Chevelure
La chevelure dissèque le théâtre des nombres.
La chevelure révèle l’architecture de l’évanouissement.
Les cheveux ne s’endorment qu’à l’instant où ils tombent à la surface d’une lettre.
Le poil est l’explétif prodigieux.
Le complot des poils et des ongles expose la gloire de la futilité.
Il y a une sorte de scientificité simiesque, celle de compter ses poils.