Au Revoir
L’au revoir équilibre le visage du vent.
La solitude de l’au revoir affirme la translucidité de l’obscur.
La flèche à boire de l’au revoir sauvegarde l’exubérance de l’anesthésie.
La respiration de l’au revoir affirme le regard d’une foudre à l’abandon.
La féerie de candeur de l’au revoir joue à crucifier l’âme à un yoyo.
L’indécence de l’au revoir affirme le jeu de disparaitre à l’instant l’instant.
Les racines de l’au revoir ressemblent aux roues de bicyclettes de l’utopie.
L’au revoir incruste un cimetière d’éléphants à l’intérieur d’une ruche d’abeilles.
L’au revoir à merci beaucoup équilibre le vent de silence de l'instinct.
L’à bientôt bande comme il bénit.
Le pain de l’à bientôt accouple des paupières à coups de sourires.
L’à bientôt affirme la joie de tomber en possession de la parole d’inouï d’un nuage.
A l’instant de l’à bientôt, le hasard des aisselles a la forme d’une fable.
La baleine d’amnésie de l’à bientôt bénit le hasard inconnu du tabou.