Répétition
La répétition déclare la virtuosité aveugle du don.
La répétition déclare la pulsion de la terreur comme insouciance alibre du mourir.
La répétition déclare le don de mourir de l’immortalité.
La répétition déclare le scandale désinvolte d’apparaitre sauf.
La répétition anticipe l'absolu par l'immanence.
La répétition anticipe la posture de sommeil de l'absolu par l’habitude rituelle de l’immanence.
La répétition n’est pas vitale et n’est pas mortifère. La répétition déclare la pulsion de l’immobilité. La répétition déclare l’instinct de paralysie du destin en deçà de la vie et de la mort.
La répétition affirme la destruction impeccable du désir d’être libre.
La répétition affirme le sentiment transfini de l’inexorable.
La répétition déclare le viol à l’abandon de l’inexorable.
La répétition détruit la possibilité de la prière par le miracle de la terreur.
La répétition dort à l’intérieur de la poussière.
La répétition déclare la forme impeccable de l’apocalypse.
La répétition dort à la surface de l’apocalypse. La répétition dort à l’intérieur de la poussière de l’apocalypse.
La répétition déclare l’apocalypse du paradis comme parure du sommeil.
La répétition provoque la posture alibre de l’âme.
La grâce inexorable de la répétition calligraphie la respiration de paralysie de l’âme.
L’extase d’impureté de la répétition déclare la parure d’apocalypse impeccable de l’âme.
La sensation de scandeur de la répétition déclare la parure d’apocalypse impeccable de l’âme comme rature d’extase de la chair.
La répétition déclare la parabole d’extase du temps.
La répétition déclare le crâne d’extase paradoxale de l’immédiat.
La répétition sculpte l’exubérance de clarté de la lenteur.
La répétition affirme le vol en éclats d’aveuglement debout de la respiration.
La répétition déclare la pulsion de silence du crâne au dos du ciel.