Etoiles
Les étoiles rythment le ciel.
Les étoiles rythment l’érosion taciturne du ciel. Les étoiles rythment les ruses d’érosion taciturne du ciel.
Les étoiles rythment le ciel par les incisions de dilettantisme de l’ainsi.
Les constellations chatouillent le ciel.
Les constellations chatouillent la chute aléatoire du ciel.
Les constellations composent les chatouillis de fatalité du ciel.
Les constellations se donnent rendez-vous par infirmité. Les constellations se rencontrent par le savoir de l’infirmité à la surface du zéro de la monotonie.
Les étoiles examinent la pesanteur du ciel.
Les étoiles auscultent la pesanteur de translucidité du ciel avec des ellipses de baisers.
Le firmament affirme la forme superflue de l’abstraction.
Le ciel étoilé ressemble au labyrinthe de bonbons de l’aisance. Le ciel étoilé ressemble à un labyrinthe de bonbons aisés, le labyrinthe de bonbons aisés de l’anesthésie.
Les nébuleuses se pavanent à l’intérieur des conversations de l’inouï.
Chaque planète donne à sentir la disparition d’une pensée.
Contempler le visage perdu des planètes provoque la forme amorale de la sagesse.