Quand

 

 

 

 

 

 

 

Quand la pluie exagère, le ciel devient la parure de la terre.

 

 

 

Quand la nuit tombe, la bouche forge une fusillade de nuages. Quand la nuit tombe, la bouche forge les frous-frous de hurlements des nuages, Quand la nuit tombe, la bouche forge les frous-frous de râles taciturnes des nuages.

 

 

 

Quand il pleut des prénoms, le crâne mange la forme du futur par amour.

 

 

 

 

 

Quand les mains reposent le minerai d’imminence de l’incendie, chaque chose touchée devient l’incarnation de translucidité d’une voix.

 

 

 

Quand la main ressemble à la paume du pain à l’intérieur d’un cimetière d’étoiles, l’orage devient la boulangerie des statues.

 

 

 

Quand la bouche tombe à l’intérieur du dos in extremis du vide, la main invente la forme de fascination de l’utopie.

 

 

 

 

 

Quand la bouche défenestre le crâne, la parole anticipe l’instinct.

 

 

 

Quand le crâne marche, la chute devient le maquillage de la lucidité.

 

 

 

Quand la faim devient fascination, le crâne somnole comme tourbillon d’hésitations du tabou.

 

 

 

Quand le crâne a fabuleusement faim, la bouche devient la boîte à lettres de la nourriture.

 

 

 

Quand la bouche bégaie des phrases intégralement obscènes, le charme de la chair rebondit comme le bonjour d’une bombe à l’extrémité du crâne.

 

 

 

 

 

Quand le cœur oscille par la main posthume de la voix, le crâne projette les sourires de cendres du sang.

 

 

 

Quand le crâne apparait comme l’enclume du ciel, le cœur repose comme le confetti du volcan.

 

 

 

Quand la pulsation du sang esquisse les traits de l'inouï, le vide du crâne déclare la respiration de la couleur.

 

 

 

Quand la bouche de la main décapite la parole et le silence décapite la bouche du crâne, apparait un combat aléatoire, concupiscent, insensé et loyal.

 

 

 

Quand la grâce transforme la respiration du crâne en peau cruciale de la voix, l'habitude devient la boîte à lettres des étoiles du sang.

 

 

 

 

 

Quand la chair savoure le temps avec passion, l’équilibre excite les bombes de l’espace.

 

 

 

Quand la chair apparait ensevelie par le chaos d’équilibre de l’alcool, la colonne vertébrale survient comme le déluge de toupies du s’il vous plait beaucoup.

 

 

 

Quand l’odeur de la chair devient semblable à une démonstration mathématique apparait l’orgie de feu de l’ascèse facile.

 

 

 

 

 

Quand la peau provoque le calme, la syncope du ciel imagine le tohu-bohu de la bouche.

 

 

 

Quand l’apocalypse du calme imagine le sang, le dos devient une cathédrale de sourires.

 

 

 

 

 

Quand le savoir ressemble à une banquise de braises, le sommeil exclame l’immortalité.

 

 

 

Quand la respiration déclare le silence de la terreur, le sommeil apparait comme l’extase minérale de la suite des blessures.

 

 

 

Quand l'arbre rêve à la volonté du ruisseau, le sommeil devient le sexe de certitude du monde.

 

 

 

Quand le sommeil tourbillonne autour de la voix, le râle abandonne des architectures désinvoltes d'odeurs à la marge de terreur du ciel.

 

 

 

 

 

Quand la volonté devient la posture d’indécence du sommeil, la démesure de l’équilibre apparaît comme la connivence de l’envol du crâne et de la respiration du sang.

 

 

 

Quand l’habitude devient la forme de la volonté, la lucidité de la terreur déclare l’aisance taciturne du crâne.

 

 

 

Quand la jubilation devient la règle d’anesthésie du dehors, l’enthousiasme de l’instinct sauvegarde les prénoms de l’espace par les contorsions cosmétiques du sang.

 

 

 

 

 

Quand le temps repose immobile, le ciel surgit comme la flèche de hasard de l’offrande.

 

 

 

Quand le temps apparait immobile comme l’amour d’une bête, le ciel surgit comme la flèche d’indécence de l’abandon.

 

 

 

Quand l’hécatombe révèle la berceuse cruciale de l’à bientôt, le temps devient une voix.

 

 

 

Quand le désir révèle le réflexe de la méditation, le rire devient la forme irréversible du temps.

 

 

 

Quand le temps devient le temple, l’épouvante apparait immortelle.

 

 

 

Quand le regard respire la nécessité de l’espace, le sexe symbolise le silence du sang.

 

 

 

 

 

Quand l’oubli bande, la paralysie devient la parure d’innocence de la certitude.

 

 

 

Quand le langage révèle le gag de jubilation du hasard, le visage devient la gueule de blanc du miracle.

 

 

 

Quand le sexe devient un outil de contemplation, la chair apparait comme la planète de crampes d’un séisme d’amnésie.

 

 

 

 

 

Quand la respiration devient le comment ça va de l’utopie, la terre survient comme le naufrage de l’océan.

 

 

 

Quand la précision devient l‘océan, l’extase de la paralysie déclare la nudité paradoxale de la nuit comme parure de certitude du temps.

 

 

 

Quand la respiration affirme la volonté de la paralysie, surgit la jubilation de bestialité de l'âme.

 

 

 

 

 

Quand le frisson considère, chaque souffle devient l’artifice d’un continent.

 

 

 

Quand la cible ressemble à une baignoire, la certitude du cri arbore des intuitions de cils.

 

 

 

Quand l’oreille éclipse le tour du monde, le regard crucifie l’os de noli tangere du souffle.

 

 

 

Quand la cible devient la flèche, le sourire d’ascèse du sang immisce la foudre de respiration virtuose de l’extase.

 

 

 

 

 

Quand le noir ruisselle, la fenêtre devient le fruit.

 

 

 

Quand la fenêtre se jette à l’intérieur du fruit, le rythme éternue l’éclipse.

 

 

 

Quand la fenêtre repose fascinée par la cartographie de féerie du hasard, l’éclair de la main révèle l’éclipse de souffle de l’ainsi.

 

 

 

 

 

Quand la déhiscence du vent exclame le désordre de la joie, la main de la respiration travaille en deçà du hasard et du désir.

 

 

 

Quand le visage apparait comme le charme de couleur translucide du vent, le hurlement de l’aurore devient un jeu.

 

 

 

Quand le vent devient le visage de la tragédie, l’espace apparait comme une tentation d’extase antérieure au ciel.

 

 

 

 

 

Quand les paupières deviennent des poings de verre, le regard compose une musique d’ecchymoses.

 

 

 

Quand le tact insinue la racine de zéro de la translucidité survient le chant d’anthropophagie de la certitude.

 

 

 

 

 

Quand le lointain anticipe le proche, surgit l’euphorie de frivolité de l’obscur.

 

 

 

Quand le lointain exclame la peau, la parure de ruine du crâne excite la respiration de certitude du sang.

 

 

 

 

 

Quand la neige marche, la terreur du calme projette le crâne du silence.

 

 

 

Quand le dehors gèle, l’extase du sang utilise la certitude du crâne comme parachute.

 

 

 

Quand la neige tombe, pénétrer le sexe d’une femme devient la métaphore d’ascèse du silence.

 

 

 

Quand la parole apparait comme le survol souterrain du silence, le silence apparait comme la reptation céleste de l’écriture.