Tabou
Seule la pulsion du tabou sait comment posséder l’oubli.
Le tabou affirme l’immortalité de la chair comme forme du don à l'abandon.
Le tabou affirme l’immortalité de la chair comme posture de paralysie dévorée par la mystification du destin
Le hasard du tabou jouit de la malédiction comme bon cela semble.
Le hasard inconnu du tabou révèle l’insouciance cosmétique de la terreur.
Le hasard inconnu du tabou affirme la posture de savoir inexorable de la marge du ciel.
Le tabou ressemble à un tigre assis sur une bicyclette.
Le tabou ressemble à un tigre à l’instant où il poursuit la beauté d’une âme à bicyclette afin de ravir la beauté de cette âme d’un bond d’extase lascive.
Le crâne du tabou pose le sommeil du tigre en équilibre sur la bicyclette du malgré tout.