Ascèse
L’ascèse déclare des paradoxes de respiration.
La bêtise de pudeur de l’ascèse affirme les habitudes paradoxales de la respiration.
L’ascèse transforme la respiration en cérémonie d’insouciance.
L’ascèse transforme la respiration en rituel paradoxal de l’inconnu.
La crampe de souffle de l’ascèse crucifie l’habitude de hasard de l’inconnu.
L’ascèse respire en dehors de l'espèce de l’être.
La crampe de l’ascèse cartographie le hasard du désert.
L’ascèse respire la soif de frivolité sans pardon du désert.
L’ascèse transforme l’imminence du vide en nourriture du crâne.
L’aisance de l’ascèse déclare le crâne du destin. L’aisance par suite de l’ascèse déclare le crâne de sommeil du destin.
L’aisance de l’ascèse affirme le feu de la conversation de l’anesthésie au dos de l’érosion du destin.
L'ascèse tente la demeure de nudité de l'extase.
L'ascèse pare la maison avec les fruits de la nécessité et les fleurs du hasard.
L’architecte de l’ascèse apparait comme l’archer de sa chute. L’architecture de l’ascèse aisée projette ses portes et ses fenêtres comme des flèches.
L’ascète marche sur la terre comme s’il marchait sur un fil. L’ascète transforme la ligne de l’horizon en trajectoire d’incendie du zéro.
La tentation de l’ascèse joue à approcher la translucidité de la force de gravitation. La tentation de l’ascèse joue à approcher par une suite de gestes rituels la désinvolture de nécessité de la force de gravitation.
L’ascèse révèle la sciure d’équilibre de la terreur. L’ascèse révèle l’éclair d’équilibre de la terreur. L’ascèse révèle la sciure d’éclair de la terreur.
La gueule paradoxale de l’ascèse donne à sentir l’imminence de monotonie du dehors comme équilibre d'anesthésie de la terreur.
Le paradoxe d’amnésie de l’ascèse révèle la constellation d’escargots de l’extase.
L’ascète tente de devenir le totem d’à bientôt de sa déraison.
L’ascèse révèle la sciure de lucidité de l’aisance.
Le hasard de l’ascèse décapite l’évidence du viol.
Le libertin de l’ascèse apparait fidèle à son plaisir et infidèle à son désir.
Le libertin de l’ascèse ne pénètre pas le corps des femmes. Le libertin de l’ascèse ne pénètre pas la pensée des femmes. Le libertin de l’ascèse pénètre la translucidité cosmétique de l’âme des femmes.
L’ascèse joue au ping-pong avec l’océan.
Le sourire de l’ascèse essaie d’endormir les bombes.
La pandiculation de l’ascèse donne à sentir le pain de catatonie de la foudre.
Le s’il vous plait de l’ascèse incruste un parfum de tigre à l’intérieur des tympans.