Odeur
L’odeur déclare le parachute de la nudité.
L’odeur déclare le parachute d’extase de la nudité.
L’odeur exclame le parachute du sang.
L’indécence de l’odeur exclame le parachute de respiration du sang.
L’odeur déclare le spasme de syncope du sang.
L’odeur de la chair ressemble à un prénom qui sait comment anticiper à chaque instant sa disparition.
L’odeur de la chair survient comme l’aura de sa métamorphose à l’instant.
L’odeur de la chair apparait comme une bombe à anticipation douée d’une mémoire intacte.
L’odeur de la chair apparait comme un funambule paradoxal qui sécrète son fil par son déséquilibre même.
Les odeurs surviennent comme des miracles de distinction obscène.
L’odeur affirme la malédiction du sommeil. L’odeur affirme la malédiction d’incroyable du sommeil. L’odeur affirme la malédiction de s’il vous plait du sommeil. L’odeur affirme le miracle de malédiction du sommeil.
L’odeur improvise l’invulnérabilité de l’instinct. La pandiculation de l'odeur improvise le miracle de la monotonie.
Le tourbillon de catatonie des odeurs dévore le hasard du miracle à l’intérieur des tympans.
L’odeur exclame la flèche de déchirure du don.
L’odeur révèle l’utopie d’oisiveté du don.
L’odeur déclare l’explosion de subtilité de l’énigme.
L’odeur transforme l’excitation de la parole en énigme de l’aveuglement.
Le monde des odeurs apparait à la fois sans ordre et sans désordre.
Les odeurs se donnent rendez-vous sans jamais se rencontrer. Les odeurs donnent rendez-vous à l’au revoir.
Le monde des odeurs apparait comme un monde de démence rituelle où chaque rendez-vous survient comme la ressemblance injuste de l’au revoir.
Le s’il vous plait de l’odeur révèle le handicap ludique de l’au revoir.
La désinvolture de solitude de l’odeur projette le parachute de silence de l’au revoir.