Silence
Le silence sculpte le sang.
Le silence sculpte les pulsations du sang.
Le silence projette la blancheur bestiale du crâne.
Le silence déclare la respiration bestiale du crâne.
Le silence incruste une cathédrale de sang alibre à l’intérieur du crâne.
Le silence dénude le crâne avec la chute de clarté projectile du sang.
Le silence déclare le coma cosmétique de l’instinct.
Le silence déclare le cosmétique comestible de l’instinct d’apparaitre debout. Le silence déclare le cosmétique comestible de l’instinct d’apparaitre debout à l’intérieur du crâne du sang.
L’exubérance érotique du silence joue à cache-cache avec la translucidité de la chute. L’exubérance érotique du silence joue à cache-cache avec le chant d’immobilité de la chute.
Les vertèbres du silence surgissent à oui. Les vertèbres du silence surgissent comme une hémorragie de vent à oui. Les vertèbres du silence surgissent comme la chute en érection cosmétique du ciel jusqu’à oui.
Le silence déclare la translucidité de terreur de sauf.
Le silence affirme l’extase de pesanteur de la respiration.
La parure du silence déclare l’exubérance d’exactitude impardonnable de la respiration.
Le silence vole debout à l’intérieur de la terre.
Le silence apparait comme une posture d’envol paradoxal.
La bouche du silence sculpte l’errance d’immobilité de l’au revoir.
Le silence donne à sentir la bouche du sommeil.
L’hémorragie du silence déclare le gag cosmétique du sommeil.
L’instinct sans pardon du silence donne la catastrophe cosmétique du temps à manger au problème d’ascèse du sommeil.
Le silence déclare la lévitation de chute de la bouche.
Le silence boit la bouche du sang par la parabole de certitude de la chute.
La bouche du silence respire le sabre alibre de la chute bue.
Le silence déclare l’érection cruciale du cœur.
Le silence apparait à l’extrémité des tempes.
Le silence aime le vent et les sexes ouverts.
Le silence encule l’enclume.
L’odeur du silence encule le tonnerre de l’enclume.
L’odeur impeccable du silence encule le tonnerre de candeur de l’enclume.
Le silence a besoin du scandale d’apparaitre immortel.
Le silence affirme la forme funambulesque de l’absolu.
Le silence apparait comme le feu de conversation funambulesque de l’absolu.
Le silence affirme les allusions de hasard du destin.
Le silence sauvegarde la fraîcheur farouche d'un chaos de miracles.
Le crâne du silence mange la certitude cosmétique de la demeure.
L’exclamation du silence détruit le mur de l’horizon.
Le silence donne à sentir l’orage de paralysie de la certitude.
L’excitation érotique du silence révèle l’odeur de scandale paradisiaque de la parole.
L’incendie d’anesthésie du silence contemple la destruction du miroir avec le stéthoscope de l’asthme.
Le silence apparait comme la catastrophe d’impureté de l’euphorie.
Le silence affirme l'instinct d’apparaitre abandonné d’un seul geste au cosmos comme à la disparition du cosmos.
Le silence n’est jamais le signe d’une vérité. Le silence n’est pas la révélation d’une nature sacrée. Le silence apparait comme une parure. Le silence apparait comme la parure impeccable de la monstruosité. La parure du silence donne à sentir la monstruosité animale de l’âme.
Le mystique demeure à l’intérieur de son odeur.
L’odeur du mystique surgit sculptée par la pierre. L’odeur du mystique surgit sculptée par la préférence de ciel de la pierre.
Le mystique demeure à l’intérieur de l’odeur de son crâne à l’abandon. Le mystique demeure à l’intérieur de l’odeur de sommeil de son crâne à l’abandon.
Le prénom du mystique poursuit la solitude. Le prénom du mystique poursuit la solitude comme un enfant. Le prénom du mystique poursuit la solitude comme un enfant ascète qui oublie les miracles qu’il provoque. Le prénom du mystique poursuit la solitude comme l’enfant d’ascèse du feu.
Le mystique affirme le geste de transformer son nom en suite taboue de son enfance. Le mystique affirme le geste de transformer son nom en syntaxe taboue de son enfance, en suite de suicides tabous de son enfance, en syntaxe de suicides tabous de son enfance.
Le mystique transforme sa bêtise en bombe de charme.
Le mystique transforme le tonnerre de sa bêtise en parachute du sang.
L’instinct mystique détruit l’attente. L’instinct mystique répète l’apparition du monde à l’instant l’instant par la paralysie projectile du plaisir.
Le mystique affirme le geste de déclarer la répétition de solitude de la nuit comme extase d’hémorragie taciturne du crâne.
La frivolité du mystique affirme le geste d’apparaitre comme funambule tacite de la nécessité.
Le mystique affirme un silence si intense que l’intégralité de son existence apparait nécessaire afin d’entendre ce silence.
Les lapsus de silence composent l’épouvante de l’invisible.
Les lapsus de silence révèlent les impacts de soif de l’impardonnable.
L’homme a besoin d’apparaitre comme une planète à l’instant où il accomplit un lapsus de silence.
L’inouï saisit le ciel au vol.
L’inouï ouvre le crâne d’une fenêtre à l’intérieur d’un verre d’eau.
Le crâne écartelé de l’inouï écoute les hurlements de brouillard de l’abstraction.