océan avec la clef. Enculer l’océan avec la clef. Enculer l’œil de l’océan avec la clef.
Utiliser le fauteuil roulant comme clef des ruines. Utiliser le fauteuil roulant comme clef du désert. Utiliser le fauteuil roulant comme clef de ruine du désert. Ruiner un désert avec la clef d’un fauteuil roulant.
Utiliser la roue de loterie comme métronome.
Chanter la chimie du carré. Chanter la chimie du zéro. Chanter la chimie de carré du zéro.
S’asseoir en taïaut. S’asseoir en étau. S’asseoir en taïaut de l’étau.
Enraciner le profil de la respiration avec la poussière de la face. Essaimer le profil de la respiration avec la poussière de la face.
Retenir sa respiration à cloche-pied. Retenir le sperme de sa respiration à cloche-pied.
Décapsuler la cataracte avec la clepsydre.
Ouvrir l’océan avec la clepsydre. Fermer le désert avec le sablier.
Poser la mélodie des larmes entre le télégramme et le losange. Poser la mélodie des larmes entre la mémoire et le losange. La mélodie des larmes révèle les losanges de la mémoire. La mélodie des larmes dise les losanges de la mémoire. La mélodie des larmes overdose les losanges de la mémoire.
Le si j’ose dire révèle l’overdose de l’eau.
Voler comme apprendre à écrire à une page blanche. A l’instant de l’envol, le papier devient stylographe.
Voler en éclats comme le fou-rire du cul-de-jatte. Savoir voler en éclats comme le fou-rire du cul-de-jatte.
Le rire vole les pas en éclats. Le rire vole les pas en éclats jusqu’à revenir sur ses pieds. Le rire vole les pas en éclats jusqu’à retomber sur ses pieds.
Rire un pont entre deux rivières. Le rire pose un pont entre deux rivières. Le rire essaie de poser un pont entre deux rivières. Le rire essaie de poser un pont entre deux rivières de miracles.
Le désespéré ne pleure que sur les ponts. La dérision du désespoir c’est de ne pleurer que sur les ponts.
Rire sur un pont provoque des aventures à la petite semaine. Rire sur un pont provoque des alvéoles d’ouragan à la petite semaine.
Construire un pont entre la branche et la scie. Construire le pont d’un sourire entre la branche et la scie. Parler comme construire un pont entre la branche et la scie. Parler comme construire le pont d’un sourire entre la branche et la scie.
A l’intérieur des nuits d’hiver, le front repose parfois comme un pont d’eau. A l’intérieur parfois de nuits de pleine lune, des nuits de pleine lune d’hiver, le front repose parfois comme un pont d’eau.
Parfois le front apparait comme un pont d’eau qui relie les sourcils du feu. Parfois le front apparait comme un pont de feu qui relie les sourcils de l’eau. A l’intérieur du silence (du silence nocturne, du silence lunaire nocturne), le front apparait comme un pont d’eau qui relie les sourcils du feu. A l’intérieur de la parole, le front apparait parfois comme un pont de feu qui relie les sourcils de l’eau, comme un pont de feu entre la source des sourcils.
Chuchoter à l’oreille du volcan. Chuchoter des fourmis dans les jambes à l’oreille du volcan.
Citer le souhait du volcan. Construire la cité sur le souhait du volcan. Citer la cité avec le souhait du volcan.
Tamiser le volcan avec la tortue. Tamiser le tonnerre avec la tortue. Tamiser le rire du volcan avec le silence de la tortue. Tamiser le rire du tonnerre avec le silence de la tortue.
Le volcan éternue des rhinocéros. Le volcan éternue des rhinocéros de vodka. Le volcan éternue des mammouths de whisky et des rhinocéros de vodka. Le volcan éternue des wagons de whisky et des rhinocéros de vodka, des locomotives de whisky et des rhinocéros de vodka.
Le jet d’eau crache des mains avec le flux de ses ongles. Le jet d’eau crache des souvenirs de mains avec le flux de luxe de ses ongles.
Le geyser syntaxise l’érection du sperme. Le geyser syntaxise l’hésitation du sperme. Le geyser syntaxise l’érection d’hésitation du sperme. Le geyser exclame l‘érection du sperme. Le geyser exclame l’hésitation du sperme. Le geyser exclame l’érection d’hésitation du sperme. Le geyser exclame la syntaxe du sperme. Le geyser exclame la syntaxe d’érection d sperme, la syntaxe d’hésitation du sperme, la syntaxe d’hésitation érectile du sperme.
Le geyser souffle l’érection du sperme. Le geyser souffle l’érection de verre du sperme. Le geyser souffle la syntaxe du sperme. Le geyser souffle la syntaxe de verre du sperme.
Il y a un gisant de sperme au sommet du jet d’eau. Un gisant de sperme sourit au sommet du jet d’eau. Un gisant de sperme sourit à gorge déployée au sommet du jet d’eau. Un gisant de sperme sourit à langue déployée au sommet du jet d’eau.
La fusée facilite l’utopie. La fusée félicite l’utopie. La fusée favorise l’utopie. La fusée facilite l’utopie de l’immédiat. La fusée félicite l’utopie de l’immédiat. La fuse favorise l’utopie de l’immédiat. La fusée facilite l’utopie du papier.la fuse facilite l’utopie de papier de l’immédiat. La fusée félicite l’l’utopie du papier. La fusée félicite l’utopie de papier de l’immédiat.
Le biberon apparait comme la fusée du lait. La fusée apparait comme le biberon des galaxies. La fusée jongle avec le biberon des galaxies anthropophages.
Le givre reste ivre de joie.
Le givre incruste l’excitation de l’hiver. Le givre sculpte l’excitation de l’hiver. Le givre sculpte le coma de l’hiver. Le givre sculpte l’excitation de coma de l’hiver. Le givre taillade l’excitation de l’hiver. Le givre taillade le coma de l’hiver. Le givre taillade l’excitation de coma de l’hiver.
Le bégaiement vole avec des béquilles.
L’échelle apparait comme la béquille des murs. L’échelle apparait comme la béquille de vertige des murs. L’échelle apparait comme la béquille d’éblouissement des murs. L’échelle apparait comme la béquille de vertige ébloui des murs.
L’échelle apparait comme la béquille de ravissement des murs. L’échelle apparait comme la béquille de ravissement ébloui des murs.
La pudeur met des béquilles aux tombeaux. La pudeur met des béquilles aux miroirs et des bagues aux tombeaux.
Perdre une forêt à l’intérieur d’une boite.
Il y a toujours quelque chose d’autre à l’intérieur d’une boite. La boite ne sauvegarde pas quelque chose. La boite ne sauvegarde pas le vide. La boite sauvegarde quelque chose d’autre et parfois même le vide de quelque chose d’autre. A l’intérieur de la boite il y a soit l’ombre du vide soit le vide de l’ombre.
La boite semble borgne des pieds et cul-de-jatte des yeux.
Les boites à lettres sont les coffres forts des pauvres.
La boite à lettres apparait comme le labyrinthe du vide. La boite à lettres apparait comme le labyrinthe de têtes du vide.
La boite à lettres attend là comme le tombeau du hasard. La boite à lettres attend là comme le tombeau de la contingence.
La boite à lettre attend là comme le cercueil des paroles perdues. La boite à lettres apparait comme la bibliothèque des regards perdus.
Boiter comme une bibliothèque. Boiter comme le hurlement d’une bibliothèque. Boiter comme le sourire d’une bibliothèque. Boiter comme le hurlement de sourire d’une bibliothèque.
L’image nocturne de la bibliothèque abolit la pensée. L’apparition nocturne de la bibliothèque abolit l’image de la pensée. L’icône nocturne de la bibliothèque abolit l’image de la pensée.
La bibliothèque apparait comme la boite aux lettres des mourants. La bibliothèque apparait comme la boite aux lettres des mourants immortels.
La bibliothèque boite le tact. La bibliothèque boite le tact de la méditation. La bibliothèque boite le tact du cerveau. La bibliothèque boite le tact de la poitrine. La bibliothèque boite le tact du thorax. La bibliothèque boite le tact cérébral de la poitrine. La bibliothèque boite le tact cérébral du thorax.
Une bibliothèque de confettis. Une bibliothèque de bulles de savon. L’absurdité embrasse des bibliothèques de confettis. L’absurdité embrasse des bibliothèques de bulles de savon.
Le toboggan invente des bibliothèques de bulles de savon. Le toboggan embrasse des bibliothèques de bulles de savon. Le toboggan de l’absurdité embrasse des bibliothèques de bulles de savon.
Peigner une bibliothèque avec son ombre. Peigner son ombre avec une bibliothèque. Biberonner son ombre avec une bibliothèque.
Moissonner la bibliothèque. Chercher une phrase à l’intérieur d’un champ de blé. Moissonner la bibliothèque comme chercher une phrase à l’intérieur d’un champ de blé.
Le bibliothécaire pose les livres sur l’échiquier de l’aube. Le bibliothécaire pose les livres sur l’échiquier d’absurdité de l’aube. Le bibliothécaire dispose les livres sur l’échiquier de la liberté. Le bibliothécaire dispose les livres sur l’échiquier sourd-muet de la liberté. Le bibliothécaire dispose les livres sur l’échiquier ambidextre de la liberté, sur l’échiquier ambidextre sourd-muet de la liberté.
Eternuer la lecture avec la nudité.
Apprendre à lire à la fraicheur des os.
Seul l’analphabète sait comment inventer des métaphores littérales.
Il n’y a jamais d’auréole à l’intérieur d’une poubelle. Malgré tout il y a parfois des poubelles à l’intérieur des auréoles.
La liberté ressemble soit à un homme au sommet d’une poubelle soit à une poubelle au sommet d’un homme.
L’homme est le dimanche du cannibale. L’homme est le dimanche de jeûne du cannibale. L’homme est l’anorexie du cannibale. L’homme est le dimanche d’anorexie du cannibale.
Trouver l’os de l’obsession à l‘intérieur de l’assiette du cannibale.
Manger des bonbons apparait comme le tabou du cannibale.
Faire la vaisselle de la tragédie. Seul l’anthropophage civilisé sait comment faire la vaisselle de la tragédie.
C’est-à-dire apparait parfois comme un orchestre d’anthropophages. C’est-à-dire ainsi apparait parfois comme un orchestre d’anthropophages. C’est à dire ainsi où ça apparait parfois comme un orchestre d’anthropophages.
Le problème n’est pas de penser quelque chose. Le problème n’est pas de penser à quelqu’un. Le problème est de penser quelque chose à quelqu’un et de penser quelqu’un à quelque chose.
Ne mémoriser que les instants où un homme dit « oh là là. »
La découverte d’une planète par un timbre-poste.
Un pays comme un poisson. Un pays qui nage parmi la terre comme un poisson.
L’hésitation révèle le harem d’Hamlet. L’hésitation révèle le harem de larmes d’Hamlet. Le tiroir articule les larmes d’Hamlet. Le tiroir articule le harem de larmes d’Hamlet.
Avoir un tableau sur le bout de la langue.
Fixer un mur sur un tableau. Fixer un mur à la surface d’un tableau. Fixer un mur à la surface du chant d’un tableau.
Regarder la musique de profil. Ecouter parler le profil d’un tableau.
La tête apparait parfois comme une carte de visite troglodyte.
Jouer aux cartes les bras croisés derrière la tête. Jouer aux cartes les bras croisés au-dessus de la tête.
Transformer les grelots troglodytes de la tête en boite à musique de la démence.
Mettre des bretelles à une poubelle afin d’essayer de la transformer en harpe.
Jouer de la harpe avec un tournevis. Révéler la harpe des empreintes digitales. Révéler la harpe des empreintes digitales avec un tournevis. Jouer de la harpe des empreintes digitales avec un tournevis.
Coincer sa carte de visite parmi les hésitations de son cerveau. Coincer sa carte de visite parmi les restes d’hésitation de son cerveau. Coincer sa carte de visite parmi les détritus d’hésitation de son cerveau.
Doter un trou de mémoire d’une trottinette.
Mettre des étriers à un trou de mémoire. Mettre des étriers d’allumettes à un trou de mémoire.
Mettre des étriers à une falaise. Mettre des étriers d’éther à une falaise. Mettre des étriers à la falaise de la vieillesse. Mettre des étriers d’éther à la falaise virtuose de la vieillesse. Mettre des étriers d’éther à la falaise des allumettes, à la falaise virtuose des allumettes.
Mettre des étriers au lit du miracle. Mettre des étriers à l’incendie du miracle. Mettre des étriers au lit d’incendie du miracle.
Découvrir le champ de bataille des cartes de visite. Etudier le champ de bataille des cartes de visite.
Etudier le vol migrateur des cartes de visite. Etudier le vol migrateur des cartes de visite avec les convulsions de son sourire.
Trouver une carte de visite au fond d’un gouffre. Graver une carte de visite au fond d’un gouffre avec une trottinette.
Prendre le train à bicyclette pour aller plus vite. Prendre l’avion en trottinette pour aller plus vite.
Cuire un œuf dans un sablier.
Ranger un tiroir dans une couronne. Ranger un tiroir dans un tiret. Ranger un tiroir dans une couronne de tirets.
Le roi confond les couronnes et les courroies.
Avoir la couronne sous la gorge. L’aristocrate a le couteau sur la tête et la couronne sous la gorge.
Poser un baromètre au sommet d’une barricade.
Utiliser la boussole comme baromètre de l’utopie.
La montagne apparait comme la plus belle tombe du vieillard. L’arbre apparait comme la plus belle tombe de l’enfant.
Les montagnes mangent des marteaux d’ombres. Les montagnes mangent les marteaux d’ombres de la métamorphose. Les montagnes mangent les marteaux d’ombre de la paralysie. Les montagnes mangent les marteaux d’ombre de la métamorphose paralysée.
Le sommet de la montagne révèle le sommeil du hasard.
Le sommet de la montagne c’est son genou. Le sommet de la montagne révèle son genou. Le sommet de la montagne révèle le lieu de son humilité même. Le sommet de la montagne révèle le lieu de son extrême humilité.
La montagne du vide apparait composée par les éternuements des ombres.
La frontière catalogue les frissons. La frontière catalogue les frissons de la paralysie.
Les frontières décalquent la disparition des pays à l’intérieur des peuples et la disparition des peuples à l’intérieur des pays.
La frontière révèle la peau du pays et les entrailles de l’atlas.
La frontière fume la cigarette du peuple. La frontière fume le peuple. La frontière fume le peuple comme une cigarette de paroles disparues.
La vieillesse de la frontière apparait spontanée comme un œuf.
Découvrir un peuple perdu à la frontière d’un grain de sable.
Composer un puzzle de frissons avec sa frivolité.
Désobéir aux commandements de l’almanach. Savoir comment esquiver l’alternance morale de l’almanach et de l’alphabet.
Découvrir une frontière qui se retourne sur elle-même au cœur d’un alphabet. Découvrir un alphabet qui se retourne sur lui-même dans le cerveau d’une frontière.
Le prophète creuse sa tombe à coups de feu d’artifice.
Lorsqu’un peuple n’est fait que de prophète. Ce peuple se condamne à être le fossoyeur des frontières de son pays.
Le feu de l’immortalité a parfois besoin de l’air du temps, de l’air d’amnésie du temps pour brûler.
Celui qui sait où il se trouve ne sait jamais où il va. Celui qui sait où il va ne sait jamais où il se trouve.
L’architecte de l’amnésie parvient à transformer ses souvenirs en des avenues de villes.
Retrouver une rue à l’intérieur d’un homme.
Découvrir un continent au coin d’une rue.
Chercher le nom d’une rue dans la Bible.
Bégayer une mappemonde avec un lit à baldaquin.
Découvrir une montagne au sommet d’une morsure. Découvrir une montagne au sommet d’une morsure de cendres. Découvrir une montagne de mâchoires au sommet d’une morsure de cendres. Découvrir une montagne de mâchoires au sommet d’une morsure d’amnésie.
Le peuple rédige son testament en tant que palindrome.
Emprisonner un peuple à l’intérieur d’un morceau de pain.
Etudier les pirouettes d’une prison. Etudier les pirouettes d’humour d’une prison. Etudier les pirouettes de somnolence d’une prison.
La somnolence dépose une tour de Babel à l’intérieur d’un tambour. La somnolence dépose une roue de loterie à l’intérieur d’un tambour.
Envoyer le et. Envoyer le et par la poste. Envoyer le et a une lettre. Envoyer le et a une lettre perdue. Envoyer le et par la poste a une lettre perdu. Envoyer le et par la poste d’une lettre perdue.
Trouver une oreille dans une bouteille d’encre. Trouver l’oreille de son ombre dans une bouteille d’encre.
Transformer l’orgue de barbarie en baignoire de son ombre.
Dans la salle de bain, les ombres du blanc se reposent parfois de manière imprévisible. Les ombres du blanc restent parfois à l’intérieur de la salle de bain. Dans la salle de bain, les ombres du blanc se tiennent parfois bizarrement assise sur des chaises à table à la fois désinvoltes, gentilles et courageuses.
La main chante comme le télescope du miracle.
S’enterrer vivant avec un télescope. S’enterrer vivant avec un télescope et hurler ensuite au ciel de se réveiller.
Seul l’anthropophage sait comment utiliser la petite cuillère comme télescope.
Avoir des mains à la place des oreilles et des oreilles à la place des mains.
Avoir des yeux au lieu des ongles et des ongles au lieu des yeux.
Avoir des couilles au lieu des oreilles et des oreilles au lieu de couilles.
Les spermatozoïdes examinés au microscope ressemblent aux coups de pinceaux de je ne sais quoi.
Broder la pornographie de parfois. Broder la pornographie des sanglots. Broder la pornographie du pain. Broder la pornographie des pantoufles.
Il y a une pornographie à l’intérieur de la forêt, une pornographie funèbre. Une pornographie funèbre attend au cœur de la forêt.
Le marteau médite parfois la pornographie des ombres. Le marteau médite parfois l’offrande pornographique des ombres. Le marteau médite parfois le hasard pornographique des ombres.
Habiller une forêt. Habiller une forêt avec une pluie humaine. Habiller une forêt avec une pluie d’hommes.
Photographier le parfois à la surface du jamais. Photographier le jamais à la surface du parfois.
Le puzzle n’est composé que de trèfles à quatre feuilles. Les trèfles à quatre feuilles du puzzle indiquent seulement leur chance de disparaitre afin de révéler une image, afin de révéler une image finale, afin de révéler l’unité d’une image finale.
Le puzzle apparait comme une mosaïque de trèfles à quatre feuilles. Le puzzle a des trèfles à quatre feuilles plein les doigts.
Le puzzle à des trèfles à quatre feuilles plein les poches de ses doigts. Le puzzle a des trèfles à quatre feuilles plein les poches sous les yeux de ses doigts.
Le trèfle à quatre feuilles prend la clef des champs. Le trèfle à quatre feuilles prend très délicatement la clef des champs. Le trèfle à quatre feuilles perd la quadrature du cercle. Le trèfle à quatre feuilles prend la clef des champs comme perd la quadrature du cercle et prend la quadrature du cercle comme perd la clef des champs.
Planter un trèfle à quatre feuilles sous une échelle. Trouver un trèfle à quatre feuilles sous une échelle.
Fouiller un carré avec un trèfle à quatre feuilles. Fouiller doucement un carré avec un trèfle à quatre feuilles.
Le cynisme de la chance confond les carrés et les trèfles à quatre feuilles.
Un clochard au chômage. L’homme qui travaille ressemble parfois à un clochard au chômage.
Partager son travail avec son pain. Partager son travail avec le pain de son cerveau. Partager son travail avec le pain de son épouvante. Partager son travail avec le pain d’épouvante de son cerveau.
Le pauvre porte un château sous la tête. Le pauvre porte un château sous le dénuement de sa tête.
Visiter l’intérieur d’une bougie en tenant une cave à bout de bras.
Vieillir comme un oiseau de savon. Vieillir comme un aigle de savon.
Parler une langue étrangère c’est essayer de ciseler un bijou en jouant du tambour.
Le gag drogue le hasard. Le gag drogue l’habitude du hasard.
Les coïncidences essaiment l’ascèse des rubans. Les coïncidences essaiment l’ascèse de l’étonnement. Les coïncidences essaiment l’ascèse de rubans de l’étonnement.
A l’instant de la catatonie les muscles martèlent les os. A l’instant de la catatonie la lucidité des muscles martèle l’incrédulité des os. A l’instant de la catatonie la lucidité des muscles martèle l’étonnement des os.
L’intuition apparait paralysée entre cendres et diamants. L’intuition apparait paralysée entre sommeil et lucidité. L’intuition apparait paralysée entre cendres du oui et diamants du non. L’intuition apparait paralyse entre sommeil du oui et lucidité du non. L’intuition apparait paralysée entre cendres de sommeil du oui et diamants de lucidité du non.
La cheminée monte et démonte les machines du dimanche.
Utiliser les draps du lit comme rideaux de fenêtres apparait comme une forme de plaisanterie contemplative. Utiliser les rideaux de fenêtres comme draps de lit révèle une forme cynisme cardiaque.
L’ouverture de l’armoire transforme la poitrine en cible. L’ouverture de l’armoire transforme la poitrine en cible de l’arbalète du noir, de l’arbalète du noir invisible. L’ouverture de l’armoire transforme la poitrine en cible de l’arbalète de l’obscur, de l’arbalète de l’obscur invisible.
Déshabiller une femme comme boire un verre d’eau. Déshabiller un verre d’eau comme boire une femme. Déshabiller une femme à l’intérieur d’un verre d’eau. Déshabiller une femme à l’intérieur du verre d’eau d’un lit.
Trouver un cheval devant une maison et un verre d’eau à l’intérieur d’un lit. Trouver un verre d’eau devant une maison et un cheval à l’intérieur d’un lit. Trouver un cheval devant un verre d’eau et une maison à l’intérieur d’un lit.
Il apparait tabou de maquiller le blanc.
Creuser un puits de terre sous un pont d’eau.
Creuser un souterrain à coups de cils. Creuser un souterrain à l’intérieur du zéro. Creuser un souterrain à coups de cils à l’intérieur du zéro.
Creuser un souterrain à l’intérieur de la translucidité. Creuser à coups de cils un souterrain à l’intérieur de la translucidité. Creuser un souterrain à l’intérieur d’un tas de fenêtres. Creuser un souterrain à coups de cils à l’intérieur d’u tas d fenêtres. Creuser un souterrain à coups de cils à l’intérieur du tas de fenêtres du feu.
Creuser un souterrain à l’intérieur d’un confetti. Creuser un souterrain à l’intérieur des confettis du feu. Creuser un souterrain à l’intérieur du tas de confettis du feu.
L’insouciance offre des bijoux aux gouffres et des bonbons à l’ouragan.
Les bijoux apparaissent comme les bonbons de la paralysie. Les bijoux apparaissent comme les bonbons de jubilation de la paralysie. Les bijoux apparaissent comme les bonbons de paralysie du délire, comme les bonbons de jubilation paralysée du délire.
Celui qui danse avec sa bouche sait aussi comment parler avec les pieds.
Méditer avec le manège de la langue et bénir avec le boomerang des pieds.
Accouder sa langue à un balcon. Accouder sa langue au balcon d’un vagin.
Trembler comme un poing d’interrogation. Trembler comme un poing d’exclamation.
Construire un échafaudage avec des points d’exclamation. Construire l’échafaudage de l’ascèse avec les points d’exclamation de l’enthousiasme.
Trembler à tue-tête. Le tremblement lèche le cul du ciel. Celui qui tremble à tue-tête lèche le cul du ciel.
Devenir la poussière de légende de son plaisir. Devenir la poussière de féerie de son plaisir. Devenir la poussière de civilisation de son plaisir. Devenir la poussière de fatalité de son plaisir. Devenir la poussière de civilisation fatale de son plaisir.
Le soleil est le trou du souffleur de la lumière.
Sortir du système solaire en emportant la clef.
Découvrir un soleil satellite d’une poussière.
Des soleils dansent à l’intérieur de la paralysie de la poussière. Des soleils dansent à l’intérieur de la paraplégie de la poussière. Des milliers de soleil dansent à l‘intérieur du bégaiement de paralysie de la poussière.
Le cerveau met en ordre la ruine du crâne.
Le cerveau a la forme d’un champignon atomique recroquevillé. Le cerveau a la forme d’un champignon atomique timide.
Le cerveau ressemble à un champignon atomique qui fait des mots croisés.
Le cœur du cerveau oscille entre le champignon atomique, la bobine de fil et le bourgeon de cendres.
Le cerveau mendie la maladie de la chance. Le cerveau mendie des bombes atomiques. Le cerveau mendie des bombes atomiques au premier venu.
Le cerveau de l’homme accomplit l’hybridation subreptice de l’éléphant et de la fourmi ou du rhinocéros et de l’araignée.
Le cerveau ressemble à un labyrinthe composé de murs de boussoles.
Un mur de messies. Composer un labyrinthe avec des murs de messies. Un mur de boussoles. Composer un labyrinthe avec des murs de boussoles. Composer un labyrinthe avec des murs de messies-boussoles.
Le cerveau roule les chaussettes de l’auréole. Le cerveau roule consciencieusement les chaussettes de l’auréole.
Pendre son cerveau à un paravent.
Piéger un cerveau avec un chausse-pied.
Chercher la monnaie de ses manies dans une poche de son cerveau.
Cacheter les enveloppes non-timbrées avec des morceaux de son cerveau.
Utiliser son cerveau comme dentifrice. Utiliser son cerveau comme dentifrice du vide.
Le cerveau apparait parfois comme l’épouvantail des ongles.
Le cerveau est l’aquarelliste des carambolages. Le cerveau est l’aquarelliste du chaos. Le cerveau ressemble à un volcan aquarelliste.
Le problème reste de savoir qui serait le plus heureux. Celui qui a plusieurs cerveaux et un seul corps ou celui qui a plusieurs corps et un seul cerveau.
La méditation ressemble à un tour de manège dans un cendrier.
Le savoir savonne les astres. Le savoir savonne les étoiles. Le savoir savoure les astres .Le savoir savoure le étoiles. Le savoir savoure le savon des astres. Le savoir savoure le savon des étoiles.
La farine sait comment fumer une cigarette avec un rouleau à pâtisserie. La farine sait comment rouler une cigarette avec une pâtisserie de fumée.
Hausser les épaules sur un échafaudage. Hausser les épaules comme hisser un drapeau.
Enjamber la jupe avec le sperme. Enjamber la jupe avec la sciure du sperme. Enjamber la jupe des cuisses. Enjamber la jupe des cuisses avec le sexe du sperme.
Jouer de la trompette avec le pot de confiture. Jouer de la trompette avec le volcan. Jouer de la trompette avec la confiture du volcan. Jouer de la trompette avec le pot de confiture du volcan.
Jouer au flipper avec la farine du laconisme. Jouer au flipper avec le dédale de farine du laconisme.
Ciseler l’encens. Utiliser des couteaux d’encens.
Schématiser avec des couteaux d’encens. Schématiser l’éveil avec des couteaux d’encens. Schématiser le sourire de l’éveil avec des couteaux d’encens. Schématiser la lucidité avec de couteaux d’encens. Schématiser le sourire de la lucidité avec des couteaux d’encens.
Seul l’encens sait comment hésiter à jamais. Seul l’encens sait comment hésiter à l’intérieur du temps. Seul l’encens sait comment hésiter à jamais à l‘intérieur du temps.
Les saisons révèlent les liaisons de liberté du ciel.
Les saisons composent le carré du temps. Les saisons composent le carré de métamorphoses du temps.
Il existe une forme de regard par saison, pour chaque saison. Regard des lèvres de l’hiver. Regard de la poitrine du printemps. Regard du pubis de l’été. Regard des épaules de l’automne.
Dessiner la silhouette des alentours. Dessiner la silhouette des alentours avec son éternuement. Dessiner la silhouette des alentours avec l’éternuement de son sourire.
Toucher la silhouette du vent. Toucher la silhouette du vent comme collier du lointain. Toucher la silhouette du vide. Toucher la silhouette du vide comme collier du lointain. Toucher la silhouette de vide du vent. Toucher la silhouette de vide du vent comme collier d’alcool du lointain.
La silhouette cille la proximité de l’espace. La silhouette cille le lointain du temps. La silhouette cille la proximité de l’espace comme lointain du temps. La silhouette cille la proximité du temps comme lointain de l’espace.
La silhouette humaine cille la proximité de l’espace comme lointain du temps. La silhouette animale cille la proximité du temps comme lointain de l’espace.
Les silhouettes végétales peignent la chevelure du temps. Les silhouettes végétales peignent la chevelure de temps de l’espace.
Les silhouettes minérales pétrifient l’amnésie de l’espace. Les silhouettes minérales paralysent l’ossature de l’amnésie, les silhouettes minérales paralysent l’ossature de l’espace, l’ossature d’amnésie de l’espace.
La silhouette de l’homme solennel ressemble à celle d’un épouvantail auréolé de timbres-poste.
Affûter les flaques d’eau avec la fenêtre.
Faciliter la noirceur secrète du lait avec la fenêtre.
Provoquer l’éveil d’une fenêtre. Provoquer l’éveil d’une fenêtre avec la toupie de son cœur.
Le mur s’appuie à proximité du vide. Le mur s’appuie à proximité du miracle du vide. Le mur s’appuie à proximité du miracle d’immanence du vide, à proximité du miracle de vide de l’immanence. Le mur se projette à proximité du miracle du vide. Le mur se projette comme miracle d’immanence du vide, comme miracle de vide de l’immanence.
Le voleur de murs balbutie le labyrinthe du vide.
Le chirurgien érotique des murs abstrait les maisons de leur désir de disparaitre.
Le brouillard métamorphose les montagnes en pantoufles du ciel.
La lévitation évite la terre. La lévitation évite la terre selon l’axe du ciel. La lévitation esquive le regard de la terre. La lévitation esquive le regard de la terre selon l’axe de tact du ciel.
La tombée hivernale de la nuit donne à sentir la boucherie de la clarté et la boulangerie des ombres.
L’orage jongle avec les murs. L’orage jongle avec les murs de l’air et de l’eau. L’orage jongle avec les murs de l’immanence. L’orage jongle avec les murs d’air et d’eau de l’immanence.
L’orage attend la venue du paysage. L’orage attend la venue du paysage comme jouet de l’utopie. L’orage attend la venue du paysage comme jouet de déflagration de l’utopie. L’orage attend l’apparition du paysage. L’orage attend l’apparition du paysage comme jouet de déflagration de l’utopie. L’orage attend l’apparition du paysage comme jouet d’explosion de l’utopie.
Disposer d’une échelle de cloches pour cueillir l’orage. Disposer d’une échelle de cloches pour cueillir les gestes de l’orage. Disposer d’une échelle de cloche pour cueillir l’amnésie de l’orage, pour cueillir les gestes d’amnésie de l’orage.
Il est difficile de construire une maison en superposant des trottoirs. Il est difficile de construire une maison en saupoudrant des aéroports.
Le tremblement de terre fait de la dentelle avec la maison. Le tremblement de terre fait de la dentelle avec les mains de la maison. Le tremblement de terre fait de la dentelle avec l’illusion de la maison. Le tremblement de terre fait de la dentelle avec les mains d’illusion de la maison.
Les tremblements de terre jouent au mikado avec les continents. Les tremblements de terre jouent aux dés avec les maisons. Les tremblements de terre jouent au mikado avec les continents et aux dés avec les maisons.
Les tremblements de terre tentent de broder la démesure même la terreur.
Construire des tremblements de terre pour immortaliser les phrases du ciel. Construire des tremblements de ciel pour immortaliser les phrases de la terre.
Moissonner son âme avec un ventilateur. Ensevelir son âme avec un ventilateur. Moissonner une montagne avec un ventilateur.
Eplucher une mappemonde avec un ventilateur.
Planter un ventilateur au sommet d’un drapeau.
Télégraphier un drapeau avec un ventilateur. Télégraphier le drapeau de son ombre avec un ventilateur.
Planter un ventilateur au sommet d’une potence. Planter un ventilateur par un réflexe de la tragédie.
Utiliser la potence comme poteau indicateur de l’utopie. Utiliser la potence comme boussole de l’utopie. Utiliser la potence comme baromètre de l’utopie.
Coiffer une bibliothèque avec un ventilateur. Coiffer une bibliothèque de grains de sable avec un ventilateur. Coiffer une bibliothèque de brins d’herbes avec un ventilateur.
Disséquer une bibliothèque avec un ventilateur. Disséquer une sculpture avec un ventilateur. Crucifier le vide avec un ventilateur.
Savoir comment poser un ventilateur sur une tombe. Savoir comment disposer une tombe autour d’un ventilateur.
Reconnaitre le visage d’un homme avec un ventilateur. Avoir le visage d’un ventilateur dans une poche de son cercueil.
Le ventilateur cueille le labyrinthe du lys. Le ventilateur accueille le labyrinthe du lys.
Utiliser le ventilateur comme trottinette. Le ventilateur apparait comme la trottinette des avions.
Seul l’aveugle sait comment jongler avec des ventilateurs.
Seul le ventilateur sait comment pendre un décapité.
L’hélicoptère déchiquète le papier cellophane du ciel. L’hélicoptère déchiquète la cinématographie de cellophane du ciel. L’hélicoptère puise à l’intérieur de la cinématographie de cellophane du ciel. L’hélicoptère essaie d’épuiser la cinématographie du ciel. L’hélicoptère essaie de d‘épuiser la cinématographie de cellophane du ciel. L’hélicoptère essaie d’épuiser la cinématographie d’épouvante du ciel.
Poster l’hélicoptère. Poster l’hélicoptère avec la fourmi. Poster l’hélicoptère avec le papillon. Poster les souhaits de l’hélicoptère avec le papillon. Poster les yeux de l’hélicoptère. Poster les yeux de l’hélicoptère avec l’otarie.
Un paillasson avec un couvercle. Une harpe avec une manivelle. Un paillasson avec un couvercle pour s’essuyer les pieds de la tête. Une harpe avec une manivelle afin d’accélérer les cils de son cœur.
La manivelle révèle le boomerang du sourd-muet. La manivelle révèle le boomerang de l’aveugle. La manivelle révèle le boomerang du sourd-muet aveugle.
La manivelle révèle le chausse-pied du manchot.
Commencer une méditation à coups de manivelles.
Ceux qui remontent leur sexe avec la manivelle de leurs sentiments. Ceux qui remontent leurs sentiments avec la manivelle de leur sexe.
Une camisole de force ornée de diamants.
Le rire met une camisole de force de diamants a la camera de céréales. Le rire met une camisole de force de céréales a la camera des diamants.
Mettre une camisole de force à la raison. L’hébétude met une camisole de force de diamants à la raison. L’hébétude met une camisole de force de diamants à la misère de la raison. L’admiration met une camisole de force de diamants à la raison. L’hébétude de l’admiration met une camisole de force de diamants à l’idiotie de la raison.
Une camisole de force en chocolat. Offrir une camisole de force en chocolat à un désert.
Découvrir un feu d’artifice dans une camisole de force. Découvrir un feu d’artifice dans la camisole de force du sel.
Brûler une camisole de force avec ses sourcils. Brûler une camisole de force avec le charisme de ses sourcils. Brûler une camisole de force avec la mosaïque de ses sourcils. Brûler une camisole de force avec le tourbillon de ses sourcils, avec la mosaïque-tourbillon de ses sourcils.
Maquiller le zéro avec une camisole de force. Maquiller le zéro avec la camisole de force de son ombre. Maquiller son ombre avec la camisole de force du zéro. Le jour, maquiller le zéro avec la camisole de force de son ombre. La nuit, maquiller son ombre avec la camisole de force du zéro.
Le scaphandrier apparait comme un forcené de la nonchalance. Le scaphandrier imagine comme un forcené de la nonchalance. Le scaphandrier évolue à l’intérieur de la soie du fracas, à l’intérieur du satin du fracas.
Le scaphandrier cueille les casseroles du chaos. Le scaphandrier cueille les casseroles hermaphrodites du chaos. Le scaphandrier cueille les casseroles de l’océan. Le scaphandrier cueille le lustre de casseroles de l’océan. Le scaphandrier cueille le totem de casseroles de l’océan.
Le scaphandrier commence par trouver et cherche ensuite. Le scaphandrier commence par trouver et cherche ensuite le sperme de l’océan. Le scaphandrier commence par trouver et cherche ensuite la ribambelle de l’océan, la ribambelle de sperme de l’océan. Le scaphandrier commence par trouver et cherche ensuite le toboggan de l’océan, le toboggan de sperme de l‘océan.
Le scaphandrier marche à l’intérieur du supermarché de spermatozoïdes de l’océan. Le scaphandrier pousse le caddy des récifs de corail.
Le scaphandrier avance scarifié par la profondeur. Le scaphandrier avance scarifié par le charisme de la profondeur. Le scaphandrier avance scarifié par le charisme de corail de la profondeur. Le scaphandrier avance scarifié par le scandale de la profondeur. Le scaphandrier avance scarifié par le charisme de scandale de la profondeur, par le charisme de scandale de l’abime.
Le scaphandrier avance avec des sandales de scandale. Le scaphandrier avance avec les sandales de corail du scandale, avec les sandales charismatique du scandale, avec les sandales de corail charismatique du scandale.
Le scaphandrier scande le volume de la profondeur. Le scaphandrier scande le volume de satin de la profondeur, le volume de satin faramineux de la profondeur, le volume de satin fracassant de la profondeur.
Avoir un vêtement qui ne vieillit pas en même temps que nous. Avoir un vêtement comme une route. Avoir un vêtement comme une route qui revient de loin. Avoir un vêtement qui ne vieillit pas en même temps que nous afin que nos pensées deviennent visibles et nos ailes deviennent invisibles.
Avoir un vêtement qui ne vieillit pas en même temps que nous, afin que la peau devienne la forme paradoxale de la sagesse, afin que la peau devienne la forme paradoxale de l’amnésie.
Avoir des vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous afin de ramper sur l’invisibilité du ciel. Avoir des vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous afin de parler à l’ envers de la terre et afin de ramper sur l’invisibilité du ciel.
Avoir des vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous afin de parvenir à chanter en marge de la terre. Avoir des vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous afin de devenir l’aventurier de sa tranquillité.
Avoir des vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous pour devenir un système solaire accompagné de son automate. Avoir de vêtements qui ne vieillissent pas en même temps que nous afin de devenir une épidémie de peau accompagnée d’un soleil automate.
Un zoo de vêtements.
Une révolution de vêtements qui reste ignorée des hommes. Une révolution des hommes qui reste ignorée de leurs vêtements.
Déposer ses vêtements entre son corps et son cerveau. Déposer son oreiller entre son âme et son âge.
Classer sa vieillesse avec ses vêtements. Classer ses vêtements avec une main de cils.
Transformer l’usure de ses vêtements en statue du vide. Composer une statue de vide avec l’usure de ses vêtements.
Pendre l’odeur de son ombre à un porte-manteau.
Le bâillement balaie parfois l’abime.
Le bâillement bâillonne le vide. Le bâillement bâillonne le vide de la bouche.
Le bâillement est le vide-poche du cerveau.
Mettre la langue de son ombre dans un vide-poche-revolver.
Il reste préférable de ne pas utiliser le revolver comme prothèse de l’âme.
Soigner ses rêves avec des ordonnances de méduses. Soigner le soir avec des ordonnances de méduses. Soigner les rêves du soir avec des ordonnances de méduses.
Attendre la méduse du soir. Le cœur de demain attend la méduse du soir. Le cœur manchot de demain attend la méduse de soie du soir. Le cœur manchot de la lune ausculte la méduse de soie du soir. Savoir comment parvenir à coïncider le cœur manchot de la lune, les mains borgnes de l’ombre et la méduse de soie du soir.
Plier le chaos comme un mouchoir. Plier le chaos dans sa poche comme un mouchoir. Plier le chaos du cœur comme un mouchoir. Plier le chaos du cœur dans sa poche comme un mouchoir. Le héros plie le chaos du cœur dans sa poche comme un mouchoir. Le dandy du courage plie le cœur dans sa poche comme un mouchoir.
Le précipice apparait parfois aussi comme le havre de paix des taupes.
Utiliser un camion de déménagement pour entendre les battements de son cœur.
Utiliser un camion de déménagement pour apporter un tas de papier à la sagesse.
La théorie de la métempsychose confond les corbillards et les camions de déménagement.
Les camions de déménagement apparaissent comme les cercueils vides de Diogène. Les camions de déménagement apparaissent comme les tombeaux vides de Diogène.
Contempler les vitraux d’une cathédrale avec un stéthoscope.
Lutter avec un lutrin. Lutter tendrement avec un lutrin. Lutter érotiquement avec un lutrin. Lutter titanesquement avec le lutrin.
Le clocher d’une maison et le gravier d’une église. Le clocher d’une maison et le gravier d’une église comme les fragments d’une autobiographie. Le clocher d’une maison et le toboggan d’une église. Le clocher d’une maison et le toboggan d’une église comme fragments d’une autobiographie.
Ouvrir un tonneau avec un éventail.
Boire l’eau du torrent avec un boomerang.
Boire de la limonade dans le tonneau des Danaïdes.
La confiserie ressemble au parking des fées.
Souffler sur la bougie du gâteau n’est pas jouer avec son âge.
Le puits des cicatrices repose à la surface du papier.
La paix a des porte-jarretelles de pain. La paix de la cendre a des porte-jarretelles de pain. La paix du feu a des porte-jarretelles de pain.
Les tympans palpitent l’espace. Les tympans palpitent la tentation de l’espace. Les tympans palpitent l’espace comme tentation du temps.
Les tympans tamisent les planètes. Les tympans tamisent les planètes du sperme. Le séisme des tympans tamise les planètes du sperme.
Les omoplates proclament des onomatopées de fontaine. Les omoplates proclament des ruches de fontaine, des ruches du sel, les ruches de fontaine du sel, les ruches de fontaine des onomatopées du sel.
Les nuages prénomment l’espace. Les nuages prénomment les trajectoires de l’espace. Les nuages prénomment l’implosion de l’espace. Les nuages prénomment les trajectoires d’implosion de l’espace.
Les nuages parachutent le vent. Les nuages parachutent le crâne du vent. Les nuages parachutent le crâne d’amnésie du vent. Les nuages parachutent la blancheur du vent. Les nuages parachutent le crâne de blancheur du vent. Les nuages parachutent l’inouï du vent. Les nuages parachutent le crâne d’inouï du vent. Les nuages parachutent le crâne de blancheur inouïe du vent.
Les nuages apparaissent comme les blancs de l’œil de l’espace et comme les paupières du temps. Les nuages apparaissent comme les paupières de l’espace et les blancs de l’œil du temps. Les nuages apparaissent comme les blancs de l’œil du miracle de l’espace et les paupières de la respiration du temps. Les nuages apparaissent comme les blancs de l’œil du repos de l’espace et comme les paupières de respiration du temps.
La constellation des gains de beauté rythme la gravitation de la chair. La constellation de hasard des grains de beauté rythme la gravitation de certitude de la chair. La constellation de hasard de grains de beauté rythme la gravitation d’ascèse de la chair. La constellation de hasard des grains de beauté rythme la gravitation de certitude ascétique de la chair.
La terre apparait aussi comme un grain de beauté. La terre apparait comme le grain de beauté d’une peau. La terre apparait comme le grain de beauté d’une peau inconnue. La terre n’est pas cependant un grain de beauté selon un autre point de vue ou selon une autre échelle du regard. La planète terre apparait comme un grain par la trajectoire du tact, par la trajectoire de métamorphose du tact.
La terre tourne comme une roue de loterie. La terre tourne comme la roue de loterie de son amnésie. La terre tourne comme la roue de loterie de sa chute.
Le globe terrestre compose un manège de bonjours. Le globe terrestre compose un manège d’abandon. Le globe terrestre compose le manège de bonjours de l’abandon. Le globe terrestre compose une mosaïque de bonjours. Le globe terrestre compose une mosaïque d’abandon. Le globe terrestre compose la mosaïque de bonjours de l’abandon.
Les planètes disent une syllabe par siècle. Les planètes exclament un syllabe par siècle.
Parler de la pluie et du beau temps avant d’embrasser la fin du monde sur la bouche. Parler de la pluie et du beau temps avant d’embrasser l’apocalypse sur la bouche.
La joie a un pont à l’intérieur de la poitrine. La joie a des lèvres à l’extrémité des doigts. La joie a une fenêtre à l’intérieur du front. La joie a des bougies à l’intérieur des yeux. La joie a une source à l’intérieur des sourcils. La joie a une bombe à l’intérieur de la bouche. La joie a des livres autour des oreilles. La joie a des albums de photos autour des oreilles. La joie a des gencives d’hydrogène. La joie a des gencives de magnésium. La joie a des cils de silence. La joie a des cils de silicium. La joie a des mains de nuages. La joie a des jambes d’azote. La joie a des paroles aux pieds. La joie a de la neige autour du cou. La joie a une langue d’hélium. La joie a des épaules d’uranium. La joie a des tempes de plutonium. La joie a un crâne d’oxygène. La joie a un sexe de silex. La joie a un dos de sang.
Celui qui écrit apparait parfois comme le plombier de l’océan. Celui qui écrit apparait parfois comme le plombier de la métaphysique, comme le plombier de la métaphysique de l’océan.
Il n’est pas toujours drôle de jouer aux dés avec un saint.
Jouer au golf avec le Christ. Jouer au bilboquet avec le Bouddha.
Suivre la voie du Bouddha selon le point de vue de la toupie.
Suivre la voie du Bouddha selon saint Paul. Croire au Christ selon la voie du tao.
Croire au Christ avec la foi du charpentier le jour et avec la foi du boulanger la nuit.
Jouer au bowling à l’intérieur d’un lit à baldaquin. Le sourire de l’ombre joue au bowling à l’intérieur d’un lit à baldaquin.
Le Bouddha apparait beau comme une boule de bowling. Le Bouddha apparait beau comme la boule de bowling de la bouderie, comme la boule de bowling de la bouderie intégrale.
Le Bouddha apparait comme la seule boule de bowling apte à bousculer, à bousculer par excès de calme les quilles de la multiplication des Christ, les quilles de la multiplication absurde des Christ, les quilles de la prolifération absurde des Christ.
Le Bouddha révèle une forme de bouderie intégrale, une forme de bouderie métaphysique intégrale. Le Bouddha boude l’existence même du monde.
Un Bouddha avec des bouteilles d’oxygène.
Les bouteilles d‘oxygène deviennent bisexuelles quand elles sont vides.
Les bouteilles vides posées sur des marches d’escalier donnent à voir la partition d’une chanson de sourd-muet.
Contempler le face à face du Titan et de la toupie.
Etudier les chaussettes d’incendie du Titan. Remonter ses chaussettes comme Sisyphe.
Un Sisyphe surfeur. Sisyphe apparait comme le surfeur de la terre. Sisyphe apparait comme le surfeur des sourires de la terre. Sisyphe apparait comme le surfeur des hurlements de la terre. Sisyphe apparait comme le surfeur des sourires hurlés de la terre.
Dormir entre le Sphinx et Sisyphe. Dormir entre le crâne du Sphinx et les mains de Sisyphe. Dormir entre les mains du Sphinx et le crâne de Sisyphe. Dormir entre le crâne de feu du Sphinx et les mains de terre de Sisyphe. Dormir entre les mains de feu du Sphinx et le crâne de terre de Sisyphe.
Exciter les galipettes du Sphinx. Exciter les sauts périlleux du Phénix. Exciter les sauts périlleux de Sisyphe.
Parler comme le Sphinx des tabourets. Se taire comme le Sisyphe des oreillers. Parler comme le Sisyphe des tabourets. Se taire comme le Sphinx des oreillers.
L’oreiller entend sur ses deux sommeils.
Voler un cul à une catastrophe. Voler un toboggan à un oreiller.
La tendresse recommence le comme ça. La tendresse recommence l’oreiller du comme ça. La tendresse recommence la lune du comme ça. La tendresse recommence l’oreiller de lune du comme ça.
La rencontre de l’aujourd’hui zéro et des doigts du mercure. La rencontre de l’aujourd’hui zéro et des doigts du mercure à l’intérieur de la dérive de continents.
La tendresse donne à sentir l’équilibre de l’aujourd’hui zéro. La tendresse donne à sentir l’ascèse d’ivresse de l’aujourd’hui zéro.
L’oreiller catalogue le zéro. L’oreiller catalogue le sourire du zéro. L’oreiller catalogue la tendresse du zéro. L’oreiller catalogue le sourire de tendresse du zéro.
Il reste difficile de savoir si c’est le chaste ou le débauché qui parvient à toucher le zéro de l’érotisme.
Le désespoir amuse les cathédrales.
La tendresse assomme les cathédrales.
La civilisation apparait comme une manière d’assommer le vide.
Le sage sait comment assommer son ombre l’espace d’un instant.
Quand la nuit tombe, les sensations surviennent assommées par l’âme et l’âme apparaît assommée par les sentiments.
Jouer au ping-pong avec la cathédrale de ses blessures.
Les cathédrales dorment à l’intérieur du volcan. Seul le volcan sait comment apprendre à danser aux cathédrales.