Boris Wolowiec
Certitude
La certitude dort dehors.
La certitude déclare la chute inconséquente de la lucidité.
La certitude donne à sentir la foudre de désinvolture de la translucidité.
La certitude exclame les plaisanteries d’équilibre du chaos à l’intérieur de l’odeur du sommeil.
La certitude affirme la force de gravitation comme parure de translucidité de la volonté. La certitude affirme la force de gravitation comme parure de volonté de l’anesthésie
La certitude apparait comme miracle de rature du sommeil.
La certitude survient comme la rature de clarté de l’oubli de Dieu.
La certitude affirme la sensation du temps comme parure du crâne.
La certitude joue à projeter la volonté de l’herbe à l’extrémité de la bouche du crâne.
L’exubérance de la certitude projette des étoiles d’herbes à l’intérieur de la bouche de translucidité du crâne. L’exubérance de la certitude projette des étoiles d’herbes à l’intérieur du crâne de translucidité du coma.
La bouche de la certitude déclare la chute debout du crâne à l'intérieur de l’arbre de clandestinité du destin.
La certitude déclare le sabre de blessures de la chair.
La certitude répète la catastrophe du silence comme paralysie d’insouciance du sang.
La translucidité aveugle de la certitude catapulte le crâne de respiration du sang.
La certitude affirme l’invention alibre de l’aveuglement.
La certitude affirme l’invention du regard comme répétition alibre de l’aveuglement.
La certitude projette le regard comme fenêtre d’incendie de la bouche.
Le blanc bestial de la certitude survient entre la bouche du ciel et la langue des mains.
La certitude affirme la métamorphose de l’œuf à la surface de la clef comme la métamorphose de la clef à la surface du destin.
La certitude déclare le coma cosmétique de l’instinct.
La certitude affirme la répétition inexorable de l’instinct.
La certitude affirme l’extase de nécessité de l’instinct.
L’extase de sang de la certitude bégaie le tourbillon de translucidité de l'instinct.
La candeur obscène de la certitude déclare le visage de vent de l'instinct.
La certitude détruit la vérité par la parure de clarté de la grâce comme apocalypse de silence de l’instinct.
La certitude caresse l'équilibre à l'intérieur de l'explosion.
L'incroyable de la certitude affirme l’obscénité solennelle de l’équilibre.
La pandiculation de la certitude donne à sentir l’odeur paradoxale du dos.
La certitude sidère le dos du hasard.
La certitude équilibre le vide cosmétique du hasard.
La certitude affirme le vide de terreur de l’immédiat.
Le sperme de souffle de la certitude cartographie le gag de vide de l’énigme.
La certitude paralyse le lointain.
La certitude catapulte la respiration à l’intérieur de la paralysie du lointain.
La certitude catapulte l’impureté de la parole.
La certitude sculpte la paralysie du feu.
La certitude fusille le ciel.
La certitude crucifie l’hésitation.
La certitude transforme l’océan en cible.
La certitude affirme la fraicheur de l’épouvante.
La certitude jette son dévolu sur le vide de l’offrande.
La source de voix écartelées de la certitude exclame l’enclume de tonnerre de la clarté.
La certitude mange l’espace sans digérer la transparence.
Le bégaiement de joie de la certitude détruit l’horloge de lumière de l’éternité.
La certitude affirme une forme de cannibalisme subtil. La certitude mange le dehors inhumain de l'homme.
La main de la certitude repose à l’intérieur de l’anthropophagie du don.
La certitude méprise le sacré.
La certitude affirme le jeu d’apparaitre enterré vivant.
La certitude provoque le jeu de ne jamais parier.
La certitude détruit l’alphabet avec le crâne du sperme.
Le hasard de la certitude affirme l’aisance de l’épouvante.
Le hasard de la certitude affirme l’insouciance de la terreur.
Le hasard de la certitude vole en éclats à l’intérieur du coma impeccable de toujours.
La certitude affirme l’instinct de mourir comme oubli de Dieu.
La parure d’apocalypse de la certitude affirme l’instinct de mourir immobile à la surface de l’immortalité.
La certitude affirme la répétition de la nuit jusqu’à aujourd’hui.
La scandeur de calme de la certitude affirme l’instinct d’apparaitre paré par l’anesthésie inexorable de la joie.
La certitude affirme l’immanence du salut comme destruction du désir de ressusciter.
La certitude déclare la sensation de désespoir du paradis.
L’immanence souveraine de la certitude affirme le don de disparaitre jusqu’à oui tu sauf.